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L'Algérie présente d'importantes opportunités selon l'ambassadeur du Japon

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  • #16
    il n'est pire sourd que celui qui ne veut pas entendre
    Et pire aveugle que celui qui ne veut point voir .
    Regarde donc autour de toi et interroge les gens.
    Écrire l’Histoire, c’est foutre la pagaille dans la Géographie...

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    • #17
      des gens qui se paient cash 300 000 voitures par an

      des gens qui passent leurs vacances en turquie, en grece, en tunisie (alors que moi je rame comme un malade pour payer mes etudes)

      des gens qui se font offrir des logements gratuits par millions, et ensuite qui ne paient ni electricité, ni telephone, ni gaz, ni rien du tout, ce qui releve de la plus pure science fiction partout ailleurs au monde

      des gens qui ne paient absolument rien pour leurs etudes, logements, cantines, et meme bourses d'etudes !

      ...

      meme en Union Sovietique c'etait moins exageré ....

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      • #18
        des gens qui se font offrir des logements gratuits par millions, et ensuite qui ne paient ni electricité, ni telephone, ni gaz, ni rien du tout, ce qui releve de la plus pure science fiction partout ailleurs au monde
        Oui, mais ces «gens» (comme tu dis) ne résument pas le «peuple Algérien».
        Je dirais même qu'ils sont le parasite et le poison du peuple algérien qui lui affronte quotidiennement la dure réalité qui n'a rien à voir avec la science-fiction.
        Le peuple algérien qui dans sa majorité souffre du manque de logement et de mille et une misères. Comme payer ses études par exemple .
        Écrire l’Histoire, c’est foutre la pagaille dans la Géographie...

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        • #19
          Le peuple algérien qui dans sa majorité souffre du manque de logement et de mille et une misères. Comme payer ses études par exemple

          bigre !

          le peuple algerien n'est en fait pas le peuple algerien, les beneficiaires des millions d elogements distribués et ceux qui les occupent (pas toujours les meme, en effet) ne sont pas algeriens, ce sont des boliviens, nous sommes donc d'accord

          et les etudiants ont de la peine pour payer leurs etudes qui sont pourtant gratuites, bourses d'etudes, transports gratuits, cités universitaires, cantines, installations sportives, bibliotheques, salle d'ordinateurs, CNOUS ... ce doit etre tres difficile pour eux

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          • #20
            ce sont des boliviens, nous sommes donc d'accord
            Excuse moi, j'avais mal compris. J'ai cru un moment que tu étais algérien, que tu vivais en Algérie et que tu ramais «comme un malade» pour poursuivre tes études.
            Maintenant si tu dis que tu es Bolivien, alors-là ça change tout
            Écrire l’Histoire, c’est foutre la pagaille dans la Géographie...

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            • #21
              bonjour la contre-argumentation !!

              ps : je suis dans un pays ou les etudes coutent plus de 6 000 euros l'annee, le transport environ 700 euros, la cantine 1 000 euros, les residences universitaires plus de 2 000 euros ...

              bref, ca ne ressemble pas a l'algerie, ni de pres, ni de loin ... hélas, tant pis pour moi, et tant mieux pour les etudiants en algerie

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              • #22
                je suis dans un pays ou les etudes...
                Donc c'est vrai que tu ne vis pas en Algérie. Alors avant d'avancer autant d’âneries, viens donc partager notre quotidien, histoire de te faire une idée plus juste et loin de ta «fiction»
                Écrire l’Histoire, c’est foutre la pagaille dans la Géographie...

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                • #23
                  En effet c'est le meme qui avait comparé l'Algerie a la corée du nord
                  sauf que la Corée du Nord est très loin de disposer du potentiel d'importation de l'Algérie. les japonais ne sont là que pour le business. il devait vraiment être très contrarié pour faire une telle comparaison.

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                  • #24
                    les japonais investirons en Algerie quand Washington leur ordonnera, pas avant

                    d'ici la on continue le business avec Pékin la prochaine superpuissance mondiale

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                    • #25
                      les Etats Unis vont mal mais ne sont pas encore à terre.

                      il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué.

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                      • #26
                        un petit article de fond pour relancer la discussion :

                        Discrètement mais fermement, le BRICS devient politique

                        30/03/2012

                        Le sommet du BRICS à Delhi, les 28 et 29 mars, est considéré par les Chinois comme un “succès”. Cela a été dit dans des termes prudents par le porte-parole de la délégation chinoise, mais cela recouvre sans aucun doute une substance évolutive importante. (Le porte-parole Qin Gang, selon Xinhua le 30 mars 2012 : «The summit is a success as it has again showcased the cooperative partnership among BRICS countries, delivered a positive message to the world that BRICS is a united grouping aimed at win-win cooperation, and the meeting has successfully advanced cooperation among member countries.»)

                        Le BRICS est un assemblage qui paraît étrange selon les conceptions politiques, économiques et géopolitiques conformistes, c’est-à-dire américanistes-occidentalistes, lorsqu’il s’agit de définir une alliance. Il rassemble des puissances géographiquement très éloignées les unes des autres, culturellement dissemblables, avec des origines politiques différentes, des puissances militaires disparates, des histoires sans guère de similitudes. Ces puissances sembleraient ainsi n’avoir que des proximités de circonstances, sinon accessoires alors qu’elles ont parfois des antagonismes régionaux qui sembleraient, toujours selon le même conformisme de jugement, presque irréductibles (la Chine et l’Inde, par exemple).

                        D’une façon plus générale, l’appréciation du BRICS, également du même type conformiste, se trouve dans le Washington Post, du 29 mars 2012. L’appréciation est bien entendu une copie conforme de l’analyse des milieux officiels US, qui sont la principale, sinon la seule source d’inspiration du Post : «But analysts say that it is not clear whether the disparate, patchwork coalition of emerging economies — with very little in common apart from their recent economic growth, size and aspirations — can be an effective platform to influence global policies.»

                        … Mais le “but” («But analysts…») de cette citation, justement, nous signifie le sens profond de la réunion du BRICS, qu’on trouve in fine dans le reste du texte du Post : il s’agit de la reconnaissance contrainte (pour le Post) que le sommet a été, malgré tout, un succès par rapport à cette vision très sceptique. On retiendra trois domaines qui permettent, selon notre point de vue qui est fortement politisé, de parler d’un succès incontestable pour cette réunion, – et un succès qui n'a pas besoin d'être spectaculaire pour être incontestable.

                        • Au niveau économique, la plupart des décisions du BRICS ont, dans le contexte actuel, un très fort sens politique. Elles tendent toutes à affirmer l’indépendance des pays du groupement de la structure générale de domination financière du bloc BAO, et des USA en particulier. Il s’agit de lancer la constitution d’une banque commune au développement, qui s’impose de facto comme concurrente du FMI et de la Banque Mondiale. Il s’agit de la décision de généraliser les échanges entre les cinq pays dans leurs monnaies nationales, ce qui écarte les pays BRICS du dollar et de l’euro, – essentiellement du dollar, certes.

                        • Au niveau institutionnel, qui embrasse l’économique, le politique, etc., il y a une très forte affirmation en faveur des institutions internationales non spécialisées, l’ONU essentiellement, et des principes qui vont avec… Ces principes vont de la “gouvernance globale” au respect de la souveraineté. Cela permet de parvenir aisément à un consensus sur les deux crises pressantes, auxquelles la Chine et la Russie songeaient particulièrement, pour avoir une position commune. Ainsi, les ministres du commerce des cinq pays ont affirmé qu’ils suivaient les décisions de l’ONU pour les sanctions contre tel ou tel pays, – “tout ce que dit l’ONU, rien que ce que dit l’ONU” ; cela permet d’affirmer collectivement que les sanctions décidées par le bloc BAO contre l’Iran ne concernent pas le BRICS, ce qui satisfait particulièrement l’Inde et la Chine. D’autre part, cette même position permettait aux chefs d’États et de gouvernement, hier matin, d’affirmer l’hostilité du BRICS à toute atteinte à la souveraineté hors des décisions de l’ONU.

                        • … Ce qui précède permet enfin d’affirmer une position commune de facto sur l’Iran (les sanctions et l’intervention étrangère) et la Syrie (l’intervention étrangère). C’est surtout la Syrie que concerne le communiqué de jeudi matin, qui a été commenté par Medvedev, lors d’une conférence de presse (Russia Today le 29 mars 2012) : «The Russian leader stressed that a military approach to the Syrian crisis, which is pitting anti-government militants against the government of President Bashar al-Assad, would be “the most shortsighted and dangerous.” He stressed that the BRICS member states “will promote the success” of the Syrian dialogue. Medvedev also suggested his partners from BRICS organize joint humanitarian aid to the Syrian people…» Les Chinois ont également insisté sur cet aspect du sommet, d’une façon plus générale que Medvedev, en présentant les BRICS comme complètement en accord avec le multilatéralisme des lois internationales, activées par des décisions de l’ONU.

                        Notre commentaire

                        Au départ, ce sommet du BRICS présentait certaines difficultés d’adaptation dans la mesure où il s’agissait de passer d’une position commune spécifiquement économique à une position commune s’étendant à des questions politiques, cela alors que les engagements des membres dans les crises politiques du jour présentent quelques différences comme on peut le lire dans la citation de Hindu, ci-dessus. La difficulté a été résolue d’une façon prudente et classique, mais qui pèse d’un grand poids politique quant à ses effets. Le BRICS, qui s’est formé contre l’hégémonie du bloc BAO, retourne contre l’activisme du bloc BAO les principaux instruments de cette globalisation que le bloc BAO avait développée primitivement pour mettre en place la structure de son hégémonie. Le BRICS s’appuie en effet sur la logique de la globalisation multilatéraliste et de la “gouvernance globale” ; considérées relativement dans la situation décrite, la globalisation et la “gouvernance globale”, perçus en théorie comme des ennemis de la souveraineté, deviennent des outils de protection de la souveraineté lorsqu’ils sont opposés à l’activisme du bloc, unilatéraliste et destructeur de la souveraineté. Ce type d’inversion est aujourd’hui, en pleine crise terminale du Système, un phénomène courant, qui demande d’examiner avec attention les étiquettes idéologiques convenues : il n’y a pas, aujourd’hui, à l’heure de la dynamique de surpuissance et d’autodestruction du bloc américaniste-occidentaliste, de meilleur allié du “souverainisme” (souveraineté, identité, etc.) que l’ONU.
                        D’autre part, le BRICS prend justement, au contraire des appréciations empreintes d’une hypomanie relevant de la fascination pour l’“idéal de puissance” des “analystes” cités par le Post, une allure très bien équilibrée. La vision-Système, américaniste, BAO, etc., ne conçoit que le système de l’alliance contraignante, et ne conçoit une “alliance”, pour qu’elle ait un sens, qu’en termes de servilité et de brutalité. L’homogénéité dont l’absence affirmée est reprochée au BRICS n’est, du côté américaniste-occidentaliste, qu’un facteur artificiel, une étiquette fournie par l’appel obsédant aux “valeurs”, un artifice virtualiste… Question d’être “disparate”, type patchwork, comme l’observent les ci-devant “experts” cités pour critiquer le BRICS, l’alliance de plus de 40 (?) pays réunie par les USA pour l’attaque et l’occupation de l’Irak en 2003-2004 n’avait rien à envier à aucun autre rassemblement chaotique ; quant à l’OTAN, elle est devenue, par rapport à ce qu’elle était jusqu’un 1989-91, une bouillie pour les chats sans la moindre cohésion ni le moindre lien entre la multitude de membres, sinon la corruption vénale et psychologique de l’américanisme. Le BRICS peut dormir tranquille : à cette mesure-là, il présente une remarquable homogénéité.
                        Ce qu’on a pu voir à Delhi, c’est une parfaite distribution des rôles. Les Russes sont en pointe, politisant tous les sujets et plaidant pour une ligne dure, conformément à leur nouvelle attitude politique. Les Chinois qui, depuis quelques temps, ont découvert l’activisme politique anti-BAO, suivent et soutiennent les Russes. Tout cela forme une armature solide où les trois autres membres, plus hésitants à s’engager, trouvent de quoi être rassurés. Il s’ensuit un consensus qui n’a rien de contraignant mais qui renforce les politiques individuelles dans le sens qu’il faut. Désormais, les Indiens, pressés par les USA d’abandonner l’importation du pétrole iranien, seront plus à l’aise pour écarter ces pressions, puisqu’ils sentent qu’avec eux, quatre autres puissances importantes parlent à l’unisson et soutiennent indirectement leur action. C’est cette sorte de perception psychologique qui renforce les résolutions trop affaiblies.
                        C’est de cette façon que doit fonctionner le BRICS : en démultiplicateur de politiques nationales, dès lors que ces politiques nationales rencontrent celle de ses autres membres. C’est et ce sera de plus en plus le cas, parce que la course de surpuissance-autodestruction du bloc BAO ne laisse pas d’autre choix que l’opposition grandissante. Au contraire de ce qu’affirment les “experts” cités, qui semblent faire leur vertu d’un aveuglement chronique, l’association type BRICS, nécessairement différente de l’emprisonnement-Système du type OTAN conduisant à des catastrophes imposées à tous, est la structure qui convient à ces temps de crise générale de dissolution du Système. Sa souplesse permet toutes les adaptations, son absence de contrainte rend les engagements implicites qui sont conclus extrêmement efficaces et nécessairement volontaristes. L’évolution du BRICS vers la politique est inéluctable et inarrétable (y compris dans sa dimension initiale d’économie, qui persiste massivement mais va se “politiser” de plus en plus) ; elle est inéluctablement et nécessairement antiSystème.

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                        • #27
                          la Chine et les pays émergents pour contrer les Etats Unis. bauf...

                          dans le BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et South Africa), les deux membres les plus puissants et potentiellement influents à l'échelle mondiale sont: la Chine (militairement et économiquement) et la Russie (militairement seulement). le problème avec ces deux puissances, c'est qu'elles sont dotés de systèmes politiques archaïques. ce sont des puissances très en retard sur le plan politique. de plus, les régimes russes et chinois entretiennent tout autour d'eux des régimes satellites tout aussi fermés. des dictatures asphyxiant politiquement et ruinant l'avenir économique de nombreux peuples d'Asie. la Russie soutient les despotes du Kazakhstan, Ouzbékistan, Tadjikistan, Turkménistan etc..., la Chine, soutient la junte birmane et le dingo de Pyong Yong. la Corée du Nord et la Birmanie deux pays également politiquement très en retard. en plus, la Chine aimerait asphyxier Taïwan, un pays qui a goûté à la liberté. les taïwanais sont chinois pourtant ils ne veulent pas de la Chine. avec un modèle politique complètement dépassé, dont personne ne veut, même pas leurs propres frères de Taïwan, les chinois ne peuvent pas prétendre au leadership mondial. le BRICS, c'est pour moi une coalition sans avenir. un tocard.
                          Dernière modification par Neutrino, 14 avril 2012, 23h45.

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                          • #28
                            nazim85

                            Donc c'est vrai que tu ne vis pas en Algérie. Alors avant d'avancer autant d’âneries, viens donc partager notre quotidien, histoire de te faire une idée plus juste et loin de ta «fiction»
                            ah tu ne vie pas en france? je comprend mieux que je ne comprenait pas se que tu disait,se que j'ai vue en france moi,toi tu l'à sans doute jamais vue,ah si dans les rêves

                            Commentaire


                            • #29
                              @nabilou

                              en general ceux qui disent que l'algerie c'est l'enfer,
                              sont les memes qui imaginent que la france c'est le paradis ...

                              la hogra ils ne savent pas ce que ca veut dire, un petit sejour dans leur france magique et enchantée devrait les faire retourner sur terre ...

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                              • #30
                                @rasibus

                                oui c'est vrai tout parait gratuit tout parrait ireel mais au moins ceux qui font de la ornithologie amateur pas professionel savent comment enfin enlever l'innée de l'oiseau a migrer et enfin rester là ou il est...

                                alors rien d'étonant de les voir courir comme des fous pour le captuer le seduire le soigner n'entretenir des milliards sont dépensée des miliers d'heures de travail des fois e, 3x8 tout cela rien que pour lui enlever l'instinct d'aller nicher vers le sud....

                                ajourdhui on te donne ton slip geratuitement et lorsque tu auras complétement oublier de fabriquer ta jelaba ce jour la et devant le froid qui te mence de mort ce jour tu vas payer tout ce que l'état a payer pour toi il ya une cinquantaine d'année...
                                alors jetent leurs slip et engage toi dans la culture du coton du lin et construit toi un gourbi meme en bloque de toub et de tourbe comme jadis meiux que d'accepter leur appartements flambant neuf...
                                celui qui fait cette politique est un imortel car qui pourra faire une politique sur 50 ans alors qu'il a 60 ans????
                                derrière la politiqaue mondial y'a bien un imortel qui nous dicte sa politique

                                Commentaire

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