Partenariat Algéro-Italien Plusieurs créneaux identifiés

[MEK]

Une trentaine de chefs de grandes entreprises italiennes sont à Alger, à la recherche de partenaires. Dans ce sens, un symposium a été organisé, aujourd’hui, pour mettre en contact les opérateurs algériens et italiens.

Cette rencontre a été marquée par la présence de Cherif Rahmani, ministre de l’Industrie, l’ambassadeur d’Italie à Alger, Michele Giacomelli, Antonio Baldini, Vice-président d’une association patronale italienne, ISIAMED et de Réda Hamiani, président du FCE.

A cet effet, plusieurs créneaux d’activité ont été identifiés, selon le ministre de l’Industrie Chérif Rahmani. Il s’agit notamment de la production manufacturière, du bâtiment et travaux publics, des infrastructures sportives, de zones industrielles, de la Pêche, de la mécanique et des énergies renouvelables.

Dans son intervention, le ministre de l’industrie a indiqué que les relations entre l’Algérie et l’Italie sont excellentes, les Italiens ont un savoir-faire et une maitrise des technologies, quand à l’Algérie, poursuit-t-il, possède des ressources financières importantes et un marché interne exceptionnel. « Nous devons mettre en synergie l’ensemble des atouts afin d’impulser un partenariat d’exception entre les deux pays et faire de la Méditerranée une priorité pour le développement», insiste Chérif Rahmani.

Pour sa part, l’ambassadeur d’Italie à Alger, Michele Giacomelli, a indiqué que « l’objectif politique de cette rencontre est de faire de la Méditerranée un espace de prospérité et de développement économique». Dans son intervention, Réda Hamiani a rappelé l’objectif de l’Algérie à travers cette coopération : « nous voulons construire une économie hors hydrocarbure».

Selon lui, un partenariat avec l’Italie, qui possède plus de 4 millions de PME-PMI, est la meilleure réponse pour atteindre l’objectif de l’Algérie. Les échanges économiques entre l’Algérie et l’Italie sont dominés par l’activité des hydrocarbures et le commerce.

Le montant des échanges commerciaux entre l’Algérie et l’Italie tourne autour de 15 milliards de dollars dont prés de 10 milliards dollars des exportations vers l’Italie. Pour sa part, l’Italie exporte vers l’Algérie pour un montant avoisinant 5 milliards dollars.


Mahmoud Chaal 03 mars 2013










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[zaki123]

ce n'est pas suffisan car les gens du gouvernement fait écran..

l'italie si elle veut reelemnt se redéployer vers l'exterieur , des salles de documentation scientifique technique genre ''entre culturel speciale'' ou carrement une copie de leurs service commercial de l'ambassade das chaque université de chaque wilaya....les futures producteurs sont sur les bancs des universités..l'italie pourra court circuité tout ce systeme de caracans..figurez vous avant les endeignants en adminsitartoions cachaient les offres de bourse et de stage et ne l'affiche que 24 heures avant la cloture des candidatures..on vait dit a l'époque c'est normal ils cherchent a devenir de grade prof....une fois le devenir ils vont affcher les offres et laisser les etudiants se former a l'etranger..eh bien non..une fois devenue prof ils reste comme il etait, sinon il est devenu encore pire...puisque le cadre est augmenter d'autres calcule vont surgir dans sa tete..depassant la 50 ils veut mettre le feu dans tout det ne rien laisser apres lui...c'est un constats que nos enfants subssent dans les universiés...
""le fils du miserable restera misérable meme s'il deviendra miliardaire et le fils du riche restera riche meme s'il tombe dans la misère''..