Bonjour, le mode de cession se précise ainsi que le prix.
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Pour sa privatisation partielle, l’opérateur historique algérien -Algérie Télécom- escompte la coquette somme de six milliards de dollars. C’est-ce qu’a indiqué récemment le ministre algérien de la Poste et des Technologies de l'Information et de la communication M. Boudjemaa Haïchour.
L’opérateur attire la convoitise de plusieurs investisseurs étrangers (on parle de 44 pays) parmi lesquels on cite des Français, des Emiratis et des Britanniques. Ces derniers sont représentés par le numéro un mondial British Télécom dont une délégation a visité l’Algérie pour proposer aux officiels quelques suggestions. Parmi celles-ci, ils ont dit (selon la presse locale) qu’il n’était pas nécessaire de privatiser Algérie Télécom mais plutôt de la garder et de la supporter en technique et technologie.
La compagnie a proposé l’établissement d’un partenariat stratégique. Proposition qui semble avoir été rejetée par les Algériens sur la foi des déclarations du ministre : «Nous n’allons pas revenir en arrière sur cette privatisation parce que Algérie Télécom en a besoin pour son développement et son rayonnement régional. Notre approche est différente de celles de nos voisins marocains, tunisiens et égyptiens», a ainsi soutenu M. Haïchour.
Le montant global des investissements à consentir pour l’opérateur est évalué à 203.976 millions de DA, soit l'équivalent de 2,5 milliards de dollars US. Ces investissements mobiliseront tous les segments d'activités d'ALGERIE TELECOM , à savoir les fonctions commutations, transmission, moyens auxiliaires des télécommunications (énergie et gestion réseau), les télécommunications satellitaires, l'Internet, la logistique des télécommunications, les systèmes informatiques et managements.
L’opérateur compte 3,2 millions d’abonnés sur son réseau fixe et 6,5 millions d’abonnés sur son réseau mobile en plus des abonnés d’Internet, d’Internet par satellite (elle possède une station VSAT), etc.
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Pour sa privatisation partielle, l’opérateur historique algérien -Algérie Télécom- escompte la coquette somme de six milliards de dollars. C’est-ce qu’a indiqué récemment le ministre algérien de la Poste et des Technologies de l'Information et de la communication M. Boudjemaa Haïchour.
L’opérateur attire la convoitise de plusieurs investisseurs étrangers (on parle de 44 pays) parmi lesquels on cite des Français, des Emiratis et des Britanniques. Ces derniers sont représentés par le numéro un mondial British Télécom dont une délégation a visité l’Algérie pour proposer aux officiels quelques suggestions. Parmi celles-ci, ils ont dit (selon la presse locale) qu’il n’était pas nécessaire de privatiser Algérie Télécom mais plutôt de la garder et de la supporter en technique et technologie.
La compagnie a proposé l’établissement d’un partenariat stratégique. Proposition qui semble avoir été rejetée par les Algériens sur la foi des déclarations du ministre : «Nous n’allons pas revenir en arrière sur cette privatisation parce que Algérie Télécom en a besoin pour son développement et son rayonnement régional. Notre approche est différente de celles de nos voisins marocains, tunisiens et égyptiens», a ainsi soutenu M. Haïchour.
Le montant global des investissements à consentir pour l’opérateur est évalué à 203.976 millions de DA, soit l'équivalent de 2,5 milliards de dollars US. Ces investissements mobiliseront tous les segments d'activités d'ALGERIE TELECOM , à savoir les fonctions commutations, transmission, moyens auxiliaires des télécommunications (énergie et gestion réseau), les télécommunications satellitaires, l'Internet, la logistique des télécommunications, les systèmes informatiques et managements.
L’opérateur compte 3,2 millions d’abonnés sur son réseau fixe et 6,5 millions d’abonnés sur son réseau mobile en plus des abonnés d’Internet, d’Internet par satellite (elle possède une station VSAT), etc.
