D’après le secrétaire générale du comité de la liaison transsaharienne, Mohamed Ayadi, les entreprises algériennes de travaux publics ne participent pas à la réalisation des tronçons africains du projet de la route transsaharienne .
« Je regrette beaucoup que l’Algérie qui a un fort potentiel d’entreprises de travaux publics, ne soit pas présente au niveau des projets prévus sur le territoire des pays du sahel », a déploré M. Ayadi, en ajoutant qu’il a informé, à plusieurs reprises, les opérateurs du secteur des travaux publics de l’existence d’un certain nombre de projets dans cette région d’Afrique.
La réalisation de la transsaharienne permettra à l'Algérie et aux autres pays africains concernés de tirer profit de grandes retombées commerciales et économiques. Ce grand projet, vieux de trente ans, enregistre un retard essentiellement lié au financement, à la sécurité et autres obstacles techniques.
La partie algérienne du projet est presque arrivé à son terme, d’après Mohamed Ayadi qui précise que « 320 Km restent encore à réaliser. Pour les autres pays, 450 Km restent à réaliser au Tchad et 250 Km au Niger, mais le problème se pose au Mali. Dans ce pays, 700 Km restent à réaliser dans une zone qui connaît aujourd’hui des troubles politiques».
Concernant l’achèvement total du projet de la route transsaharienne, le secrétaire général a déclaré qu’il «est très difficile de fixer une date à cause du manque de moyens de certains pays, notamment le Mali, qui est un pays pauvre et où l’obtention des crédits est très difficile», en ajoutant que, « à part l’Algérie et le Niger, où le financement est budgétaire, le financement se fait à travers des bailleurs de fonds, ce qui paralyse l’avancement du projet». Rappelons que la Transsaharienne s'étale sur une distance de plus de 4000 km.
Noton que Le président Abdelaziz Bouteflika a inauguré le 5 avril 2011 à Tamanrasset un tronçon de 420 km de la route transsaharienne. Ce tronçon relie Tamanrasset à In Guezzam, ville située sur la frontière avec le Niger.
Avec ce tronçon, l’Algérie a pratiquement achevé la partie du projet qui la concerne. La transsaharienne doit relier Alger à Lagos au Nigéria.
Source: l'Eco-News
« Je regrette beaucoup que l’Algérie qui a un fort potentiel d’entreprises de travaux publics, ne soit pas présente au niveau des projets prévus sur le territoire des pays du sahel », a déploré M. Ayadi, en ajoutant qu’il a informé, à plusieurs reprises, les opérateurs du secteur des travaux publics de l’existence d’un certain nombre de projets dans cette région d’Afrique.
La réalisation de la transsaharienne permettra à l'Algérie et aux autres pays africains concernés de tirer profit de grandes retombées commerciales et économiques. Ce grand projet, vieux de trente ans, enregistre un retard essentiellement lié au financement, à la sécurité et autres obstacles techniques.
La partie algérienne du projet est presque arrivé à son terme, d’après Mohamed Ayadi qui précise que « 320 Km restent encore à réaliser. Pour les autres pays, 450 Km restent à réaliser au Tchad et 250 Km au Niger, mais le problème se pose au Mali. Dans ce pays, 700 Km restent à réaliser dans une zone qui connaît aujourd’hui des troubles politiques».
Concernant l’achèvement total du projet de la route transsaharienne, le secrétaire général a déclaré qu’il «est très difficile de fixer une date à cause du manque de moyens de certains pays, notamment le Mali, qui est un pays pauvre et où l’obtention des crédits est très difficile», en ajoutant que, « à part l’Algérie et le Niger, où le financement est budgétaire, le financement se fait à travers des bailleurs de fonds, ce qui paralyse l’avancement du projet». Rappelons que la Transsaharienne s'étale sur une distance de plus de 4000 km.
Noton que Le président Abdelaziz Bouteflika a inauguré le 5 avril 2011 à Tamanrasset un tronçon de 420 km de la route transsaharienne. Ce tronçon relie Tamanrasset à In Guezzam, ville située sur la frontière avec le Niger.
Avec ce tronçon, l’Algérie a pratiquement achevé la partie du projet qui la concerne. La transsaharienne doit relier Alger à Lagos au Nigéria.
Source: l'Eco-News

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