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200.000 VÉHICULES PRÉVUS POUR 2014
LE CHIFFRE SERA ATTEINT GRÂCE À LA MISE EN PLACE D’UNE SECONDE CHAÎNE DÈS OCTOBRE
JUSQU’À 200.000 AUTRES VÉHICULES FABRIQUÉS POUR L’INDE ET LA RUSSIE À PARTIR DE TANGER
LE CHIFFRE SERA ATTEINT GRÂCE À LA MISE EN PLACE D’UNE SECONDE CHAÎNE DÈS OCTOBRE
JUSQU’À 200.000 AUTRES VÉHICULES FABRIQUÉS POUR L’INDE ET LA RUSSIE À PARTIR DE TANGER
Grosses ambitions pour l’usine Renault Tanger pour 2014. En effet, le constructeur automobile prévoit de fabriquer 200.000 véhicules l’année prochaine dans son usine de Melloussa à Tanger, ainsi que l’affirme Jacques Prost, DG du groupe Renault au Maroc. La production sera au moins doublée, car à fin août, l’usine avait déjà construit quelque 115.000 véhicules, dont une majeure partie destinée à l’export.
Un cap de production que le management de Renault avait tenu à marquer en communiquant autour du 100.000e véhicule produit à Tanger la semaine dernière. La star des chenilles n’est autre que la Lodgy, premier modèle à être construit au Maroc. Ce véhicule est suivi par le Dokker, un utilitaire qui rencontre un joli succès au Maroc. Mais c’est, sans conteste, grâce à la Nouvelle Sandero que Renault Tanger entend doper ses ventes à l’export. Ce dernier modèle connaît une forte demande sur les marchés européens ce qui motive le pari du constructeur français.
La deuxième chaîne de l’usine tangéroise démarrera sa production de La Sandero ‘nouvelle version’. Et cela, «dès réception des accords de fabrication attendus cette semaine», annonce Prost. En revanche, l’inauguration officielle est prévue en octobre.
Ce modèle est déjà fabriqué pour le marché local à la Somaca depuis avril dernier. La production Tangéroise est, elle, destinée à l’export.
Ce modèle est déjà fabriqué pour le marché local à la Somaca depuis avril dernier. La production Tangéroise est, elle, destinée à l’export.
Entre-temps, Renault Melloussa a dejà démarré la fabrication de pièces pour la nouvelle Sandero. Ces dernières seront acheminées par bateau vers l’usine de l’Alliance au Brésil qui abrite une autre chaîne de montage de la Sandero.
Ce sont là les premières activités de ‘International Logistics Network’ (ILN), réseau logistique mis en place par Renault à Tanger. Outre la production de véhicules complets, des pièces supplémentaires seront aussi fabriquées par l’usine de Melloussa ainsi que par des fournisseurs du groupe installés dans la région. Elles seront collectées et expédiées vers d’autres chaînes de montage dans d’autres pays.
A partir de l’année prochaine, l’ILN de Tanger commencera à alimenter de nouvelles destinations comme l’Inde, qui devra aussi démarrer le montage de la Lodgy ou encore la Russie, qui sera chargée du Dokker. Cela devrait signifier une production supplémentaire pour Renault Melloussa équivalent de 100.000 voitures, voire 200.000 à plus long terme, avance Jacques Prost.
A noter que l’usine de Tanger a réussi à atteindre actuellement une production de près de 400 véhicules par jour, avec à terme, la possibilité d’atteindre 600, ce qui s’est traduit, à fin août, par la fabrication de 115.000 véhicules. Lors de sa première année de service, Renault Melloussa a démarré progressivement sa production avec un rythme de 50.000 unités en 2012, le temps de roder ses équipes et ses processus de fabrication.
Ce sont plus de 5.000 employés que compte aujourd’hui le groupe. Ils atteindront les 6.000 avec le lancement de la 2e chaîne courant de 2014.
Pour rappel, l’usine de l’Alliance Renault-Nissan de Melloussa est un outil de production destiné essentiellement à l’export. Plus de 80% de sa production est écoulée dans les marchés mondiaux de Renault. La plus grande partie est vendue en Europe, sur les marchés allemand, turc et français. Ce dernier accapare à lui seul 20% de la production exportée, selon Renault. D’autres pays sont eux aussi servis par Renault, comme l’Ukraine, les Balkans, l’Afrique subsaharienne ainsi que les pays nordiques.
Ce sont là les premières activités de ‘International Logistics Network’ (ILN), réseau logistique mis en place par Renault à Tanger. Outre la production de véhicules complets, des pièces supplémentaires seront aussi fabriquées par l’usine de Melloussa ainsi que par des fournisseurs du groupe installés dans la région. Elles seront collectées et expédiées vers d’autres chaînes de montage dans d’autres pays.
A partir de l’année prochaine, l’ILN de Tanger commencera à alimenter de nouvelles destinations comme l’Inde, qui devra aussi démarrer le montage de la Lodgy ou encore la Russie, qui sera chargée du Dokker. Cela devrait signifier une production supplémentaire pour Renault Melloussa équivalent de 100.000 voitures, voire 200.000 à plus long terme, avance Jacques Prost.
A noter que l’usine de Tanger a réussi à atteindre actuellement une production de près de 400 véhicules par jour, avec à terme, la possibilité d’atteindre 600, ce qui s’est traduit, à fin août, par la fabrication de 115.000 véhicules. Lors de sa première année de service, Renault Melloussa a démarré progressivement sa production avec un rythme de 50.000 unités en 2012, le temps de roder ses équipes et ses processus de fabrication.
Ce sont plus de 5.000 employés que compte aujourd’hui le groupe. Ils atteindront les 6.000 avec le lancement de la 2e chaîne courant de 2014.
Pour rappel, l’usine de l’Alliance Renault-Nissan de Melloussa est un outil de production destiné essentiellement à l’export. Plus de 80% de sa production est écoulée dans les marchés mondiaux de Renault. La plus grande partie est vendue en Europe, sur les marchés allemand, turc et français. Ce dernier accapare à lui seul 20% de la production exportée, selon Renault. D’autres pays sont eux aussi servis par Renault, comme l’Ukraine, les Balkans, l’Afrique subsaharienne ainsi que les pays nordiques.
Lodgy, un modèle à potentiel
La Lodgy est un modèle à fort potentiel pour Dacia. Sa vocation est de partir à la conquête des pays d’Europe et d’autres continents, même s’il ne manque pas aussi de se faire une place sur le marché local. Le profil caractéristique du premier véhicule produit à Tanger commence à se faire remarquer sur les routes et les rues de nos villes. C’est le cas il y a quelques mois avec la Direction générale de la Sûreté nationale qui a réceptionné un lot de 82 Lodgy en mars dernier.
l'économiste
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