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Renault aurait signé un accord pour une usine en Algérie

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  • #31
    Cette histoire commence à devenir lassante..
    En fait, je me pose une question: qu'est ce qui garanti à Renault qu'elle va garder ses 25% de part de marché en Algérie? supposons qu'elle construise une usine d'une capacité de 75000 véhicules...et si demain l’algérien préfère acheter coréen?

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    • #32
      Zone Industrielle de Bellara ALGERIE

      L’assiette du terrain se présente sous une forme approximativement rectangulaire et la totalité de la superficie est disponible d’un seul tenant.
      infrastructures existant: route, voie ferrée, port, aéroport et sources d’énergie et ressources hydriques et hydrauliques

      Position géographique la Zone Industrielle réservée a Bellara

      50 km du chef lieu de la wilaya.
      02 km de la ville duel-Milia.
      40 km du port de Djen djen.
      40 km de l’aéroport de Taher.
      45 km de la centrale thermique

      Contexte national

      350 km de la capitale
      700 km d’Oran
      90 mn de l’autoroute Est-ouest

      DISPONIBILITES FONCIERES DU SITE

      * Superficie totale : 523 Ha
      * Superficie aménageable : 469 Ha
      * Nature juridique : Domaine privé de l’état


      TRAVAUX D’AMENAGEMENTS REALISES SUR LE SITE

      Les aménagements réalisés par le passé sur le site en faveur du projet sidérurgique ont porté sur :

      - Les terrassements généraux : afin de réduire les volumes des déblais, le site a été divisé en trois plateformes avec des niveaux de terrassement de 33 m NGA (niveau général algérien) sur 70 ha, 32 m NGA sur 290 ha et environ 163 ha sont à la cote 30 m NGA.

      - Une digue de protection : pour protéger totalement le site contre les inondations dues aux débordements de l’Oued El Kebir ou au ruissèlement des pluies, une digue de 4800 m a été construite le long de l’Oued suscité. Aussi des déviations des Oueds Adder et Mekrabel ont été réalisées. Par ailleurs la réalisation du barrage de Beni Haroun en amont du site de Bellara contribue fortement à la lutte contre les inondations


      mur de clôture d’une longueur de 13.000 ml et une hauteur de 2.50 m avec respect des servitudes de la voie de contournement

      - Le réseau de drainage des eaux pluviales: des canaux de drainage des eaux pluviales ont été creusés dans la plateforme, aussi un exutoire unique de rejet à l’Oued El Kebir des eaux pluviales a été aménagé et entièrement protégé.
      Par ailleurs il a été procédé également sur ce même site aux travaux de :

      - Réalisation de deux forages, d’un réservoir d’eau de 2.000 m3 et une adduction de 7000 ml pour l’alimentation en AEP de la zone par gravitation,

      - Raccordement du site au réseau assainissement,

      - Raccordement de la zone au réseau électrique et ceci par la réalisation d’une ligne de 30 Kv pour l’alimentation de la zone des bureaux de chantier et les forages,

      - A la construction de bâtiments pour les services d’appui (PAF, PC, ANDI, Douanes), sur une superficie totale de 7 000 m2


      Infrastructures de base existantes

      Le site de BELLARA est favorisé par la disponibilité et la proximité des facteurs de développement qu’une zone ou un parc industriel requiert:

      Port
      Le port commercial de Djendjen d'une capacité de 4,5 Millions de tonnes/An et d'une superficie de 104 ha constitue un nœud de développement important et ceci compte tenu de sa situation méditerranéenne stratégique et des possibilités d’échanges intercontinentaux rapides qu’il offre entre l’Europe et l’Afrique.

      Il est situé à 10km du chef lieu de la wilaya de Jijel et 350 km d’Alger, 140 km de Constantine et à 40km de la zone de Bellara.

      Avec ses 2072 ml de quai et son tirant d’eau de 10.50 à 18.50 m et l’appontement RoRo pour 03 postes, le port de Djendjen à une position stratégique sur l’axe maritime SUEZ-GIBRALTAR.

      Avec la réalisation des 2.000 ml de quais supplémentaires et du terminale à conteneurs qui sera exploité en partenariat avec un opérateur spécialisé et de renommé mondiale, le port de Djendjen est appelé à jouer un grand rôle dans le domaine du transbordement de conteneurs.

      Aéroport
      Situé à une quarantaine de km de la zone de Bellara, l’aéroport Ferhat Abbas assure des liaisons quotidiennes sur Alger avec une rotation hebdomadaire sur la France. Ce trafic sera renforcé à partir du mois de juin 2011 par deux nouvelles escales, Paris et Marseille. Dans le cadre de la modernisation de l’aéroport suscité une opération en cours d’achèvement a permis la réalisation d’une nouvelle aérogare d’une capacité de 600.000 passagers/an. Cette infrastructure moderne offre toutes les commodités nécessaires pour le traitement des passagers et du fret. Par ailleurs une opération de renforcement de la piste sera lancée durant le 2ème semestre 2011.

      Réseau routier
      La zone est située à l’intersection de deux (02) routes nationales, la RN43 dont les travaux de dédoublement sont en cours d’achèvement et la RN27 qui relie El Milia à Constantine dont le projet de dédoublement est inscrit dans le cadre du programme 2010-2014.

      Aussi, le projet de la pénétrante autoroutière Jijel – Sétif va donner une nouvelle dimension à l’activité économique avec des perspectives prometteuses pour toute la région en général et la zone de Bellara en particulier.

      Avec la concrétisation de cet important ouvrage, Jijel ne sera qu’à 80 km et une heure de route de l’autoroute Est –Ouest, RN5, RN1 et des principaux axes de communications qui desservent l’intérieur du pays, le Maghreb et l’Afrique.

      Réseau ferroviaire
      Le site de Bellara est relié par rail au chef lieu de Wilaya, au port de Djendjen et au réseau ferroviaire national via Ramdane Djamel. La gare de triage de Bazoul située à proximité immédiate du port offre une capacité de traitement de 8.000.000 de tonnes /An. Les responsables du secteur annoncent la possibilité, si le besoin est exprimé, d’engager les investissements nécessaires pour le dédoublement de la voie port de Djendjen – zone de Bellara.

      Ce réseau sera consolidé par une nouvelle ligne de chemin de fer en double voie électrifiée qui sera réalisée en parallèle avec la pénétrante autoroutière Jijel – Sétif.


      Ressources énergétiques

      Energie électrique
      La wilaya de Jijel dispose de trois centrales de production d’électricité, qui sont les centrales hydroélectriques d’Erraguene et de Ziama Mansouriah avec des puissance respectives de 16 MW et 100 MW et une centrale thermique de 630 MW à El Achouat (commune de Taher).

      Aussi, le groupe SONELGAZ projette, dans le moyen terme, la réalisation sur le territoire de la wilaya d’une nouvelle centrale thermoélectrique d’une capacité de 800MW.

      En matière de disponibilité de l’énergie électrique, la zone de Bellara peut être dotée autant que de besoin de lignes moyenne tension (30 KV) à partir du poste 60/30 KV de BOUTIAS implanté à près de 1000 m ou raccordée directement à la ligne 60 KV mitoyenne ou au réseau de 220 KV.

      Dans le cadre de son programme d’investissement, SONELGAZ projette la réalisation sur le moyen terme d’un poste d’interconnexion de 400 KV non loin du site de Bellara.

      Energie Gazière
      Un gazoduc 28’’ et de 70 bar de pression avec un débit de 1000.000 Nm3/h passe à quelques mètres de la zone longeant le mur de clôture avec l’existence d’une vanne d’attente spécialement réalisée pour le raccordement de cet espace en gaz naturel.

      Ressources hydriques
      En plus de son implantation sur l’une des plus importantes nappes phréatiques de la wilaya en l’occurrence celle de oued El Kebir, le site de Bellara est déjà doté de deux forages de 25 l/s chacun. Il pourra être alimenté également à partir du barrage de Boussiaba à hauteur de 20 million de m3/an. Le projet de transfert du barrage de Boussiaba vers celui de Beni Haroun est en cours de réalisation.


      Services

      Réseau de télécommunication :
      Un support de transmission en fibre optique relie Jijel à Constantine, ce réseau passe par El Milia, il longe la RN43 coté droit à proximité de la zone. Il est constitué de deux (02) câbles de 12 et 16 FO, aussi la possibilité d’installation sur le site d’équipements du type MSAN est retenue dans le cadre du développement du réseau d’Algérie Télécom.

      Main d’œuvre :
      La Wilaya de Jijel recèle un important réservoir de main d’œuvre locale, estimée à 37.511 demandeurs d’emploi, inscrits au niveau des trois (03) agences locales de l’emploi. L’agence d’El Milia, compte à elle seule 4.548 inscrits dont 2.387 manœuvres, 738 agents d’exécution (mécanique, soudure, plomberie etc..) et 1423 cadres dans différentes spécialités (électronique, mécanique, chimie et biologie, informatique spécialités administratives et sociales etc…). Il y a lieu également de signaler que le nombre de diplômés de l’université de Jijel est de 3.600 cadres chaque année répartis sur plusieurs spécialités techniques, financières et de gestion.

      Formation professionnelle:
      Une main d’œuvre qualifiée existe au niveau local et ce dans les différents profils de métiers de l’industrie. La formation de ce personnel a été assurée essentiellement par le secteur de la formation et de l’Enseignement Professionnels grâce à son appareil de formation qui compte actuellement dix neuf (19) établissements avec un effectif global de 11.036 stagiaires. Cinq établissements sont localisés dans l’environnement proche de la zone de Bellara, sur un rayon de 03 à 12 Kms.

      Par ailleurs, des formations à la carte peuvent être envisagées pour répondre aux besoins des opérateurs et notamment dans le cadre de la formation qualifiante de courte durée.

      Structures d’accueil :
      La prise en charge du personnel travaillant sur le site de BELLARA peut être assurée par les structures d’accueil et d’hébergements existantes actuellement ou dans un futur proche à travers les investissements en hôtellerie en cours de réalisation ou projetés sur le territoire de la wilaya notamment au niveau d’El Milia.

      Aussi, dans le cadre de l’élaboration des instruments d’urbanisme, des réservation de terrains d’assiettes ont été faites au niveau des Plans d’Occupation des Sols (POS) d’El Milia et les localités environnantes pour accueillir des programmes de logements et équipements nécessaires dédié aux besoins de la zone de BELLARA. C’est ainsi que les POS de Tarzoust et Asserdoune (commune d’El Milia), El Araba et Mharka (commune d’El Ancer) et Chouf El Tnine (commune d’Ouled Yahia) présentent une superficie globale avoisinant les 500 ha pouvant recevoir plus de 4.000 logements et divers équipements sociaux éducatifs offrants toutes les commodités nécessaires.

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      • #33
        J'ai lu beaucoup de gens cracher sur renault, dire que l'on ne veut pas d'eux etc...

        et maintenant qu'ils sont sur le point de d'installer, les gens retournent leurs vestes ! les gens ont la mémoire courte ça parlait de boycott & co à un moment, mais là tout est oublié... des girouettes !
        il faut garder la meme ligne de conduite, sinon c'est pas la peine !!!

        Renault table sur une cadence initiale de 25 000 voitures par an indique au Figaro un bon connaisseur du constructeur. «Elle pourrait augmenter à moyen terme en fonction du succès commercial et du développement du tissu fournisseur», précise-t-il. Plus ambitieux, Alger mise de son côté sur une capacité de 75 000 voitures par an, qui pourrait monter à 150 000.
        Qu'ils aillent se faire voir ailleurs, et qu'ils gardent leur "usine" pour produire 25.000 vehicules/an n'importe quoi !!! Volkswagen, Hyundai, Toyota ou khlass !

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        • #34
          supposons qu'elle construise une usine d'une capacité de 75000 véhicules...et si demain l’algérien préfère acheter coréen?
          Exporter le surplus !

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          • #35
            Un regarde sur le projet de Renault au maroc

            Surgissant de nulle part, la nouvelle usine marocaine de Renault où sera produit un monospace bon marché baptisé "Lodgy", est confrontée à plusieurs défis de taille, à commencer par le recrutement de cadres locaux dans un pays sans véritable expérience de l'automobile.Seul endroit éclairé à plusieurs lieues à la ronde la nuit tombée, le site dont l'inauguration suscite depuis jeudi à Paris une polémique sur le "Made in France" a poussé au milieu des collines dénudées de la pointe Nord du Maroc, région pauvre et rurale sans passé industriel.

            "Ici tout est 'greenfield'", résume Paul Carvalho, directeur des fabrications de Renault Tanger, utilisant le terme consacré pour désigner un projet monté de toute pièce sur un terrain vierge. "L'usine est greenfield, le tissu fournisseur aussi, et même les gens!"

            Paul Carvalho fait partie des Français expatriés sur le site pour accompagner les équipes marocaines qui feront bientôt tourner la chaîne de production du monospace. "Le niveau de formation au Maroc est très bon, mais le pays n'a pas de culture technique de l'auto", ajoute-t-il.
            La plupart des futurs cadres marocains croisés le long de la chaîne encore en rodage n'ont jamais travaillé auparavant dans le secteur. Chacun est chef adjoint de son département, placé sous les ordres d'un Français qu'il est appelé à remplacer.

            "A part la petite usine Somaca de Casablanca, le Maroc n'a pas d'histoire automobile", souligne Moulay-Youssef Sbai.
            Le directeur adjoint de l'Institut de formation aux métiers de l'industrie automobile, financé par le Royaume du Maroc et installé à l'entrée même du site Renault-Nissan, sait de quoi il parle: il a travaillé plus de 15 ans dans l'informatique, mais jamais dans l'industrie.

            DES CARAVANES DE RECRUTEMENT
            Si tout se passe bien, Benmbarek Abdelmoula dirigera bientôt le département montage de la première ligne de production de l'usine, bien que cet ingénieur ait fait carrière dans le ciment et le papier. Mais à 43 ans, ce grand gaillard jovial réalise ici un rêve d'enfant. "Ma première motivation, c'est l'automobile, je suis incollable sur l'histoire des marques de voitures", raconte-t-il. "Dès que j'ai su qu'une usine automobile allait voir le jour, j'ai pris contact."

            Nasro Allah, 37 ans, chef adjoint du département tôlerie, est l'un des rares à être du métier. "Pour moi, c'est une nouvelle expérience", indique cet ancien employé d'un sous-traitant automobile spécialisé dans le câblage autour de Tanger. "Renault est très connu et offre des perspectives de carrière." Pour se préparer à leur poste, tous deux ont passé six mois de formation en France, à l'usine de Flins (Yvelines).
            Nasro fait aussi partie de la minorité - 30% du personnel de l'usine - recrutée dans les environs de Tanger. Pour compléter les effectifs - 2.500 personnes embauchées à ce jour, 4.000 à la fin de l'année et 6.000 d'ici 2014-2015 - la direction a dû élargir ses recherches à l'ensemble du Maroc à grand renfort de petites annonces ou de caravanes de recrutement qui ont sillonné le pays jusqu'à Fès, à 300 kilomètres de là.
            Les 70% originaires d'autres régions peinent parfois à se loger sur place, et certains embauchés doivent même renoncer à se présenter à l'usine le premier jour de leur contrat.

            "C'est un peu difficile, on partage une habitation", reconnaît Soufian, 21 ans, qui se destine à l'atelier peinture. A ses côtés, Mohammed, 23 ans et même combinaison blanche, a pu s'installer plus facilement car il compte des amis à Tanger.

            A l'image de Soufian et Mohammed, l'effectif de l'usine de Tanger est très jeune: une trentaine d'années seulement. L'âge moyen tombe même autour de 20 ans pour les seuls opérateurs, appelés à travailler sur une ligne très peu automatisée - low-cost oblige - après trois mois de formation.
            MALAISE SUR LA POLÉMIQUE EN FRANCE
            Le vaste site de 300 hectares est flambant neuf. Sur le parking s'alignent des Renault et des Fiat en version spéciale pays émergents introuvable en France, ce qui ne sera pas le cas du Lodgy, destiné surtout à l'export, notamment vers l'Europe.

            La terre des plates-bandes qui séparent les grands hangars blancs est fraîchement retournée et dans les bureaux administratifs, regroupés sous le nom mystérieux de "bâtiment X", des stores manquent encore aux fenêtres. Homman Mokhtar, secrétaire exécutif de Renault Maroc, se plaît à faire remarquer que les baies ont été colmatées à grand renfort de papier.

            "C'est le bâtiment qui a été fait en dernier parce qu'il y avait d'autres priorités", explique-t-il en souriant. L'institut de formation et la chaîne sont passés avant.
            Interrogés sur la controverse qui a accompagné en France l'ouverture par Renault, à 14 kilomètres des côtes européennes, d'une usine où le salaire net démarre à 250 euros, les futurs cadres marocains sont mal à l'aise. "Je n'ai pas suivi, je ne peux pas dire", murmure un chef adjoint de département avant de s'éclipser, rappelé à l'ordre par son supérieur français.

            Dimanche encore, François Hollande, le candidat socialiste à l'élection présidentielle, a estimé que l'Etat français, qui contrôle 15% du capital de Renault, aurait dû s'opposer à ce projet.
            Sur place, les préoccupations sont différentes. L'usine est en préchauffage et s'apprête à monter en cadence de manière spectaculaire. Une fois les derniers réglages sur les moules et les machines effectués, les procédures mémorisées et les gestes qu'il faudra répéter 44 heures par semaine maîtrisés, le site va passer en trois mois d'un rythme presque immobile de 30 véhicules par jour à 30 par heure. L'an prochain, une deuxième ligne permettra de cracher 60 véhicules par heure, un à la minute.
            "Le central à Paris - Monsieur Carlos Ghosn - nous donne une tolérance assez importante pour démarrer correctement", précise Tunç Basegmez, directeur turc de l'usine de Tanger. "La création de la marque 'Made in Morocco' passe par là."


            Source: Souhail Karam, édité par Jean-Michel Bélot
            Dernière modification par MEK, 01 juin 2012, 18h43.

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            • #36
              Exporter le surplus !
              __________________

              À qui ??? Des pays qui refusent d'acheter si on ne produit pas chez eux ......
              " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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              • #37
                Exporter le surplus !


                Il faut d'abord commencer !!

                Cette histoire de Renault a vraiment du mal à passer !!

                Pendant ce temps.Tanger exporte déjà sa production..

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                • #38
                  Renault confirme

                  Renault, qui négocie depuis plus de deux ans l'implantation d'une usine en Algérie, a signé avec les autorités algériennes un accord‑cadre, mais les discussions se poursuivent en vue d'un texte définitif, a indiqué vendredi une porte‑parole du constructeur automobile français. « Je vous confirme qu'un accord‑cadre a été signé mais les discussions se poursuivent » en vue de la finalisation de cet accord, a‑t‑elle déclaré, confirmant une information du Figaro. Elle a précisé que la signature était intervenue le 25 mai.

                  Interrogée sur la clientèle visée, la porte‑parole a expliqué que les voitures de cette usine seraient destinées au marché local. Elle s'est refusée à donner plus d'informations, notamment sur le type de voiture, compte tenu des discussions en cours. Dans la région, Renault a déjà une unité à Tanger (Maroc), dont l'essentiel de la production est destiné à l'export.

                  Selon Le Figaro, l'usine d'Algérie fabriquera initialement la voiture la plus vendue par Renault en Algérie : la Symbol, une Clio II à coffre apparent. Les discussions traînent en longueur car les deux parties s'affrontent sur le lieu d'implantation : le gouvernement algérien privilégie le site de Jijel, une ville portuaire située à 350 kilomètres à l'est d'Alger, pour des raisons d'aménagement du territoire, alors que Renault préfèrerait la banlieue d'Alger où il est plus facile de trouver de la main‑d'oeuvre qualifiée. Le gouvernement algérien semble aussi vouloir un projet plus ambitieux, en matière de volume de production, que celui poussé par le groupe français.

                  Fin avril, le ministre de l'Industrie, Mohamed Benmeradi, avait reconnu que Renault n'était pas satisfait du lieu d'implantation proposé, « loin du bassin d'emploi et n'offrant pas les opportunités nécessaires ». Début février, le PDG de Renault, Carlos Ghosn, avait indiqué qu'aucune décision n'avait encore été prise par le constructeur sur ce projet alors que M. Benmeradi avait assuré quelques jours auparavant qu'Alger et Renault étaient sur le point de signer un protocole d'accord.

                  TSA

                  Commentaire


                  • #39
                    donner la leçon à un pays souverain qui a son mot à dire sur son sol..
                    Terribles califications ,j'ai bien rigolé mme si c'est nul ..c'est la voix du nif qui parle,mais c'est pas grave ,hihihhihhi
                    Coucher du soleil à Agadir

                    Commentaire


                    • #40
                      babababa, comme quoi il suffit de peu pour voir les Marocains exulter.

                      Mais quelle déluge de haine, d'aigreur, de jalousie... vous n'êtes pas loin de faire une syncope.

                      Que Renault s'installe ou pas en Algérie, on s'en fout. Ce n'est pas l'alpha et l'oméga. Si on avait des décideurs corrects, personne n'aurait entendu parler de Renault ou de pseudos négociations. La priorité aurait été donné aux allemands et américains.
                      Je parle bien de Renault et pas de Dacia la Romaine, la filiale qui s'est installée chez vous pour réduire ses coûts. Comme si une usine Française n'a recruté que des Marocains. Puisque la législation Française ne permet pas de payer au dessous de Smic alors il faut la contourner. Il faut s'installer juste côté et profiter ainsi des bas salaires. Voila la stricte vérité qui fait malheureusement masturber à l'ouest.

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                      • #41
                        À qui ??? Des pays qui refusent d'acheter si on ne produit pas chez eux ......
                        C'est du ressort de Renault. Au Maroc, par exemple !

                        Commentaire


                        • #42
                          vous n'avez même la base pour serrer des boulons en chaîne, alors construire des usines simples ma parole rfad niveau un peux...
                          wenta adraf chwiya ...
                          Dernière modification par absent, 02 juin 2012, 03h14.

                          Commentaire


                          • #43
                            je ne vois pas pourquoi les sujets du royaume merveilleux voisin entrent en transe, et font des prieres a leurs roi des pauvres sur ce sujet ?!?!

                            on ne parle de Dacia (pourries, bas de gamme pour smicards), mais de Renault, Clio tricorps pour commencer ...

                            une voiture qui sera montée sur place, et non pas assemblée

                            les negos sont serrées et durent car a Alger on ne veut pas d'usines tournevis, c'est pourtant simple, non ?

                            Commentaire


                            • #44
                              Les negos sont serrées et durent car a Alger on ne veut pas d'usines tournevis, c'est pourtant simple, non ?

                              rasibus


                              Au final , tu n'auras ni "usine tournevis" , ni rien du tout.

                              Ta dictature sors le nif pour tout faire capoter car l'import / import arrange la mafia des généraux et ceux qui gravitent autour d'eux..

                              Le pompage etant encore là pour sauver le pays car une fois les puits asséchés tu n'auras même plus les moyens d'acheter chez ces usines tournevis que tu méprises car elles auront prospérées entretemps et pris leur autonomies. Les nouveaux dragons asiatiques , l'Inde , le Brésil etc... ont tous commencé avec des usines tournevis comme tu dis.

                              Il n' y a que les fainéants et les vaniteux qui n'avancent jamais et ce n'est pas un nif que tu n'as decouvert qu'entre 1954 et 1962 et avec lequel tu te gargarises qui arrangera les choses..

                              Commentaire


                              • #45
                                @Serpillère: Arrête de baver, même si ça te fait mal et que tes dou3as n'ont pas été entendues, il faut l'admettre : cette usine sera construite...Mais ce n'est qu'un début, on attend plus d'un pays comme l'Algérie : restant un pays pétrolier et donc plein aux as, le pays cherche à diversifier son économie et c'est un bon début avec tous ces plans (partenariat Renault-SNVI, Mercedes-SNVI...).

                                Quid de ton royaume fauché? Je vais te résumer ton économie: montage sans valeur ajoutée, terrain d'exploitation pour multinationales qui délèguent les basses-oeuvres et attirées par les salaires "lance-pierres", tourisme de masse pour smicards, maticha et pluviométrie qui joue un rôle majeur dans la croissance...Voilà pour la micro-économie pluviométrique...Pas d'innovation, pas de valeur ajoutée, zéro...

                                Au niveau du développement, c'est la catastrophe : quand on se retrouve classé 130 eme en terme de développement humain, derrière des pays subsahariens, mieux vaut se cacher la tête derrière les jambes...

                                Le makhzeno-babouchisme est une idéologie qui fait beaucoup de dégâts, la preuve....
                                Dernière modification par Algerinho, 02 juin 2012, 11h42.

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