Réserves de change : la Banque d’Algérie rompt le silence

[RoboCop]

L'Algérie pourrait avoir des participations ou racheter (de petites) entreprises.

Saha Jawzia,
Je suis du même avis, quant aux rachats des actifs de PMI/PME, là où les rouages de gestion ne sont pas très complexes et, que ça peut rapporter gros.

Je pense que pour l'instant, il ne faut pas avoir une vision grandiose, car on n'a pas encore cette capacité de gérer une entreprise de grande notoriété internationale.

[jawzia]

Je pense que pour l'instant, il ne faut pas avoir une vision grandiose, car on n'a pas encore cette capacité de gérer une entreprise de grande notoriété internationale.

Entièrement d'accord !

[Absent]

Pourquoi?

Pour vous, prendre un participation dans le capital d'une grande entreprise voudrait forcément dire participer dans sa gestion?

[jawzia]

Pour vous, prendre un participation dans le capital d'une grande entreprise voudrait forcément dire participer dans sa gestion?

Qui a dit cela ?

Avant de prendre des participations, il faudrait mettre sur pied une entité (fond souverrain, ...) qui aura à gérer l'argent publique qui sera investit. De l'aveu même du ministre des finances, nous n'avons pas un savoir-faire et une maitrise de ce genre de fond.

[Absent]

C'est affirmé ici:

car on n'a pas encore cette capacité de gérer une entreprise de grande notoriété internationale.

Pour la compétence algérienne qui est capable de mettre sur rail un fonds souverain algérien, celle-ci existe en Algérie et ailleurs. Ce n'est pas sorcier!!!

Beaucoup d'algériens exercent cette tâches dans des fonds souverains arabs et des sociétés d'investissement européennes et américaines.

Le ministre doit surtout avouer qu'en Algérie on ne fait pas confiance aux algériens notamment ceux vivant à l'étranger.

[RoboCop]

Si c'est le cas, l'état n'aurait pas bradé le complexe sidérurgique d'El hadjar, au profit d'arcelormittal, qui lui seul employait 18 000 personnes, et, n'aurait pas donné la gestion de l'aéroport d'Alger au profit d'ADP, ainsi que la gestion du métro à la RATP, sans parler de la gestion et la distribution de l'eau à des sociétés étrangères dans différentes wilaya, un exemple la société Orange/france Télécom a elle seule détient le nombre d'abonnés de nos 3 opérateurs réunis, y compris les lignes fixes.

Volvo était à portée de main de l'Algérie, quant à son achat, mais est-ce qu’on aurait été dans la mesure de le gérer et, de redresser la barre ?

Pour cela, je me remets à la gestion catastrophique de la SNVI et l’ENMTP et pourtant, elle exportaient leurs produits, l’une les véhicules industriels, l’autre le matériel des travaux publics et, quand je dis mauvaise gestion, il n’y a pas que les gestionnaires, même les politiques ont leurs parts de responsabilité.