«Les bons du Trésor américain détenus par l’Algérie sont sécurisées à 99,42 % », a affirmé l’expert en économie et analyste financier à la Bourse suédoise, Noredine Laghlil.
Selon cet expert, le niveau des bons du Trésor américain pour les cinq dernières années était de 54,32 contre 57,45 pour les bons du Trésor allemand et 103 points pour les bons du Trésor français. Cela veut dire que pour sécuriser 10 millions de dollars des bons du Trésor américain il faudrait payer 54 320 dollars, contre 57 450 dollars pour les bons allemands et 103 000 dollars pour les bons français. Par conséquent, l’offre américaine est plus sûre que celles de l’Allemagne et de la France. Notre interlocuteur nous a expliqué par ailleurs que l’intérêt sur les bons du Trésor américain se trouvent à un bon niveau jusqu’au mois de septembre 2012. S’agissant de la valeur du dollar américain, Noredine Laghlil a indiqué qu’en dépit du pessimisme de certains analystes, le dollar conserve son niveau qui va de 1,38 et 1,43 dollar pour un euro et va de 79 à 84 pour un dollar. D’autre part, il a regretté le fait que le gouvernement algérien et la Banque d’Algérie considèrent l’investissement dans les bons du Trésor américain comme un « secret d’ État ». Soulignons dans ce contexte que le peuple algérien a connu pour la première fois la valeur des investissements algériens dans les bons de Trésor américain en 2006. Cette information n’a pas été donnée par un responsable algérien mais indirectement par le président américain de l’époque Bill Clinton lors d’un discours qu’il avait adressé aux étudiants. « Je ne comprends pas comment un pays comme l’Algérie paye la moitié de son Produit intérieur brut (PIB) pour acheter des bons de Trésor américain », s’était interrogé Bill Clinton à cette époque-là. Sachant que la PIB algérien en 2006 était d’environ 100 milliards de dollars, ceci voulait dire que les bons de Trésor américain achetés par l’Algérie à ce moment-là étaient de 50 milliards de dollars. Le comble dans cette histoire est que le citoyen algérien a appris les investissements de son pays par un responsable américain et non pas par un officiel algérien.
echorouk.com
Selon cet expert, le niveau des bons du Trésor américain pour les cinq dernières années était de 54,32 contre 57,45 pour les bons du Trésor allemand et 103 points pour les bons du Trésor français. Cela veut dire que pour sécuriser 10 millions de dollars des bons du Trésor américain il faudrait payer 54 320 dollars, contre 57 450 dollars pour les bons allemands et 103 000 dollars pour les bons français. Par conséquent, l’offre américaine est plus sûre que celles de l’Allemagne et de la France. Notre interlocuteur nous a expliqué par ailleurs que l’intérêt sur les bons du Trésor américain se trouvent à un bon niveau jusqu’au mois de septembre 2012. S’agissant de la valeur du dollar américain, Noredine Laghlil a indiqué qu’en dépit du pessimisme de certains analystes, le dollar conserve son niveau qui va de 1,38 et 1,43 dollar pour un euro et va de 79 à 84 pour un dollar. D’autre part, il a regretté le fait que le gouvernement algérien et la Banque d’Algérie considèrent l’investissement dans les bons du Trésor américain comme un « secret d’ État ». Soulignons dans ce contexte que le peuple algérien a connu pour la première fois la valeur des investissements algériens dans les bons de Trésor américain en 2006. Cette information n’a pas été donnée par un responsable algérien mais indirectement par le président américain de l’époque Bill Clinton lors d’un discours qu’il avait adressé aux étudiants. « Je ne comprends pas comment un pays comme l’Algérie paye la moitié de son Produit intérieur brut (PIB) pour acheter des bons de Trésor américain », s’était interrogé Bill Clinton à cette époque-là. Sachant que la PIB algérien en 2006 était d’environ 100 milliards de dollars, ceci voulait dire que les bons de Trésor américain achetés par l’Algérie à ce moment-là étaient de 50 milliards de dollars. Le comble dans cette histoire est que le citoyen algérien a appris les investissements de son pays par un responsable américain et non pas par un officiel algérien.
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