Nouveau tour de vis dans le commerce extérieur. Les activités d’importation de matières premières, produits et marchandises destinés à la revente sont désormais réglementées par un décret exécutif paru au Journal officiel, publié ce jeudi 25 avril. Le texte oblige « les sociétés commerciales
de disposer d'infrastructures de stockage et de distribution appropriées, aménagées en fonction de la nature, du volume et des nécessités de stockage et de protection des marchandises, objet de leurs activités, et facilement contrôlables par les services habilités ».
Les importateurs concernés sont tenus d'utiliser des moyens de transport adaptés aux spécificités de leurs activités, selon le texte. Ils doivent également « prendre les mesures nécessaires pour le contrôle de la conformité du produit importé préalablement à son admission sur le territoire national, conformément à la législation et à la réglementation en vigueur », selon la même source.
Mais avant d’exercer leurs activités, les sociétés commerciales doivent avoir un agrément délivré par les services du ministère du Commerce et/ou des ministères concernés. Pour celles déjà en activité, elles devront se conformer aux dispositions du nouveau décret dans un délai d’une année, à partir de la date de sa publication, précise le décret signé par le Premier ministre Abdelmalek Sellal.
En durcissant davantage les conditions d’importation, le gouvernement cherche à obliger les importateurs à sortir de l’ombre et à exercer leurs activités dans le respect des lois en vigueur. En arrière-plan, le gouvernement veut surtout compliquer l’acte d’importer, afin d’obliger les importateurs à investir dans la production en Algérie et à réduire la facture d’importation, qui a atteint 12,67 milliards USD durant les trois premiers mois de l’année en cours, contre 10,66 milliards USD à la même période de 2012, en hausse de 18,85%, selon les Douanes algériennes
tsa
de disposer d'infrastructures de stockage et de distribution appropriées, aménagées en fonction de la nature, du volume et des nécessités de stockage et de protection des marchandises, objet de leurs activités, et facilement contrôlables par les services habilités ».
Les importateurs concernés sont tenus d'utiliser des moyens de transport adaptés aux spécificités de leurs activités, selon le texte. Ils doivent également « prendre les mesures nécessaires pour le contrôle de la conformité du produit importé préalablement à son admission sur le territoire national, conformément à la législation et à la réglementation en vigueur », selon la même source.
Mais avant d’exercer leurs activités, les sociétés commerciales doivent avoir un agrément délivré par les services du ministère du Commerce et/ou des ministères concernés. Pour celles déjà en activité, elles devront se conformer aux dispositions du nouveau décret dans un délai d’une année, à partir de la date de sa publication, précise le décret signé par le Premier ministre Abdelmalek Sellal.
En durcissant davantage les conditions d’importation, le gouvernement cherche à obliger les importateurs à sortir de l’ombre et à exercer leurs activités dans le respect des lois en vigueur. En arrière-plan, le gouvernement veut surtout compliquer l’acte d’importer, afin d’obliger les importateurs à investir dans la production en Algérie et à réduire la facture d’importation, qui a atteint 12,67 milliards USD durant les trois premiers mois de l’année en cours, contre 10,66 milliards USD à la même période de 2012, en hausse de 18,85%, selon les Douanes algériennes
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