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L’Algérie sollicitée pour accroître la capacité de prêt du FMI aux pays en crise (Djoudi)

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  • #16
    situation de l'Algérie vis à vis du FMI :

    Algeria: Financial Position in the Fund as of March 31, 2012
    Summary of IMF members’ quota, reserve position, SDR holdings, outstanding credit, recent lending arrangements, projected payments due to the IMF, and monthly historical transactions with the Fund.
    Membership Status: Joined: September 26, 1963;
    General Resources Account:
    SDR Million 1,254.70
    %Quota 100.00
    Fund holdings of currency(Exchange Rate)
    853.52
    68.03
    Reserve Tranche Position

    401.18
    31.97

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    • #17
      l’Algérie doit poser ses conditions! droit de veto aux nations unis
      And ye shall know the truth and the truth shall make you free.

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      • #18
        Salam, Bonjour

        un modèle peut faire référence mais une référence n'est pas tout modèle, une statistique qui n'a rien de polémique, bien tout au contraire, surtout quant il se manque des modèles et qu'il y a foule sous référence...

        Salam, merci...
        ...Rester Humain pour le devenir de l'Homme... K.H.R.

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        • #19
          Salam, cette fortune n’est pas venue parce que on a des idées de génies, On a travaillé durement ou le résultats de nos compétences ou les fruits de nos sueurs cette fortune c'est le fruits de nos sous sol que Dieu nous offre, j'ai peur que nous arrive ce qui arrivé au Faron Akhnatoun dans son rêve qui a été cités au Coran mais Akhnatoun a trouvé Sidouna Youcef ALLIHI salam, mais nous ? donc on fait très attention, il ne faut pas abuser de cette fortune même quand j’entends des responsables des partis disent "EL BAHBOUHA EL MALIA"je pose la question vous voulez partager cette somme, pour moi faire un programme pour créer des richesses et non pour distribuer donc Il faut planifier, essayer de bien gérer des pays industriels sont en crise malgré leurs savoirs et leurs disciplines du travail .Le FMI a besoin d'argent mais nos responsables doivent bien négocier les avantages et les inconvénients.
          "Les grands hommes proposent à leurs peuples un destin, quant aux autres ils proposent que des dessins".

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          • #20
            @PECOS
            l’Algérie doit poser ses conditions! droit de veto aux nations unis
            regardes le #9
            http://www.algerie-dz.com/forums/sho...d.php?t=237179

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            • #21
              il faut surtout continuer a laisser ces reserves liquides, disponibles, et diversement reparties geographiquem (New-York, Londres, Francfort, Tokyo et a present Shangai, New-Dehli et Brasilia)
              et Alger? non?

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              • #22
                non, justement, il y a deja largement d'inflation

                l'Algerie est un epays qui investit le plus au Monde, plus de 30% de son PIB, et ceci deja depuis bientot 10 ans

                il y a deja largement assez de masse monetaire en circulation en Algerie, assez meme pour continuer de laisser vivre le square du Port Said

                habitués du square qui preferent echanger a plus de 30% des taux de change offerts par les banques algeriennes pour que le FCE, Hamdiani et compagnie puisse continuer d'INTERDIRE l'usage du CHEQUE BANCAIRE et de le FACTURE pour les transactions commerciales

                ces 200 milliards $ sont tres bien la ou ils sont, plutot que dans les sales pattes des Hamdiani et compagnie ...

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                • #23
                  Bonsoir

                  Mimelius:
                  Le FMI a asphyxié les économies des pays émergents et en voie de développement en privatisant leur économie et en faisant du dumping social et maintenant ils veulent qu'on leur prête de l'argent, cette bonne blague
                  On peut être aussi pragmatique, ils nous ont asphyxié pour nous prêter, appliquons le principe de réciprocité au moins.

                  Harrachi :
                  Mais à bien y regarder, pourquoi donc investir notre argent ailleurs, ou pour sauver des entreprises en difficulté dans des pays ravagés par leur crise financière ?
                  On ne le fera pas pour les "sauver" mais pour les "récupérer". Idéalement, on s'en fou de leurs nationalités, ce qui compte c'est nos besoin en matière de technologies en plus des rentrés de devises. le premier critère est le plus contraignant vu qu'on n'a pas de stratégies clairement définie, et on se retrouve sans pouvoir définir nos propres besoins futurs en matière de technologie. Mais on peut quand même diversifier par prudence et gérer dynamiquement nos acquis suivant l’évolution de notre demande intérieur et notre expansion.

                  pourquoi ne pas investir localement, au moins dans certains créneaux, et tenter ainsi de combler le vide que vont laisser ceux que la crise a bouffé ?

                  On pourrait bien trouver certains domaines abordables et où l'on pourrait investir assez gros rapidement ?
                  Certainement, mais ceci ne demande pas 200 mrds de $ pour pouvoir le faire. C'est même contre indiqué de rapatrier et d'investir ces réserves localement comme semble le penser la plus part, pour la simple raison que c'est contre productif: les réserves en devises fortes servent à assurer nos besoins "extérieurs" qu'on ne peut pas produire localement . (bien sur , comme l'a bien précisé Histo, en plus des licences qu'on ne peut pas acquérir (actuellement) que par l'achat, le transfert de technologie qu'on ne peut pas "produire" par nos université actuellement même si on y met nos 200mrds $ autant réinventer la roue ce qui est comparativement peu efficace et peu rentable....ect)

                  Je vais essayer de me focaliser sur ce principe de bons sens par un exemple que j’espère simple. Quand tu as un salaire mixte (Dzd et EUR) , tu as intérêt à consommer localement avec tes dzd et investir en europe (ou ailleurs) tes EUR, si tu raptrie tes eur en algérie tu les retire en DZD et tu vas acheter avec une maison que tu loueras par exemple (entrée de dzd), tu n'auras que la partie de ton salaire comme seule entrée de EUR . Et ta maison quand tu voudras la revendre tu auras des dzd, si tu as besoin d’équipement d'europe tu paiera en eur (de ta partie du salaire) et donc tu consommera encore tes EUR....ect

                  alors que si tu avais laissé/investis tes EUR en Europe, en achetant ta maison en france que t'aurais loué, tu auras une nouvelle entrée de devises en plus de la partie du salaire, avec laquelle tu pourra acheter tes meubles et les renouveler pour rester compétitif. ET le capital (revente de la maison) reste en devises (pas de perte).

                  Maintenant dans le cas ou le produit de ton investissement en Algérie (location de la maison) était exportable (entrées en devises), là ça change tout. mais pour investir dans de tels créneaux, il te faut d'abord acquérir les moyens qui rendent ton produit "exportable" et surtout compétitif. tu comprendras qu'investir directement dans de tels créneaux déjà prêts (compétitifs, robustes, ayant leurs marchés mondiaux, leur logistique ..ect) est beaucoup plus efficace que de réinventer la roue chez nous ici pour commencer. ça pourra être interessant une fois qu'on a aquis de tels moyens, mais pas dans l’état actuel. Si on était prêts on aura déjà beaucoup moins de mal à attirer les capitaux étrangers et investissement ce qui est loins d'être évident actuellement malgré les nombreuses avancés. D'un autre coté, investir directement dans ces entreprises (étranger) nous assure une grande économie de moyens et de temps, nous assure une certaine sécurité due aux risques de faillite et de problemes d'accés aux marchés (vu que le risque sera partagé avec les etats concernés, mais aussi l'interêt que ces entreprises réussissent et se développent), on aura évité les efforts d’accéder aux différents marchés qui seront déjà accessibles, ni de devoir surmonter les différents nivaux d'obstacles protectionnistes (fiscaux, bureaucratiques, logistiques...)

                  Enfin j'ajouterai que rapatrier ses devises annule l'interêt d'avoir des réserves stratégique de devises, quand on sera face à une crise ou on devra importer/solvabilité pour s'endetter, on ne pourras pas y faire face avec des bien libellés en dzd (pertes colossales dans le change) ceci si on trouve des marchés qui estimeront à leur juste valeur nos "biens" locaux (l'expérience des année 90 nous donne un parfait exemple, nos usines privatisé à coup de poignées d'euros, parfois ça a frôlé l’indécence).
                  Dernière modification par GLP, 29 avril 2012, 01h57.
                  ----| GLP © production 1886 - 2016 . All rights reserved |----

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                  • #24
                    Enfin j'ajouterai que rapatrier ses devises annule l'interêt d'avoir des réserves stratégique de devises, quand on sera face à une crise ou on devra importer/solvabilité pour s'endetter, on ne pourras pas y faire face avec des bien libellés en dzd (pertes colossales dans le change) ceci si on trouve des marchés qui estimeront à leur juste valeur nos "biens" locaux (l'expérience des année 90 nous donne un parfait exemple, nos usines privatisé à coup de poignées d'euros, parfois ça a frôlé l’indécence).
                    conclusion encore plus pedagogique que le reste (ce qui est peu dire)

                    chapeau !

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                    • #25
                      désolé, c'etait trop long comme d'hab mais vous vous etes habitué j’espère
                      rasibus: Pour les privatisations, ça me désole qu'on continue à l'appliquer, au debut c'etait un "mal" qu'on nous a forcé à supporter (condition du FMI), mais actuellement on continu pensant que c'est une "solution" ! à un moment la question de rapatrier ces devises ne se posera plus puisque ça deviendra une nécessité en l'absence de toute production/industrie locale. On sera obligé de grignoter nos reserves pour tout, jusqu'au moindre boulon qu'on importera!

                      Dans ce sens, il y a un exemple flagrant: Arcellor Mettal annaba. j'ai été choqué de savoir qu'on risquer d'importer des produits de fer laminé (entre autres) de l'autre filiale marocaine alors que les deux produisent la même chose. et c'est encore plus triste quand on repense aux interminables problèmes de financement que notre filiale provoque (risque de depot de bilan, faillite, chantage à la bea et à l'etat meme....) et les interminables protestations des travailleurs, le climat malsains..... dix ans après, c'est une catastrophe, un fiasco, quand on pense aussi à ce que c'etait avant, complexe sidérurgique d'el hadjar ! ... ya khsara. et le malheur c'est qu'aucune privatisation n'a amélioré quoique ce soit. mais on continu quand même.
                      Dernière modification par GLP, 01 mai 2012, 05h48.
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                      • #26
                        oui, les privatisations ne sont plus d'actualité, hamdoullah !

                        mais il faut dire que le syndicat UGTA gagnerait beaucoup a elire un nouveau secretaire general, ca suffit de celui-ci vissé a son fauteuil comme un Benali, un Khaddafi !

                        un peu de democratie dans le syndicalisme serait le bienvenu, les adherents ont tort de laisser faire, leur voix est inaudible dans leurs entreprises, car la direction s'entend avec le syndicat pour exclure les travailleurs de leur participations aux decisions strategiques ...

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