Algerie: Dessalement d’eau de mer (13 mégastations et 30 stations monobloc)

[MEK]

Ca demande combien d'énergie par m3 d'eau?

Station de dessalement: le prix du m3 d'eau est de 48 DA/m3.TTC comprend tous les charges et compris l'énergie

Barrage: le prix du m3 d'eau d’un barrage revient à 32 DA/m3. TTC

Le prix du mètre cube d’eau d’un barrage revient à 32 DA/m3, alors que l’eau dessalée est de 48 DA/m3. la différence et de 16 DA environs 0.16€

L'inconvénient pour les barrages il faut la pluie

L'avantage pour les stations de dessalement, l'eau de mer est toujours présente et à proximité des villes. et en + les plus grandes villes en Algérie sont tous situés près de la mer

[jawzia]

l'aspect religieux (fiqh) de la question de l'eau impure traitée est très intéressant aussi et y'a beaucoup de choses à dire

Cela mériterait un sujet dans la rubrique d'en dessous !

[Cell]

genre panneaux solaires fabriqués avec des matériaux dont les réserves sont épuisées et dont le coup énergétique est comparable à ce qu'ils fourniront durant leur durée de vie!

Un panneaux solaire est prooduit à partir de Silicium , fabriqué à partir ..... de Sable ....... c'est pas un Matériau en voie d'extinction .....

il y a meme aujourd'hui des panneaux qui sont fabriqués à base de matériaux polymériques .

un panneau solaire produit l'energie qui a servit à sa production aprés 2500 heures de fonctionnement à Puissance nominale . soit aprés 3 ans (en europe du nord ) , ou 1,5-2 ans ( en afrique du nord) ........

sinon t'a raison pour le reste , le photovoltaique est une solution merdique pour la production d'electricité ......

[Bachi]

Station de dessalement: le prix du m3 d'eau est de 48 DA/m3.

Dans cette estimation, le prix de l'énergie est comptabilisé au coût réel ( cours mondial) ?

[MAN]

Cela mériterait un sujet dans la rubrique d'en dessous !

Non, juste une petite recherche pour qui serait intéressé et passer son chemin pour qui serait plus terre à terre.

[Cell]

Dans cette estimation, le prix de l'énergie est comptabilisé au coût réel ( cours mondial) ?

Nope , c'est sur base du cout du kWh algérien ....................

L'inconvénient pour les barrages il faut la pluie

L'avantage pour les stations de dessalement, l'eau de mer est toujours présente et à proximité des villes

seulement , les barrages seront toujours là dans 50 ans , pour peu qu'il y ai de l'entretien .... alors que l'energie quasi gratuite pour dessaler l'eau ..... peut etre PAS

[MAN]

Un panneaux solaire est prooduit à partir de Silicium , fabriqué à partir ..... de Sable ....... c'est pas un Matériau en voie d'extinction .....

il y a meme aujourd'hui des panneaux qui sont fabriqués à base de matériaux polymériques .

un panneau solaire produit l'energie qui a servit à sa production aprés 2500 heures de fonctionnement à Puissance nominale . soit aprés 3 ans (en europe du nord ) , ou 1,5-2 ans ( en afrique du nord) ........

sinon t'a raison pour le reste , le photovoltaique est une solution merdique pour la production d'electricité ......

Je pensais à certaines solutions à base de germanium (épuisement prévu dans une quinzaine d'année) ou de semiconducteurs de type III-V genre composées d'induim (épuisement prévu dans moins de 5 ans), ce genre de solutions sont BEAUCOUP plus efficaces que le silicium en terme de conversion photovoltaïque mais BEAUCOUP plus chères aussi (et épuisable).

Autre hic, la question du calcul de la puissance de sorti nominale qui peut être très loin de la réalité (détérioration très rapide pour certaines solutions) et dans tous les cas, un panneau ne produira pratiquement rien et devra être changé au bout de 15 à 20 ans (ou un peu plus, je ne me rappelle plus des chiffres exactes). Donc même avec un retour de 3 ans, ces 3 ans ne sont pas négligeables devant les 15 ans de service (dans le cas le plus défavorable).

[Bachi]

les barrages seront toujours là

c'est sûr que les barrages, c'est ce qu'il y a de plus intéressant et écologique mais le problème en Algérie, c'est la pluviométrie. Il y a des cycles de importants de sècheresse et on se retrouve sans eau. Il faut avoir connu l'Algérie dans les années 80 pour se rendre compte que la désalinisation malgré tout est bien nécessaire. Dommage qu'en Algérie, tout soit subventionné.

[MEK]

seulement , les barrages seront toujours là dans 50 ans , pour peu qu'il y ai de l'entretien .... alors que l'energie quasi gratuite pour dessaler l'eau ..... peut etre PAS

L'Algérie dispose d'un certain nombre de barrages et d'autres en constructions

Les stations de dessalement ne représentent que 10 % pour la consommation

[absent]

Pour répondre un problème urgent et critique, il faut appliquer des solutions urgentes et efficaces. Le désalement d'eau de mer est la solution par excellence.

L'Algérie l'a appliqué. Le résultat est là. On attend les stations suivantes.

De plus, plusieurs petites stations de traitements des eaux usées ont été réceptionné, ici et là, et dont l'eau traité est utilisées pour l'irrigation.

Soit.

Mais ce n'est point suffisant. Et il ne faut pas dormir sur ses lauriers. La crise énergétique est à l'horison, et la consommation d'eau en Algérie augmente de façon exponentielle.

Par conséquent, pour le moyen et le long terme, il faut continuer dans :
- la construction des barrages et des retenues d'eau pluviales.
- la politique de gestion rationnelle des eaux :

• eau potable (fuite, réduction de consommation)
• eau d'irrigation (goutte à goutte, traitement des eaux usées ...etc)
• utilisation rationnelle des eaux souterraines
• ...etc

- La mise en oeuvre de solutions plus pérennes en terme de consommation énergétique et de anti-pollutions. Dans ce cas précis, le solaire est l'une des solutions à retenir.

[LIXUS]

Autre hic, la question du calcul de la puissance de sorti nominale qui peut être très loin de la réalité (détérioration très rapide pour certaines solutions) et dans tous les cas, un panneau ne produira pratiquement rien et devra être changé au bout de 15 à 20 ans (ou un peu plus, je ne me rappelle plus des chiffres exactes). Donc même avec un retour de 3 ans, ces 3 ans ne sont pas négligeables devant les 15 ans de service (dans le cas le plus défavorable).

Un panneau solaire a une durée de vie d'une trentaine d'années mais on peut aller plus loin avec un rendement qui aura bien baissé entretemps. On parle souvent de 80% à 20 ans mais c'est plus un argument commercial. Il faut bien les entretenir pour que leur surface reste propres sans dommage apparent.

Les panneaux solaires photovoltaïques fonctionnent à la lumière du soleil, donc, dans nos contrées, on est plutôt avantagé. Cependant, leur ennemi principal est la chaleur. A partir de 25°C, la production d'un panneau solaire baisse (si je me souviens bien).

De toutes façons, les évolutions dans ce domaine sont énormes et on améliore sans cesse le rendement des cellules photovoltaïques.

Il y a une énergie qui est très intéressante et qui concerne les zones côtières avec des courants marins importants. Il s'agit des hydroliennes qui sont des "éoliennes" sous-marins fonctionnant avec la force des courants. Il y a aussi l'énergie marée-motrice qui fonctionne avec les marées et il existe aussi des systèmes qui utilisent la force des vagues sur le rivage. Ce sont de gros boudins posés sur la surface de l'eau et qui avec le mouvement de la houle, font de l'électricité.

Ce sont des solutions qui intéressent plus le Maroc de part la situation géographique (avec l'éolien également).

[AARROU]

Il y'a encore moins cher !!!!!!

Et en quantité ! L'aquifère * du Sahara septentrional, qui s'étend sur plus de un million de kilomètres carrés sous l'Algérie, la Tunisie et la Libye, recèle environ 31 000 milliards de mètres cubes d'eau. À titre de comparaison, la nappe souterraine de l'Albien, qui occupe environ 100 000 kilomètres carrés sous le Bassin de Paris, n'en renferme « que » 425 milliards de mètres cubes.

[upup]

AAROU,

Au Maroc première tranche ( moins de 6 m3) facturé à moins de 2,5 dhs le m3 .tes 10 dhs / m3 c est pour les tranches supérieures ( ca depend des villes ) .

même si l eau ne coûte rien a produire , il faut rentabiliser les barrages et autres ouvrages, il faut bien la traiter et la transporter jusqu’aux consommateurs ...