Bonjour, on a l'impréssion qu'une concurrence saine s'est établi entre le Maroc et l'Algérie, et que le Maroc à une grande facilité ainsi qu'une aisance dans les objectifs économique et les but à atteindre. Rectifiez moi si je me trompe.
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L’encours de la dette extérieure marocaine a enregistré une baisse en 2005 passant de 70,5 (8,5 milliards de dollars) à 68,9 milliards de dirhams (7,4 milliards de dollars), indique la Banque centrale du Maroc dans son rapport annuel.
La Banque centrale marocaine a, en matière de gestion de la dette, annoncé des opérations de conversion de dettes en investissements privés pour un montant de 45,8 millions de dollars, et en investissements publics avec l’Italie et l’Espagne à hauteur respectivement de 20 millions et 17,5 millions d’euros.
Le même rapport indique que l’encours de la dette extérieure représente 21 % de l’endettement global du pays et 15,1 % du PIB. L’encours global de la dette publique directe du Maroc a atteint 327,4 milliards de dirhams (1 euro=10,80 dhs) et a augmenté de 11,3 %, portant le taux d’endettement à 71,6 % du PIB, contre 66,3 % en 2004, affirme la Banque.
La hausse de l’encours de la dette publique du pays est due à la progression de 15,5 % à 258,5 milliards de dirhams de la dette intérieure en 2005 (contre 223,9 milliards de dirhams en 2004). La loi de finances pour 2006 du Maroc, qui a réaménagé à la hausse plusieurs segments fiscaux pour améliorer les recettes du Trésor, notamment des hausses de plus de 10 % de la TVA de certains produits de large consommation ainsi que les commissions bancaires (+10 %), prévoit une progression de 12 % de la dette publique qui représentera 27 % des dépenses budgétaires et 75 % du PIB à la fin de l’exercice budgétaire.
R. E
26 juillet 2006 Le Jeune Indépendant
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L’encours de la dette extérieure marocaine a enregistré une baisse en 2005 passant de 70,5 (8,5 milliards de dollars) à 68,9 milliards de dirhams (7,4 milliards de dollars), indique la Banque centrale du Maroc dans son rapport annuel.
La Banque centrale marocaine a, en matière de gestion de la dette, annoncé des opérations de conversion de dettes en investissements privés pour un montant de 45,8 millions de dollars, et en investissements publics avec l’Italie et l’Espagne à hauteur respectivement de 20 millions et 17,5 millions d’euros.
Le même rapport indique que l’encours de la dette extérieure représente 21 % de l’endettement global du pays et 15,1 % du PIB. L’encours global de la dette publique directe du Maroc a atteint 327,4 milliards de dirhams (1 euro=10,80 dhs) et a augmenté de 11,3 %, portant le taux d’endettement à 71,6 % du PIB, contre 66,3 % en 2004, affirme la Banque.
La hausse de l’encours de la dette publique du pays est due à la progression de 15,5 % à 258,5 milliards de dirhams de la dette intérieure en 2005 (contre 223,9 milliards de dirhams en 2004). La loi de finances pour 2006 du Maroc, qui a réaménagé à la hausse plusieurs segments fiscaux pour améliorer les recettes du Trésor, notamment des hausses de plus de 10 % de la TVA de certains produits de large consommation ainsi que les commissions bancaires (+10 %), prévoit une progression de 12 % de la dette publique qui représentera 27 % des dépenses budgétaires et 75 % du PIB à la fin de l’exercice budgétaire.
R. E
26 juillet 2006 Le Jeune Indépendant
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