(Agence Ecofin 04/04/2013)
Après les compagnies européennes, américaines, australiennes, c’est au tour du russe Roman Abramovitch de faire son entrée dans le secteur pétrolier marocain. Associé à la compagnie irlandaise Circle Oil Plc, l’oligarque russe envisagerait d’investir 20 millions de dollars dans l’exploration d’un premier bloc dans le bassin du Rharb, testé avec succès selon Circle Oil.
Avec une fortune estimée à 10,2 milliards de dollars, Roman Abramovitch, propriétaire du club de football anglais Chelsea FC, fait partie du top 100 des fortunes privées mondiales.
La directrice générale de l'Office national des hydrocarbures et des mines (ONHYM), Amina Benkhadra, confirmait cette semaine, dans une interview accordée au journal Le Matin, que « des similitudes existent entre certains bassins marocains avec des zones productrices notamment dans le Golf du Mexique et au large de Nova Scotia », et que le Maroc regorge de réserves importantes en hydrocarbures non matures et gaz de schistes évaluées à 50 milliards de barils, plaçant ainsi le royaume chérifien au 6eme rang mondial.
Après les compagnies européennes, américaines, australiennes, c’est au tour du russe Roman Abramovitch de faire son entrée dans le secteur pétrolier marocain. Associé à la compagnie irlandaise Circle Oil Plc, l’oligarque russe envisagerait d’investir 20 millions de dollars dans l’exploration d’un premier bloc dans le bassin du Rharb, testé avec succès selon Circle Oil.
Avec une fortune estimée à 10,2 milliards de dollars, Roman Abramovitch, propriétaire du club de football anglais Chelsea FC, fait partie du top 100 des fortunes privées mondiales.
La directrice générale de l'Office national des hydrocarbures et des mines (ONHYM), Amina Benkhadra, confirmait cette semaine, dans une interview accordée au journal Le Matin, que « des similitudes existent entre certains bassins marocains avec des zones productrices notamment dans le Golf du Mexique et au large de Nova Scotia », et que le Maroc regorge de réserves importantes en hydrocarbures non matures et gaz de schistes évaluées à 50 milliards de barils, plaçant ainsi le royaume chérifien au 6eme rang mondial.
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