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Autoroute Est-Ouest : scandales financiers et surcoûts exorbitants

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  • #91
    35 milliards dinars= 350 million euro

    6 milliards dirhams= 600 million euro
    ils paient carrement ... le double !!!

    bigre !

    a ce prix ils pouvaient carrement viser ceci :

    Usine d’assemblage de rames de tramway
    Création d’une société mixte

    04.02.12El Watan

    Le ministre des Transports a procédé, hier, à la pose de la première pierre d’une usine algéro-française d’assemblage et de maintenance des rames de tramway.

    Implantée au sein de l’entreprise Ferrovial, cette unité sera opérationnelle avant la fin de l’année 2013. C’est ce qu’annoncé hier Amar Tou à Annaba, où il était en visite de travail et d’inspection de différents projets qui, pour la plupart, connaissent des retards. «Sa mission est le montage des rames de tramway. Le produit portera la nouvelle marque franco-algérienne Cital», a expliqué le ministre. Selon la fiche technique du projet, cette société mixte obéit à la loi algérienne régissant l’investissement étranger : l’entreprise nationale Ferrovial de Annaba aura 51% et le français Alstom 49% des actions de Cital. Quant aux postes de travail, ils seront de l’ordre de 300 d’ici 2014-2015.

    «Cette unité permettra l’approvisionnement en rames de tramway des villes algériennes disposant de ce moyen de transport, telles Annaba, Sétif, Sidi Bel Abbès, Mostaganem, Ouargla et Batna. Toutes ces wilayas sont programmées pour en bénéficier», apprend-on du ministre, qui a appelé les responsables à faire preuve de sérieux pour livrer cette importante usine dans les délais impartis.
    Mieux encore, a annoncé Amar Tou, des études seront bientôt lancées à l’effet de doter les wilayas de Skikda, Tébessa, Béjaïa, Biskra, Blida, Tlemcen et Béchar de tramways. Ferrovial, l’entreprise publique spécialisée dans la construction de matériels et d’équipements ferroviaires a bénéficié, également, d’un plan de charge portant sur la fabrication de 380 wagons. Ils seront affectés au transport de phosphate à partir du gisement de Djebel Onk dans la wilaya de Tébessa.

    Mohamed Fawzi Gaïd

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    • #92
      rasibus
      Citation:
      35 milliards dinars= 350 million euro
      6 milliards dirhams= 600 million euro
      ils paient carrement ... le double !!!
      bigre !
      a ce prix ils pouvaient carrement viser ceci :


      Ils n'ont pas trop le choix !!!!

      -Trouver des devises pour rembourser les dettes externes.Ou:
      -Concéder des affaires aux pays créancier.
      "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

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      • #93
        quelque soit le prix ,en fin de compte c'est le pays qui gagne en infrastructures,grâce à ses sociétés et sa main d'œuvres.Aujourd'hui on construit des routes au Senegal,au Cameroune,en Guinee,au Gabon,en cote d'ivoires,on ne fait pas appel aux Chinois,c'est ca le Gain,le pays est devenu le 2 investisseur Africain après l'Afrique du sud,grâce à ses entrepreneurs c'est ce qui fait avancer le pays et crée de la richesse

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        • #94
          Ils n'ont pas trop le choix !!!!

          -Trouver des devises pour rembourser les dettes externes.Ou:
          -Concéder des affaires aux pays créancier.
          dieu merci on n'a plus de dettes, pour nous finis les diktats et les contrats léonins et ruineux ...

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          • #95
            Or, ayant accès au dossier technique et financier de cet important projet, depuis plus de quatre années, j’ai attiré l’attention des pouvoirs publics et ce, bien avant les scandales financiers qui ont ébranlé ce secteur, que le coût prévisionnel de la route Est-Ouest serait largement dépassé. Cela concerne d’autres projets dont Sonatrach, la majorité des infrastructures notamment ceux relevant du transport dont le ministre est également candidat. Dépenser est une chose, gérer suppose à la fois de la compétence et de la moralité. Car, même un analphabète avec des centaines de milliards mis à sa disposition aurait pu réaliser cette autoroute, ou le métro, la facilité, comme cela a été le cas, étant de faire appel aux étrangers. Dans ce cas la devise est : dépenser, dépenser sans compter grâce aux hydrocarbures.
            depuis que l'Algérie est indépendante, est-ce qu'un jour, les coût d'un projet quelconque n'ont pas été dépassés?
            je me demande si le dépassement des coûts ne serait pas une fin en soi?
            la curiosité est un vilain défaut.

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