Annonce

Réduire
Aucune annonce.

le deficit budgetaire et le logement

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • le deficit budgetaire et le logement

    Ottawa — L'étau se resserre autour de Jim Flaherty pour qu'il agisse une quatrième fois sur les hypothèques, afin de garder à flot le marché immobilier et l'endettement des ménages au Canada.

    Le ministre des Finances a reçu des avis partagés lors de sa rencontre avec des économistes le 5 mars, qui n'arrivaient pas à trancher s'il fallait ou non adopter des mesures pour freiner l'appétit des Canadiens pour l'immobilier et les nouvelles dettes.

    La Banque du Canada a entre-temps réitéré, avec sa déclaration sur le taux d'intérêt, qu'elle considérait l'endettement des ménages comme «le plus grand risque au pays». La semaine dernière, l'économiste principal de la TD, Craig Alexander, a pressé le ministre Flaherty d'agir sans plus attendre.

    Il lui a suggéré trois scénarios possibles, demandant au ministre d'en choisir une, par exemple de réduire l'amortissement maximal sur les hypothèques de 30 à 25 ans, ou de hausser le seuil minimal des paiements de cinq à sept pour cent. La troisième option proposée par M. Alexander consiste à évaluer les moyens d'un individu qui tente d'obtenir un prêt, en s'assurant qu'il ait les reins suffisamment solides pour éponger les paiements même si les frais d'intérêt hypothécaire se hissaient à 5,5 %, soit environ le double du taux actuel.

    «Je ne recommande pas de faire quoi que ce soit qui aurait un impact draconien sur le marché. C'est un peu comme de conduire sur la glace, vous n'appliquez pas les freins trop brusquement, il faut plutôt les effleurer pour diminuer les risques de problèmes», a imagé M. Alexander.

    Un analyste de Capital Economics, David Madani, juge quant à lui qu'il pourrait déjà être trop tard pour resserrer les hypothèques et que les prix des maisons sont inévitablement appelés à chuter.

    Croissance de l'emploi

    Au cours des six dernières années, le ministre Flaherty a actionné les freins à trois occasions distinctes, ouvrant les vannes lorsque l'amortissement était à 40 ans et qu'aucun versement comptant n'était exigé pour obtenir une hypothèque. À chaque fois, les Canadiens s'étaient rangés dans le rang pendant un moment, avant de replonger dans le marché.

    Les données les plus récentes, dévoilées la semaine dernière, indiquent que l'accumulation de l'endettement des ménages continue à augmenter au rythme de six pour cent annuellement, les ventes de maisons grimpant de 8,6 % et le prix moyen d'une propriété se rapprochant des niveaux records, à 372 763 $.

    M. Alexander estime que si le ministre hésite à intervenir malgré ses craintes face à l'endettement des ménages, c'est qu'il s'inquiète davantage d'un autre dossier. La croissance de l'embauche a stagné au cours des six derniers mois, et M. Flaherty craint qu'un découragement de faire l'acquisition d'une maison n'affecte du même coup les emplois du secteur de la construction.

    Le ministre se retrouve face au même dilemme que le gouverneur de la Banque du Canada, Mark Carney, qui n'ose pas élever le taux d'intérêt parce qu'un tel geste pourrait faire déraper d'autres pans de l'économie.

    La Presse canadienne
    Dernière modification par du31, 19 mars 2012, 20h04.

  • #2
    ici ce qu'on appelle les dessous de la carte..un gouvernemnt qui gere bien son argent et sa population...ici le principe est simple


    primo ne rien laisser dans les poches des gens tout l'argent doit retourner a l'état pour creer un circuit fermé et lutter contre l'inflation et le deficit...par manque d'argent chez les menages l'offre est toujours superieur a la demande ce qui empeche au commerçant de dema,der plus...

    secondo il n y a plus de fuite d'argent entre le canada et le reste du monde, sauf dans le circuit du tourisme qui controle par le billet de leurs banques le circuit ...la banque te donne un pret de voyage a condition de passer les vacances dans sa propriétés acheté dans les pays touristique...''la banque offre l'argent a montreal et le recupere par une caissières dans un hotel perdu dans les tropiques...le circuit est donc bien fermée...

    tertio n'ayant plus d'argent le canadien reste tranquil et menacé par l'hypothéque et l'expulssion...le patron le menace en le poussant devant le banque qui fait office d'un gendarme...si tu ne te fait d'effort tu seras licencié&s et apres cela ton bien sera récupéré par l'hypothéque marches ou creve...

    et enfin entre les banques d'algerie et les banques etrangéres y'a un phenomene de compitition..la banque alegrienne doit faire vite pour clouer kl'algerien chez elle..elle va commencer par les poches pleines entre 1500 euro par mois et 5000 euros par mois...des villas avec garage et une voiture pour les 2/3 du salaire le salarié court le risque...la banque algerienne aura l'algerien comme allier durant toute la durée de l'hpotheque il ne pourra rien faire il est lié par le coup en islame on recommande ''fakou rakaba"" c'est libéré un escalve ce n'est pas le mettre en liberté de cavale mais desseré la corde qui entoure son coup....

    l'algerie doit faire vite....

    Commentaire


    • #3
      ici c'est une autre facette du role des banques...les musulmans ne savent traité que le coté ''interet'' ""usure"" pratiqué par certaine banque specialisé dans la spéculation elles n'ont aucun role dans l'economique et le developpement sociale...

      ''fakou rakaba'' c'est a dire apyer la dette trops lourde sur une personne pour qu'elle puisse un peu respirer....une forte pression de dette porra avoir l'eefet inverse sur le rendement de l'individu...il ne peut plus...il lache...

      l'algerie doit donc activer ce systéme de décharge...une banque soutient (banque fakou rakaba) qui soutient les ménages qui ont des probléme pour honorer leurs engagements (maladie accidents jumeaux ou triplets dans la maison, femme enceinte et en allaitement ) envers la banque gendarme qui fait du l'investissement car elle a des dettes.....le soutient de la banque ne se fera que lorsque la banque gendarme passe le travailleur devant la justice..devant le juge la banque décidera si oui ou non elle soutiendra le client en dificulté ou non''
      on soutient pas un voyou, un alcoolique, un fornivateur qui gaspille l'argent des autres dans les cabarets et les bares de dansing, les voleurs les mécreants qui ne croivent en rien...l'individu doit croire une chose meme si une vers de terre comme Dieu mieux qu'une personne ni foi ni lois..
      Dernière modification par du31, 19 mars 2012, 20h42.

      Commentaire

      Chargement...
      X