Maroc: La 4G opérationnelle au Maroc d'ici fin 2014

[jawzia]

... Dans deux mois. La 4G en 2014 !

[absent]

... Dans deux mois. La 4G en 2014 !

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[Serpico]

... Dans deux mois. La 4G en 2014 !
Jawzia

Merci pour le fou rire !!

Pourquoi ne pas passer à la 5G c'est mieux ?!!

[ahmed67]

franchement pourquoi rire ,c'est pas possible? ,c'est irréalisable? , c'est un projet pharaonique? ou bien c'est juste de la betise? je pencherais pour la betise vu les auteurs

[babyben87]

Pour info Nedjma vient d etre racheté par les quataris et la 3g risque de se developpé plus rapidement que prevu en Algerie.Nedjma va s appelé Orido.

[icosium]

Techniquement le réseau des opérateurs Nedjma et Mobilis est déjà prêt pour la 3G. Dès l’attribution des licences, les offres commerciales vont commencer.

[MEK]

L’ANRT vient de publier le rapport de 2012 .
Ce rapport regroupe les chiffres 2013 de ce qui concerne internet, mobiles, ordinateurs, tablettes… au Maroc et permet d’avoir une idée de l’évolution du marché.
L’échantillon de l’étude représente 1750 ménages en interview direct agé de 12 à 65 ans en zone urbaine et rurale électrifiée.
3,6 millions de Smartphones chez 16% des ménages Marocains :...

C les ménages marocains possèdent 3,6 millions de Smartphones dans ce cas là je peux meme dire que les somaliens possèdent 5 millions de Smartphones

Alors M. haddou explique moi comment les marocains possèdent 3,6 millions de Smartphones (32,6 millions d'habitants) et les français 4 millions de Smartphones (65,8 millions d'habitants)

FRANCE.............: 4 millions de Smartphones (2012)

ROYAUME-UNI....: 7.4 millions de Smartphones (2012)

JAPAN...............: 8.6 millions de Smartphones (2012)

INDE.................: 9 millions de Smartphones (2012)

ETATS-UNIS.......: 32.2 millions de Smartphones (2012)

CHINE...............: 88.1 millions de Smartphones (2012)
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Des parts de marché mondiale des smartphones

1- Samsung........: 33.1%
2- Appel.............: 13.6%
3- LG...................: 5.3%
4- ZTE..................: 5%
5- HUAWEI...........: 4.8%

6 ...


S: Capital-Business


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[Cell]

C'est APPLE et pas APPEL .....

[haddou]

MEK

c'est facile à expliquer puisque les operateurs donnent des Smartphones contre tout abonnement de 2ans , et d'autres l'achètent chez les vendeurs pour rester libre( on peut trouver toutes les marques et tous les prix ,originales et clonées )

[MEK]

C'est APPLE et pas APPEL .....

Le E avant le L pour DaniEL AppEL MiMi-6 pour les pommes de kenitra avec touche tactile
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[arazigh]

Le E avant le L pour DaniEL AppEL MiMi-6 pour les pommes de kenitra avec touche tactile

Le mariage de la vulgarité et du complex d'infériorité !
Allez MEK ! relève-toi un peu ...

[saaid]

Alors M. haddou explique moi comment les marocains possèdent 3,6 millions de Smartphones (32,6 millions d'habitants) et les français 4 millions de Smartphones (65,8 millions d'habitants)>>>>>>>>>>>>> c est facile á comprendre mek: le francais compense la connection fixe, la connection mobile devient alors une qustion de couts, par contre, au maroc, c est une question de prestige, le consommateur peut s en passer de la connection fixe, mais pas du smartphone 4G

[Serpico]

MEK tu est tombé très bas ...
logic

Et le niveau du forum avec....!!

[jawzia]

il faut rentabilisé la 3G avant de passé vers la 4G en Algérie...

Avec un abonnement de 3000 dinars et un million d'abonnés, la licence est amortie en ... un mois. Pour les équipements, une année serait suffisante pour les amortir. D'où ...

[Serpico]

Avec un abonnement de 3000 dinars et un million d'abonnés, la licence est amortie en ... un mois. Pour les équipements, une année serait suffisante pour les amortir. D'où ...
Jawzia

....le retard à avoir la 3G quant un pays voisin "moyenâgeux et féodal" s’apprête à passer à la 4G....

TIC

Retards et interrogations

Par : A HAMMA ( El Watan)

De nombreux experts s’accordent dire à que les TIC en Algérie, en dépit du discours officiel et de la création d’un ministère en charge du développement de ces technologies, accusent des retards considérables par rapport à nos propres besoins et en comparaison avec les progrès notables enregistrés par nos proches voisins.

L’exemple patent est celui de la 3G, dont le feuilleton semble connaître son dénouement avec le lacement des appels d’offres et l’ouverture des plis en présence des principaux acteurs de la téléphonie mobile en Algérie. Ces interrogations ont été nourries et continuent de l’être par des effets d’annonces maintes fois reportées. Depuis les déclarations de Amar Tou, en 2005, cette nouvelle technologie n’est toujours pas introduite en Algérie. Selon certains experts, ce retard ferait perdre à notre pays entre 2 et 3 milliards de dollars/an, sans compter le manque à gagner en termes d’avantages techniques et technologiques qui permettent d’améliorer le fonctionnement et la performance aussi bien des entreprises et opérateurs économiques, des institutions publiques, des ménages ainsi que le confort des citoyens que la 3G peut leur procurer. On est en droit de se poser la question de savoir pourquoi l’introduction de la 3G serait tributaire du contentieux de l’État avec l’opérateur mobile Orascom OTA Djezzy ? D’autres opérateurs, tels que Moblis, Algérie Télécom, Nedjma, des providers publics et privés se disent prêts à accueillir cette technologie et se retrouvent ainsi otages d’un différend qui les concerne pas. Alors, qu’est-ce qui empêche de découpler la question, d’autant que le manque à gagner est considérable ?
En Afrique, 25 pays disposent de la 3G et deux pays sont déjà sur la 4G. L’Algérie est le seul pays au Maghreb qui accuse un retard inexplicable en la matière au moment même où le monde entier fait un bond technologique des plus spectaculaires dans le domaine. Pourtant en matière de téléphonie mobile, le pays n’est pas en reste. Selon un rapport conjoint de la Banque mondiale et de la Banque africaine de développement (BAD), “le nombre d’abonnements à la téléphonie mobile a plus que doublé en six ans passant de 13,6 millions de personnes en 2005 à 28,3 millions, soit 78,5 abonnés/100 habitants en 2011 contre 41,54/100 habitants en 2005”. Faut-il rappeler que Djezzy ne s’embarrasse pas outre mesure du “contentieux” invoqué par les responsables algériens puisqu’il a déjà envoyé ses cadres en Italie pour se former en prévision d’accueillir dans les meilleures conditions de compétitivité l’exploitation de la 3G en Algérie. S’il y a des raisons juridiques, techniques ou autres, l’opinion publique, ballotée entre des affirmations des hauts responsables du secteur de la poste et des NTIC, et la polémique qui a existé entre l’ARPT, accroît le doute sur le discours officiel, d’autant qu’il est parsemé de contradictions. Connaissant les gros enjeux économiques et financiers qui sous-tendent l’introduction de cette technologie, on peut supposer que le consensus autour du partage des “dividendes” n’a pas encore été trouvé entre les différentes parties prenantes. Sinon, comment expliquer que les différents responsables, qui se sont succédé à la tête de ce secteur, avancent l’avènement de la 3G et se rétractent sans convaincre personne. Dans un contexte marqué par des soupçons autour de la transparence qui devrait présidait à la conclusion de gros contrats engageant la dépense publique, le doute s’installe. Entre-temps, l’Algérie perd et son économie également. M. Benhamadi, ex-ministre des NTIC, estime que “l’introduction de la 3G et la 3G+” va réellement améliorer la qualité du service du haut débit et donner une alternative au citoyen pour aller vers des services Internet autres que ceux de la ntéléphonie fixe. L’avenir numérique du pays réside dans notre capacité à irriguer notre fibre optique. Toutes les entités publiques devront se connecter à ce réseau. Pourquoi attendre alors ! Sur un autre registre, pour ce qui est des nouveaux services et de la modernisation des techniques de management, la monétique a fait une entrée remarquable en Algérie, même si elle demeure liée, à la fois, au degré de pénétration et de développement des nouvelles technologies de l’information et de la communication, à la progression des réformes du secteur bancaire et financier, et enfin à l’évolution des mentalités au sein de la société.