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L'économie algérienne s'essouffle, les exportations de brut reculent (Laksaci)

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  • #16
    Exportation ne veut pas dire Production
    Rak Tchouf !

    Qu'est ce que j'écrivais plus haut ! Le Mec croit qu'en se livrant à du coloriage il gagnera en alphabétisation (économique) !

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    • #17
      Si l'économie algérienne s'essouffle, l'économie de ton bled, Dabachi, a fait une crise cardiaque...Allez, il faut aller quémander au FMI ou chez les maîtres khalijis, oublie pas ta gamelle...

      Surtout que depuis peu quand le Maroc quémande le FMI c'est aussi un peu l'Algérie qu'il quémande

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      • #18
        Y en a qui confondent toujours les exportations et la production?

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        • #19
          Y en a qui confondent toujours les exportations et la production?
          cne
          Détrompe toi l'ami !!

          Le topic parle des exportations algériennes et mansali06 a parlé de la production qui ,si on veut rester cohérent avec le sujet,concerne celle destinée à l'exportation.
          Maintenant si tu insistes sur la production destinée à la consommation locale , elle reste également négligeable comparée au tout import et si tu veux des articles d'experts "analphabètes" à ce sujet , tu n'as qu' à demander.
          A titre d'exemple l’Algérie a importé pour près de 10 milliards de dollars rien qu'en produits alimentaires en 2011.

          Rak Tchouf !

          Qu'est ce que j'écrivais plus haut ! Le Mec croit qu'en se livrant à du coloriage il gagnera en alphabétisation (économique) !


          Jawzia
          C'est quand même sidérant de vouloir constamment cacher le soleil avec un tamis comme si les gens n'ont que Jawzia pour seul "expert" économique afin de connaitre l’économie algérienne.
          Or tout le monde s'accorde à dire que l'Algerie est un pays RENTIERqui ne survit que grâce aux hydrocarbures et cela été tellement ressassé par les vraisexperts nationaux et internationaux que même les analphabètes ont fini par l'assimiler car un analphabète n'est pas forcement un ignorant.

          Libre à toi de croire à tes "certitudes" et de les vanter mais l'avenir de l’Algérie est très incertain voire dramatique car aucune économie alternative aux hydrocarbures n'est encore proposée par le régime algérien qui croit pouvoir faire taire le peuple en lui remplissant la panse grâce à l'import/ import permis par des caisses PROVISOIREMENT pleines.

          A bon entendeur , salut !!!

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          • #20
            Surtout que depuis peu quand le Maroc quémande le FMI c'est aussi un peu l'Algérie qu'il quémande

            Sami9313
            Il y a une proverbe marocain qui dit " Illa bghiti chi hajja douk fe dare lakbira" c.à;d si tu veux quelque chose frappe à la bonne porte .

            Un noyé n'a jamais secouru un autre noyé...

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            • #21
              Ca vous chiffonne que votre pays ait recours au FMI et que l'algerie prète á cet organisme, mais ca c'est pas grave, nous avons aussi été des clients du FMI, ils nous avaient imposé les réformes structurelles et nous ont dicté des politiques économiques des plus rigoureuses. Emprunter de chez le FMI voudrait dire , ètre prét á céder une certaine souverainté sur son économie et sur ses projets sociaux.
              En plus du SO qui aspire de gros budgets, l'avenir du Maroc est hypothéqué. Il vous faut d'urgence des solutions pragmatiques qui vous permetteront de remettre le train marocain á la bonne puissance, reduire drastiquement les dépenses et opter pour l'austérité budgetaire.

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              • #22
                Réserves de change : 4,5 milliards de dollars de rémunération en 2011

                le 31.10.12 | 10h00 Interpellé par les députés sur diverses questions d’actualité, le gouverneur de la Banque d’Algérie, Mohamed Laksaci, a une nouvelle fois abordé la politique de gestion des réserves de change, estimées à plus de 182 milliards de dollars à la fin décembre 2011.
                Il a indiqué dans ce sens que dans un contexte de crise, la Banque d’Algérie a opté pour des placements sûrs ; les placements dans les portefeuilles obligataires souverains ont été préférés à ceux dans les banques commerciales. Ainsi, seuls 2% des réserves ont été orientés vers les banques commerciales qui se caractérisent par leur solidité financière et leur rating «triple A». L’autorité monétaire a également opté, en raison de la crise en zone euro et des risques élevés de change dans la région précitée, pour des placements plus importants en dollars qu’en euros. Ainsi, 57% des réserves sont placées en dollars et 28% en euros, tandis que le reste est placé en diverses devises. Cette gestion sûre a été toutefois le corollaire d’un taux de rémunération extrêmement bas, selon les propos du gouverneur, qui indique que celui-ci s’est établi en moyenne à 2,5% en 2011. Il en ressort, pour l’année de référence, que les réserves de change placées ont rapporté 4,5 milliards de rémunération.Roumadi Melissa
                The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                • #23
                  Ca vous chiffonne que votre pays ait recours au FMI et que l'algerie prète á cet organisme,

                  Aggour
                  Non ce qui me chiffonne c'est que cet organisme qui ,hier encore (et tu le reconnait), imposait à l’Algérie des mesures draconiennes pour lui consentir un prêt reçoit 5 milliards comme ça.. pour que l’Algérie soit mieux apprécié par le FMI selon le ministre algerien Djoudi..

                  Un article sur ce paradoxe.

                  Le paradoxe algérien avec le FMI. Publié le 18 / 10 / 2012


                  Comment la position de l’Algérie est affaiblie au sein du FMI.
                  Le Fonds Monétaire International (FMI) n’est pas très populaire auprès du citoyen algérien de base. Le reproche qui est adressé à l’organisme financier est d’avoir démantelé une partie du tissu public déficitaire lors du plan d’ajustement structurel des années 90. L’algérien ignore souvent que si son pays ne s’est pas écroulé économiquement entre 1993-1995, et que si des importations de matières alimentaires et vitales ont pu alors avoir lieu, c’est grâce au FMI. C’est d’ailleurs l’Etat algérien qui a demandé à l’époque l’aide du FMI et non pas le contraire. Un petit rappel nécessaire qui peut expliquer les grandes précautions prises par Alger, par rapport à son opinion intérieure, dans le refinancement actuel du FMI.
                  Ce refinancement contient deux volets. Le premier concerne la participation de l'Algerie à un emprunt lancé par le FMI avec un montant de 5 milliards de dollars. A titre indicatif, les autres pays membres du FMI ont promis 456 milliards de dollars pour faire face à la crise internationale. Le prêt algérien s’effectuera sous forme d’accord d’achat de titres libellés en Droits de tirage spéciaux (DTS). Il s’agit là d’une opération comparable à l’achat de bons d’Etat, avec la différence notable que le FMI a une solidité largement supérieure à celle d’un Etat isolé aussi développé soit-il. Ce prêt en lui même est une décision rationnelle prise suivant des critères financiers tout à fait valables. Le FMI étant une institution financière multilatérale de premier ordre, ce qui garantit « un niveau de sécurité élevé des placements« .
                  Mais sur le deuxième volet, il y a là un paradoxe de la stratégie algérienne qui n’a pas été relevé par la presse économique. En parallèle à l’emprunt, le FMI a décidé de doubler ses quotes-parts en 2010. De quoi s’agit-il ?
                  « Chaque pays membre se voit attribuer une quote-part, en principe proportionnelle à son poids dans l’économie mondiale, qui détermine sa contribution maximale au capital du FMI. ( Source FMI) »
                  Depuis 2008, l’Algérie détient 1254,7 millions de DTS de quote_parts, soit 0,53% du total. Le renforcement du FMI décidé en décembre 2010 est un doublement des quotes-parts, de 238,4 milliards de DTS à environ 476,8 milliards de DTS (quelque 750 milliards de dollars). Rien que pour conserver le même poids après doublement au sein de l’institution de Pennsylvania Avenue à Washington, Alger aurait du s’engager sur un même montant de 1.254,7 millions de DTS. Surprise avec le décret de Bouteflika publié au dernier journal officiel, l’Algérie augmente sa quote-part au FMI de 705,2 millions de DTS (équivalent de plus d’un milliard de dollars) la portant à 1.959,9 millions de DTS (près de 3 milliards de dollars).

                  Conclusion, la quote-part algérienne au FMI devient plus faible et ne sera plus que de 0,41% du total !
                  Attitude paradoxale, Alger n’augmente pas son poids et son influence au sein du FMI. Une position qui ne reflète pas vraiment son poids dans l’économie mondiale. Et en même temps, Alger accorde un prêt important de 5 milliards de dollars à un organisme duquel elle se désengage relativement. Cela ressemble fort à une occasion ratée ou tout du moins à une stratégie mystérieuse!
                  Quant à l’algérien de base, il critique avec une grande sévérité le fait qu’ »un pays avec un peuple pauvre prête son argent à des pays riches« . Il ignore que l’Algérie est un géant aux pieds d’argile. Qui peut garantir que dans l’avenir Alger n’aura pas de nouveau recours aux services du FMI pour garantir son quotidien, sa baguette de pain et son sachet de lait ?
                  **************

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                  • #24
                    L'économie algérienne s'essouffle, les exportations de brut reculent (Laksaci)

                    90% des nations aimerais un essoufflement a l’algérienne ,dette extérieure nul ,plusieurs centaine de milliard de réserve de change ,le pays un chantier a ciel ouvert du nord au sud et d'est en ouest ,tous les projets payer cash .
                    VIVE L’ESSOUFFLEMENT...

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                    • #25
                      VIVE L’ESSOUFFLEMENT...
                      C'est de l’essoufflement positif .
                      Vous savez en Algérie tout n'est pas mal et destruction, il y a du bien ... même beaucoup de bien.
                      Les algériens par nature aspirent à l'excellence d'où place à la critique objective.
                      وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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