MAROC - 14 juin 2006 - PANAPRESS
Le Maroc a besoin de 15 milliards de dollars US d'investissement dans le domaine énergétique dans les dix prochaines années pour permettre au Royaume chérifien d'assurer sa croissance, a-t-on appris mercredi auprès de la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM, organisation patronale)
Selon la Fédération de l'Enérgie de la CGEM, le Maroc ambitionne d'avoir à l'horizon 2015 une seconde raffinerie de pétrole pour combler le déficit national et contribuer à la satisfaction énergétique de l'Afrique subsaharienne.
Le Maroc consomme 15 millions de tonnes équivalant pétrole (TEP), dont 60% de pétrole qu'il importe en totalité. A l'horizon 2030, il doit disposer de 60 millions de TEP pour atteindre un niveau de consommation énergétique équivalant à la moyenne internationale actuelle.
Quant à la facture énergétique du royaume alaouite, elle demeure "lourde", selon la CGEM, qui précise que les achats du pays en pétrole représentent 20% des importations globales et constituent près de 50% du déficit commercial.
Parmi les suggestions du patronat marocain, figure l'extraction de 600 à 700 tonnes d'uranimum par an à partir de l'acide phosphorique marocain.
Le Maroc possède les premières réserves de phosphates au monde et en exploite 28 millions de tonnes par an.
Le Maroc a besoin de 15 milliards de dollars US d'investissement dans le domaine énergétique dans les dix prochaines années pour permettre au Royaume chérifien d'assurer sa croissance, a-t-on appris mercredi auprès de la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM, organisation patronale)
Selon la Fédération de l'Enérgie de la CGEM, le Maroc ambitionne d'avoir à l'horizon 2015 une seconde raffinerie de pétrole pour combler le déficit national et contribuer à la satisfaction énergétique de l'Afrique subsaharienne.
Le Maroc consomme 15 millions de tonnes équivalant pétrole (TEP), dont 60% de pétrole qu'il importe en totalité. A l'horizon 2030, il doit disposer de 60 millions de TEP pour atteindre un niveau de consommation énergétique équivalant à la moyenne internationale actuelle.
Quant à la facture énergétique du royaume alaouite, elle demeure "lourde", selon la CGEM, qui précise que les achats du pays en pétrole représentent 20% des importations globales et constituent près de 50% du déficit commercial.
Parmi les suggestions du patronat marocain, figure l'extraction de 600 à 700 tonnes d'uranimum par an à partir de l'acide phosphorique marocain.
Le Maroc possède les premières réserves de phosphates au monde et en exploite 28 millions de tonnes par an.
