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Les pays du Maghreb trop dépendant des importations de blé français

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  • #16
    citation
    Au Maroc s'il y a une volonté politique ,le pays est capable de satisfaire ses besoins en blé




    Le cas du maroc est particulier il a l'obligation quel se soit sa récolte d'importer du blé des usa selon l'accord du libre échange .

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    • #17
      Le cas du maroc est particulier il a l'obligation quel se soit sa récolte d'importer du blé des usa selon l'accord du libre échange
      Comment cela l'obligation!!!

      si demain le Maroc est autosuffisant en blé (ce qui ne risque pas de se produire), il n'y a aucune force qui va le forcer à importer le blé US ou UE

      d'ailleurs c'est une affaire d'opérateurs privés.

      Même la taxation dépend du niveau de la récolte nationale
      Cette année par exemple vers le mois de juin il va y avoir une augmentation des DD le temps d'écouler la production nationale
      pour le relever vers le mois de décembre
      .
      .
      ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
      Napoléon III

      Commentaire


      • #18
        @ Pihman






        les accords de libre-échange tiennent les pays maghrébins par le cou


        Les accords de libre-échange entre l'UE et le Maghreb sont une aubaine pour la France qui est le seul pays de l’Union exportateur de blé dans ces pays. Parlant du cas marocain, le royaume a également un accord de libre-échange avec les Etats-Unis. Pour tous ces protocoles, il existe un quota d’importations flexible en fonction de la production agricole des pays fournisseurs. « Aujourd’hui, le Maroc est tenu par ces accords d’importer un quota qui varie pour les Etats-Unis entre 400 000 et 1 million de tonnes, ainsi que pour l’UE entre 400 000 et 700 000 tonnes. En additionnant, vous vous rendez compte que le Maroc doit importer de ces pays 1,7 million de tonnes de blé chaque année », explique M. Akesbi. Et d’ajouter : « Si l’on considère que le [royaume chérifien] achète une trentaine de millions de quintaux de blé chaque année, cela veut dire qu’il est obligé d’en importer la moitié des Etats-Unis et de la France ». L’économiste fait remarquer au passage que même lorsque le campagne agricole est bonne, le Maroc ne se prive pas d’importations. Il y est contraint.

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