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Hamid Melzi, un super P-DG : il dirige en même temps 5 entreprises publiques

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  • Hamid Melzi, un super P-DG : il dirige en même temps 5 entreprises publiques

    Située à 12 km du centre d’Alger, la résidence d’Etat du Club des Pins est la zone la plus sécurisée du pays. Ministres et hauts fonctionnaires de l’Etat y résident. Ce sont les privilégiés de la République. Sa gestion est rattachée à une entreprise publique dont le président-directeur général, Hamid Melzi, fait régner sa loi. Une loi qu’il place au-dessus de toutes celles de la République.

    Il règne en maître sur la résidence d’Etat du Club des Pins et de ses alentours. Autant il se montre serviable à corvée dans le quartier des VIP, autant il est arrogant et méprisant à Moretti, ce village qui faisait la joie des Algériens dans les années 70, pour être l’une des stations balnéaires les plus huppées du pays. Hamid Melzi, l’inamovible directeur de l’EGT Sahel, se comporte en véritable nabab dans cette zone où il fait la pluie et le beau temps. Il loge qui il veut et déloge qui il veut. Sa politique est simple : dès que vous êtes dans les grâces des décisionnaires, il vous chouchoute, prend soin de vous, vous envoie le plateau de qalb ellouz pendant les 30 jours du ramadhan, comme il le fait pour les VIP du Club des Pins, achète à votre enfant le téléphone portable dernier cri, tout en lui susurrant à l’oreille «tu diras à ton papa que c’est ammou Hamid qui me l’a offert». Mais dès que vous tombez en disgrâce, attendez-vous à une brutale volteface qui transforme votre serviteur d’hier en un monstre. Il jette vos affaires dans la rue, empêche vos proches d’accéder à votre demeure, vous coupe l’eau et l’électricité. En un mot, comme en mille, il vous transforme le paradisiaque site de Moretti en un enfer invivable.
    Moretti est comme la propriété privée de Hamid Melzi. N’y habitent que ceux qui sont susceptibles de lui venir en aide en cas de coup dur ou sur lesquels il pourrait compter pour se maintenir à son poste, vaille que vaille. «Un poste que seul la mort me ferait quitter», dira-t-il un jour à l’un de ses amis. Et comment ! Ce poste est une véritable mine d’Or pour le patron de l’EGT SAHEL. Il est une source d’enrichissement sans pareil. Il permet de brasser des milliards et des milliards sans que personne ne vienne fouiner dans ses affaires.

    L’apprenti-maçon est un super P-DG à la tête de 5 entreprises publiques
    Fait unique dans les annales et qui mérite d’être inscrit dans le Guiness-book, Hamid Melzi est à la tête de pas moins de 5 entreprises publiques. Oui, pas moins de 5 entreprises publiques ! Comme si en Algérie, il y a pénurie de cadres pour confier 5 entreprises publiques en même temps à un homme qui n’a jamais fait d’études supérieures.
    Selon des témoins qui l’ont connu en début de carrière, Hamid Melzi avait commencé comme apprenti-maçon dans la même entreprise qu’il dirige aujourd’hui. Une entreprise qui ne semble plus lui suffire. Ses mentors, tant qu’il les sert à satiété, n’y vont pas avec le dos de la cuillère pour le placer à la tête de toute entreprise où il y a le gain facile, loin de tout contrôle. Ainsi, Hamid Melzi cumule avec le poste de Président-Directeur Général de la résidence d’Etat de Club des Pins les postes de :
    - Président-Directeur Général de la SIH
    - Directeur général de la Société de développement hôtelier (SDH), une société mixte algéro-libyenne.
    - Directeur Général de la Société de développement hôtelier du Sud
    - Président du Conseil d’Administration de la société mixte «Société d’ingénierie et de développement en Algérie (SIDEVAL)».
    Ce cumul de fonctions ne peut qu’engendrer un conflit d’intérêt qui se déclare lors des négociations d’honoraires ou de l’élaboration des budgets de réalisation, comme le souligne le représentant de la société franco- luxembourgeoise INTERORG dans la société mixte SIDEVAL dans un mémorandum daté du 6 juin 1963. Ce représentant subira les foudres de guerre de la part de Melzi pour avoir refusé de jouer le jeu qu’il voulait lui imposer.
    Refusant de se soumettre à son bon vouloir, lui tout puissant P-DG de 5 entreprises publiques, il n’hésitera pas à proférer des menaces (d’expulsion d’Algérie) et des insultes à l’encontre du représentant d’INTERORG comme ce fut le cas le 26 octobre 2002. Et ce «devant une partie du personnel de SIDEVAL», précise le représentant de la société INTERORG dans un rapport daté du 19 mars 2003.

    Le choix étrange de certaines sociétés
    Dans ce même rapport, il est souligné que Hamid Melzi a confié, plus d’une fois, de gré à gré à la société ADD la conception de 123 villas construites dans le cadre de l’extension de la résidence d’Etat du Sahel. Quant au marché de réalisation, il a été confié à la société chinoise CSCEC. Aussi paradoxal que cela puisse paraître, ces décisions ont été préjudiciables à la société mixte SIDEVAL dont l’Algérie détient 40% du capital et dont il co-préside le Conseil d’administration.
    Le partenaire franco-luxembourgeois n’a pas manqué de se plaindre de ces décisions préjudiciables à une entreprise dont les intérêts sont partagés entre les deux partenaires. Ledit partenaire souligne dans son rapport que «les relations de Monsieur Melzi avec les sociétés ADD, Castelli et CSCEC sont très étroites et pénalisent le développement de SIDEVAL. En effet, tous les projets pour lesquels ADD et SIDEVAL soumissionnent, sont systématiquement confiés à ADD, sans pour cela que la prestation d’ADD soit plus performante que celle de SIDEVAL». Etrange gestion que celle de M. Melzi ! Dans quel but agit-il de la sorte ? Il faut rappeler que ces sociétés privilégiées par le directeur de l’EGT Sahel sont des sociétés étrangères non immatriculées en Algérie, alors que SIDEVAL est une société algérienne employant des salariés algériens et étrangers. Et dire que la création de cette société mixte avait fondé le partenariat sur la distribution des rôles. Compte tenu de ses relations, M. Melzi devait développer le commercial, tandis qu’INTERORG son savoir-faire, ses références et ses compétences, comme souligné dans le rapport daté du 19 mars 2003.

    L’art du sabotage
    Non seulement, Hamid Melzi octroie des marchés aux sociétés concurrentes au détriment de la sienne, mais il va jusqu’à la mettre en difficultés financières. C’est ce qui s’était passé avec la Société de développement hôtelier (SDH) dont il est le directeur général. La SDH est une société mixte algéro-libyenne dont Melzi est le DG. Il se trouve, donc, à la tête de deux sociétés qu’il met en conflit en refusant de cosigner un chèque de l’une au profit de l’autre. Ce refus de signer met en péril la situation financière de la deuxième (SIDEVAL) et pénalise ses salariés algériens qui seront privés de leur salaire durant un mois. Une volonté délibérée de nuire à une entreprise dont il est le président du Conseil d’administration. Si ce n’est pas du sabotage, comment qualifierait-on ces agissements ?
    Alertés par le partenaire étranger, les pouvoirs publics n’ont pas réagi et Melzi demeure un super patron que nul n’oserait toucher. A quoi est due cette puissance ? Qu’est-ce qui explique sa longévité à la tête d’une entreprise qu’il gère mal, économiquement et socialement, en soumettant le personnel à une hogra indescriptible. C’est ce que nous verrons dans notre prochaine édition.
    Par Hichem Aboud
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    EGT SAHEL : comment Moretti est devenue une Principauté


    Durant la décennie passée, profitant du statut de résidence d’Etat attribué au Club des Pins, Hamid Melzi annexe la zone de Moretti, là où il réside, lui et un certain nombre de ses «amis», pour en faire progressivement une sorte de Beverly-Hills interdit au grand public et inaccessible en tous cas aux citoyens lambdas. Une restriction que même la France coloniale n’avait pas osé appliquer et qui n’a rien à envier aux lois de l’apartheid. D’ailleurs, aujourd’hui, le jeune Staouélien, né dans les années 90, ne sait même pas comment est fait le littoral de son village, situé à moins d’un kilomètre à vol d’oiseau de Moretti.
    Erigée en zone résidentielle privée où certaines villas, dites domaniales mais qui faisaient en fait partie intégrante du complexe touristique, ont été extraites du plan pour être vendues à leurs occupants à un prix dérisoire. Et bien évidemment, comme charité bien ordonnée commence par soi-même, Hamid Melzi, le directeur de la résidence d’Etat, a été l’un des premiers servis. Des villas avec terrain de 200 à 500 m2 étaient, donc, achetées entre 250 000 et 600 000 DA par leurs heureux propriétaires, que certains ont revendues ensuite à plusieurs milliards. Et pour verrouiller cette véritable arnaque aux domaines publics, son promoteur eut l’idée diabolique d’attribuer quelques unes de ces maisons domaniales à de hauts responsables pour que, du coup, ce transfert de patrimoine ne soit jamais remis en cause.
    Hamid Melzi, quant à lui, possède, aujourd’hui, plusieurs propriétés à l’intérieur de cette zone de Moretti, laquelle a été vidée pratiquement de tous ceux que le directeur de la résidence d’Etat n’avait pas à la bonne. Le site en question ressemble, lorsque vous y pénétrez, à un véritable «no-man’s-land». Tous les commerçants, qui étaient là exerçant paisiblement depuis des lustres, ont été expulsés comme des malpropres : plus de boulanger, plus de boucher, plus de café ni de restaurant au centre commercial.
    Melzi n’a laissé que l’épicier et le buraliste pour ses commodités personnelles et celles de ses rares amis, s’il en reste, avec lesquels il joue aux cartes, le soir venu, dans un local commercial qui faisait office il n’y a pas très longtemps de taxiphone. Voilà comment Moretti, site touristique jadis très prisé et qui faisait le bonheur de milliers d’Algérois et de Staouéliens, est devenu un lieu de non-droit où les abus et les dépassements de son directeur sont jusque-là demeurés impunis malgré toutes les plaintes des citoyens et les correspondances adressées aux autorités habilitées à le rappeler à l’ordre ou à mettre un terme à ses agissements. Ce qui, au fil du temps, n’a fait qu’accroître l’effronterie du personnage en question et l’encourager à faire de Moretti, non pas une résidence d’Etat seulement, mais une véritable Principauté.

    La phobie des journalistes
    Pour continuer à régner en maître, Hamid Melzi, qui a, d’ailleurs, la phobie des journalistes, ne tolère personne qui vient fourrer son nez dans ce qui se passe dans sa résidence d’Etat. C’est ainsi, qu’en 2011, il s’attaqua à un jeune journaliste, Fethi Bendali, qu’il accusa d’avoir publié sur internet des écrits diffamatoires. L’affaire a été très largement rapportée par la presse car le mis en cause va vivre un calvaire qui durera plus d’une année, en étant convoqué trois fois par le juge d’instruction près le tribunal de Chéraga, devant lequel il clamera son innocence, vu que le document produit par Hamid Melzi a été falsifié et le journaliste en question apportant la preuve matérielle de cela, avec une photo capture d’écran où son nom ne figure nullement au bas de l’article. De plus, l’article a été publié sur un site d’information bien connu et, au lieu de s’attaquer à ce site, le directeur de la résidence d’Etat a déposé plainte contre le journaliste qu’il a accusé à tort de propos diffamatoires. L’affaire a été renvoyée en correctionnelle, où le journaliste a comparu devant une juge qui avait demandé à deux reprises la présence de Hamid Melzi, et ce, sur requête de la défense pour que le plaignant apporte des précisions sur le document douteux qu’il a produit. Mais en vain…puisque Melzi n’a jamais répondu à la convocation du tribunal. L’affaire a été finalement jugée et le journaliste Fethi Bendali innocenté. Hamid Melzi s’acharna et fit appel auprès de la cour de Blida où l’affaire a été jugée une nouvelle fois, six mois plus tard, et, encore une fois, la cour de Blida délibère en innocentant le journaliste Fethi Bendali. Pourquoi tant d’acharnement envers un journaliste alors que, sur internet, si on s’amuse à écrire le nom de Hamid Melzi sur Google, des centaines de commentaires, plaintes et témoignages apparaissent pour mettre en exergue les agissements et les dépassements impunis de ce monsieur. En avait-il pour autant esté en justice tous les auteurs de ces écrits ? Assurément, non, car comme le dit si bien la fameuse citation, même dans les calomnies, il reste toujours quelque chose…de vrai.
    Par Hichem Aboud
    A suivre

    Le mariage du fils de Melzi sera célébré à l’hôtel Sheraton
    Sommé par le Premier ministère de démonter le chapiteau installé sur le parking du Club des Pins pour la réception de centaines d’invités, à l’occasion de la célébration du mariage de son fils prévu pour ce soir, jeudi 2 mai, pour avoir abusé de biens publics qu’il confond avec ses biens particuliers, Hamid Melzi, le directeur général de l’EGT SAHEL, s’est replié sur l’hôtel Sheraton, bien que le nombre d’invités ait été revu à la baisse pour cause de nombreuses défections de dernière minute.
    En prenant connaissance des malversations dont nous avions fait état dans notre édition du lundi 29 avril, de nombreux invités se sont ravisés et ont décidé de ne pas participer au défilé des «soutiens» de «l’émir de Moretti» qui éprouve un besoin énorme de montrer qu’il bénéficie toujours de l’appui de hauts fonctionnaires, magistrats et officiers supérieurs de l’armée.
    Cependant, manquant certainement d’intelligence, M. Melzi, lequel dit se prévaloir du soutien de proches du président de la République, a commis l’impair de ne pas reporter le mariage de son fils alors que le président Abdelaziz Bouteflika se trouve hospitalisé en France. Pour quelqu’un qui se dit proche du chef de l’Etat, l’heure ne doit pas être aux réjouissances.
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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    • #3
      Hamid Melzi, le P-DG de l’EGT Sahel, marie son fils aux frais du contribuable
      Créé le samedi 27 avril 2013 23:27
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      Le grand parking du club des Pins suscite moult interrogations, ces derniers jours, chez les habitants de cette zone résidentielle destinée à quelques privilégiés de la République. Un immense chapiteau se dresse sur cette surface destinée au stationnement de véhicules.

      Nul n’a le droit de se l’approprier ni temporairement ni définitivement. Réquisitionner un parking pendant plusieurs jours, le temps de monter le chapiteau et de célébrer un mariage, cela ne peut se faire que lorsqu’on se sent maître des lieux et en se plaçant au-dessus des lois.
      Monsieur Hamid Melzi, président directeur général de l’Entreprise de gestion touristique du Sahel, qui a sous sa coupe le site de club des Pins, ne semble pas avoir tenu compte de cette donnée. Certainement, il a dû confondre biens publics et biens privés. Les courtisans, qui l’entourent, n’ont pas jugé utile de lui rappeler que ce qui appartient à l’Etat n’appartient pas, forcément, à celui qui le gère, et ce, quel que soit son rang.

      L’émir du Club des Pins
      Cependant, si l’on se penche sur les documents en notre possession et dont quelques uns seront publiés dans notre enquête à paraître à partir de demain, M. Hamid Melzi ne s’est pas limité à utiliser un parking pour ses besoins personnels. C’est plutôt toute la zone englobant Moretti, Club des Pins et Staouéli (hôtel Sheraton) qui subit son diktat et fait l’objet d’une gestion dont le moins que l’on puisse dire est qu’elle est source d’enrichissement illicite pour le P-DG. D’où le surnom que lui ont donné les résidents de cette zone « d’émir de Club des Pins».
      Donc, l’utilisation d’un parking sur lequel on monte un chapiteau pour recevoir toute une brochette de VIP, composée de ministres, de généraux, de magistrats, de hauts fonctionnaires de l’Etat, ce n’est rien comparativement aux biens acquis illégalement par lui et par ses amis et sponsors. D’ailleurs, ce chapiteau est destiné pour faire étalage de son réseau relationnel qui lui permet de se maintenir à son poste sans rendre le moindre compte sur les malversations commises au fil des ans. Nous rendrons publique la liste des invités qui se bousculeront sous le chapiteau, le 2 mai prochain (avec photos à l’appui), date de célébration du mariage de son fils Amine. Une célébration qui sera fastueuse, pour ne pas dire royale, avec la centaine de méchouis à la braise. Un mariage des mille et une nuits, selon un témoin oculaire.
      Rappelons que c’est ce même fils qui avait défrayé la chronique en décembre 2004, en enlevant avec un groupe d’amis le jeune Mehdi Sari pour le torturer dans la résidence d’Etat de Club des Pins, avant de l’abandonner, le laissant pour mort sur la route Alger-Zéralda. Amine purgera une peine de 2 ans de prison en dépit des multiples interventions de son papa. Mais c’était quand même bien payé. Pour association de malfaiteurs, kidnapping, torture et tentative d’homicide, s’en sortir avec seulement 2 ans de prison, le fils de « l’émir de Club des Pins» peut s’estimer heureux. Nous reviendrons sur cet épisode avec plus de détails dans nos prochaines éditions. Et, évidemment, sur les nombreuses affaires qui constituent les ingrédients de notre dossier, dont celles de SEDIVAL, des chalets offerts aux amis en période d’été et ceux attribués à longueur d’année, des villas acquises pour une bouchée de pain, des prestations touristiques d’hôtellerie dont profitent sa famille et ses amis, des fonds de commerce détournés au profit de sa famille et, notamment, au profit de son épouse, ainsi que d’autres portant sur la gestion de la résidence d’Etat.
      Joint par courrier et par téléphone, M. Hamid Melzi s’est refusé à tout commentaire, se contentant de répondre qu’il n’avait rien à dire. Au sujet du chapiteau dressé sur le parking pour la célébration du mariage de son fils, nous lui avons envoyé un fax lui demandant de confirmer ou d’infirmer l’information, mais il a préféré ne pas donner suite. Certes, nous disposons de tous les documents attestant de la véracité des faits relevés dans notre enquête. Néanmoins, nous laissons nos colonnes ouvertes à l’intéressé pour fournir les explications qu’il estimera à même de justifier les malversations dont il serait responsable.
      Par Hichem ABOUD
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