RIAD (Reuters) - L'Arabie saoudite et la Grande-Bretagne ont signé un accord prévoyant l'acquisition par Riad de 72 avions de chasse Eurofighter Typhoon, une transaction dont des analystes estiment qu'elle pourrait dépasser les six milliards de livres sterling (8,82 milliards d'euros).
Un bref communiqué du ministère saoudien de la Défense, publié jeudi par l'agence de presse officielle SPA, annonce que "l'accord a été signé (...) pour l'achat de 72 appareils Typhoon". Le communiqué, qui ne donne pas la valeur de la transaction, ajoute qu'il inclut aussi un transfert de technologie militaire.
Des sources proches des négociations avaient déjà indiqué qu'un contrat signé en décembre était apparemment assorti d'une option d'achat sur 72 appareils.
Les Eurofighter Typhoons sont destinés à remplacer notamment des Tornados britanniques que possède le Royaume.
Les Typhoon sont fabriqués par le consortium Eurofighter qui inclut le groupe militaire britannique BAE Systems, le groupe européen d'aérospatiale EADS et l'italien Finmeccanica.
L'Arabie saoudite achète régulièrement des armements à la Grande Bretagne, une tradition qui remonte aux années 1960. Elle paye habituellement ces équipements en pétrole.
Un bref communiqué du ministère saoudien de la Défense, publié jeudi par l'agence de presse officielle SPA, annonce que "l'accord a été signé (...) pour l'achat de 72 appareils Typhoon". Le communiqué, qui ne donne pas la valeur de la transaction, ajoute qu'il inclut aussi un transfert de technologie militaire.
Des sources proches des négociations avaient déjà indiqué qu'un contrat signé en décembre était apparemment assorti d'une option d'achat sur 72 appareils.
Les Eurofighter Typhoons sont destinés à remplacer notamment des Tornados britanniques que possède le Royaume.
Les Typhoon sont fabriqués par le consortium Eurofighter qui inclut le groupe militaire britannique BAE Systems, le groupe européen d'aérospatiale EADS et l'italien Finmeccanica.
L'Arabie saoudite achète régulièrement des armements à la Grande Bretagne, une tradition qui remonte aux années 1960. Elle paye habituellement ces équipements en pétrole.

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