A mon avis le meilleur moyen c'est "Prêt participatif" ou bien capital-risque. Gestion du projet assurée par la banque elle même jusqu'à atteindre l'année de croisière du projet (levée de fonds)
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crédit d'investissement à 0% pour les jeunes algérien
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Imad a dit:
ça déresponsabilise l'investisseur, non je suis plutot de l'avis de SidMark, un organisme de controle qui exige des résultats sous peine de liquidation ou saisie de l'affaire. .
Ce dernier doit obligatoirement y cotiser, et par conséquent, être en droit d'exiger de cette structure qu'elle lui fournisse l'aide méthodologique et logistique au fonctionnement et suivi de son activité. Libre à lui de continuer à être coaché par cette structure après 2 ans de fonctionnement.
Donc, le but de cette structure est d'aider l'investisseur à devenir de plus en plus autonome dans son travail. Pas plus. Elle n'a pas à contrôler quoi que ce soit.
Par contre, le contrôle financier de ces projets ne doit et ne peut se faire à mon avis que par les banques et/ou par l'état.
Des documents de suivi périodique financier et comptable qui devront être exigés, devront permettre aux banques/état de valider le bon fonctionnement du projet (écarts constatés entre le chiffre d'affaire et la marge dégagés, par rapport à ceux du business plan), et lancer les alertes, les ajustements, et/ou l'arrêt du projet si nécessaire.
Voilà.
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C'est peut etre le moment de bousculer la politique actuelle des banques. Qu'elle se réinvente ou se réoriente. Le modèle économique actuelle a montré ses limites économiquement et socialement parlant.
Pourquoi l'initiative n'aurait pas de fondement économique? Au contraire, je trouve que cela booste les gens serieux à se lancer et créer de l'emploi... tant que les reserves sont pleines, faisons profiter les plus bosseurs.
Ceux qui contractent des crédits aujourd'hui sont pour beaucoup des voleurs qui n'ont peur ni de Dieu et encore moins de l'état.
Ca peut aussi motiver certains à revenir tenter leur chance labas Aujourd'hui 12h44
Pour ce faire, l'institution d'un mécanisme obligatoire permettant un suivi régulier et le coaching de ces nouvels investisseurs, pour ne pas les laisser prendre des crédits, et les laisser se dépatouiller tous seuls dans la nature. Ce qui implique un fort risque d'échecs.
Tant qu'on est dans une économie dirigé ou c'est l'état qui décide de qui doit investir quoi en quoi aucune mais aucun politique ne permettra de s'en sortir.شبابنا ساهي متزنك في المقاهي مبنك
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Histo a dit:
Dans un monde réel ça s’appelle une banque , actionnaire, investisseur ....
Primo, les banques n'ont aucune connaissance du domaine d'activité. Ils n'ont ni la faculté, ni les capacités de coacher ces nouvels investisseurs.
Leur seul cœur de métier, c'est la finance et rien d'autre. Point.
Par contre, c'est bien de leur responsabilité de vérifier non seulement la viabilité économique du projet avec les instances concernées (et ce, avant l'octroi du crédit), mais aussi et surtout, de faire le suivi périodique de chaque projet pendant la durée des remboursements, et valider que çà ne casse pas la gueule.
Tant qu'on est dans une économie dirigé ou c'est l'état qui décide de qui doit investir quoi en quoi aucune mais aucun politique ne permettra de s'en sortir.
L'état doit faire en sorte de participer avec les banques dans les décisions d'octroi de crédit, pour éviter les discriminations et l'égalité des chances. C'est tout.
On peut tout à fait concevoir la création de telles structures (associatives ou autres), ayant un financement propre, et parrainé par les chambres du commerce et le patronat (par exemple), et qui doivent permettre d'aider les investisseurs sur plusieurs plans (élaboration du business plan, suivi de ces projets, fournir une aide logistique, locaux...)
Ce genre de structure existent par ailleurs. Fait-en une recherche sur les pépinières d'entreprises (par exemple)...
Donc, je n'invente rien de rien !
CAPITO ?Dernière modification par absent, 13 mai 2013, 16h15.
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Même si l'article concerne l'Algérie ,je voudrais contribuer à cette discussion fructueuse et signaler que le Maroc a lancé le premier programme en 1987 appelé " crédit jeunes promoteurs " qui s'est soldé par un échec total ,malgré que l'état a débloqué 1 milliard de dh
les raisons de cet échec ,sont imputées surtout à la lourdeur età la complexité des procédures administratives et à la réglementation non adaptée ,aux contraintes internes inhérentes aux capacités managériales en raison du manque de formation tant à l'esprit d'entreprise qu'à la gestion et à l'absence d'accompagnement et d'assistance
Tirant les leçons de cette expérience ,l'Etat a lancé un nouveau programme "MOUKAWALATI",EN 2006 :
en plus de la dimension financière il est prévu un accompagnement tout au long des phases cruciales de création et de développement de l'entreprise, le parcours a été simplifié ,un seul guichet tout au long du projet qui devient le seul interlocuteur
le porteur du projet sélectionné par la commission locale est soumis à une formation manageriale,administrative et financière ,de simulation de Business plan pour améliorer les capacités de communication ,avant de présenter le dossier à la banque
Malgré cet engagement ,le résultat est très limité avec seulement la création de 2050 entreprises ,les causes de cet échec sont :
-grandes difficultés à accélérer les études des dossiers : de longs délais apparaissent nécessaires pour une étude approfondie des projets avant de débloquer les fonds par la banque
-l'environnement général et en particulier financier de l'entreprise ,les banques appliquent les règles standards de prudence financières ,de viabilité économique et de l'efficacité technique
-le manque d'expériences des porteurs de projets est pénalisante
-l'absence ou la faiblesse d'une culture d'entreprisse
j'espère qu'on ne tombe pas dans les mêmes problèmes pour réussir ce challengeDernière modification par haddou, 13 mai 2013, 17h10.
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vympel tu as mis le doigt sur le point qui cloche ...la plupart des bénéficiaire des crédits cherchent le gain facile ,ils font preuve d'un manque d'imagination total ,tous investissent dans le transport de marchandises ou encore dans la location d'engins et les plus courageux se sont lancé dans la transformation de plastique et ou la production de carreaux granito ,des secteurs actuellement saturés ou presque qui ne supporteraient pas une offre supplémentaire .
j'espère que cette bonification sera cette fois plus encadrée et qu'il(il=ANSEJ)seront plus sélectif dans le choix des projets financés .
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c'est une initiative populaire sans aucun fondement économique .... déjà que en Algérie l'unique investissement rentable c'est l'immobilier maintenant ça ne fera que accentuer cette pression et faire perdre au banque leur raison d'exister.
à 0% c'est pas de l'investissement.
La ou tous les autres pays pratiquent l'usure en saignant les emprunteurs, qui remboursent des années les intérêts, avant d'attaquer le principal!
Bravo donc pour cette excellente initiative,qui est un cas unique à saluer, puisqu'allant dans le bon sens!
Sammy
j'espère que cette bonification sera cette fois plus encadrée et qu'il(il=ANSEJ)seront plus sélectif dans le choix des projets financés .“Le cours évolutif du progrès européen pendant ces trois cents dernières années pourrait se résumer à seulement quatre mots: égoïsme, massacres, impudeur et corruption.” Yan Fu
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