En dépit de la forte extension de la superficie consacrée aux vergers des oliviers qui avoisine les 10 000 hectares, la culture biologique entamée ces dernières années au niveau des plaines de Djidiouia, dans la wilaya de Relizane, n’a finalement pas abouti.
En effet, tous les oliviers plantés sur les quatre hectares consacrés à cette expérience ont péri. L’une des raisons invoquée par les responsables pour expliquer cet échec réside dans l’absence de formation spécifique à la culture biologique. «Il faut donner à l’agriculteur les moyens de bien entretenir son exploitation, affirme Nessereddine Boukeriss, secrétaire général de la Chambre de l’agriculture à Relizane. Cela permet d’éviter l’usage de certains produits chimiques.» Pour le responsable, il est maintenant impératif de mettre en place un label pour les olives de la région.
Il rappelle que dans un passé récent l’olive de Relizane avait été exportée vers les Etats-Unis.
Issac B, El Watan
En effet, tous les oliviers plantés sur les quatre hectares consacrés à cette expérience ont péri. L’une des raisons invoquée par les responsables pour expliquer cet échec réside dans l’absence de formation spécifique à la culture biologique. «Il faut donner à l’agriculteur les moyens de bien entretenir son exploitation, affirme Nessereddine Boukeriss, secrétaire général de la Chambre de l’agriculture à Relizane. Cela permet d’éviter l’usage de certains produits chimiques.» Pour le responsable, il est maintenant impératif de mettre en place un label pour les olives de la région.
Il rappelle que dans un passé récent l’olive de Relizane avait été exportée vers les Etats-Unis.
Issac B, El Watan
Commentaire