«Alors que son projet avance à petit pas en Algérie, le constructeur automobile français Renault passe à la vitesse supérieure au Maroc».
Ainsi a écrit le quotidien algérien ‘L'Expression’, dans un article intitulé ‘Renault double l'Algérie’, consacré à l’inauguration à l’usine Renault à Melloussa, de la deuxième ligne de production de voitures, qui portera la production annuelle de voitures au Maroc, à 340000 unités.
Amère, le quotidien algérien a écrit «en l'espace de quelques années seulement, le constructeur français a doublé ses investissements dans le Royaume chérifien reléguant au second plan ses projets en Algérie».
Le journal, reflétant les positions officieuses du pouvoir, a ajouté : «Renault a trouvé tous les prétextes pour ajourner son projet en Algérie et se concentrer sur le Maroc». Et L’expression de se demander «Mais pourquoi Renault réclamait plus d'avantages en Algérie?».
«Malgré les engagements garantis par le gouvernement algérien, le constructeur français était sceptique. Ce dossier est devenu sérieusement une affaire d'Etat. C'est grâce à l'implication de l'Elysée que le projet de Renault (l'usine de montage de Oued Tlelat (27 kilomètres au sud-est d'Oran) a pu voir le jour en Algérie» a rappelé le quotidien francophone.
«Le site algérien abritera une usine de taille plus modeste que celle que Renault construit au Maroc…. Le constructeur français devrait élargir ses investissements en Algérie au lieu du Maroc», a conclut le média algérien.
A noter que les médias algériens écrits, audiovisuels et web, sont contrôlés via l’agence nationale de l'édition et de la publicité (ANEP), dépendant du Centre de communication et de diffusion (CCD), lui-même branche de la police politique, DRS.
De ce fait, les médias algériens ne diffusent que les positions du pouvoir algérien. Ainsi, l’article de 'L’expression' peut être considéré comme un message – menace du pouvoir algérien à Renault.
lemag.ma
Ainsi a écrit le quotidien algérien ‘L'Expression’, dans un article intitulé ‘Renault double l'Algérie’, consacré à l’inauguration à l’usine Renault à Melloussa, de la deuxième ligne de production de voitures, qui portera la production annuelle de voitures au Maroc, à 340000 unités.
Amère, le quotidien algérien a écrit «en l'espace de quelques années seulement, le constructeur français a doublé ses investissements dans le Royaume chérifien reléguant au second plan ses projets en Algérie».
Le journal, reflétant les positions officieuses du pouvoir, a ajouté : «Renault a trouvé tous les prétextes pour ajourner son projet en Algérie et se concentrer sur le Maroc». Et L’expression de se demander «Mais pourquoi Renault réclamait plus d'avantages en Algérie?».
«Malgré les engagements garantis par le gouvernement algérien, le constructeur français était sceptique. Ce dossier est devenu sérieusement une affaire d'Etat. C'est grâce à l'implication de l'Elysée que le projet de Renault (l'usine de montage de Oued Tlelat (27 kilomètres au sud-est d'Oran) a pu voir le jour en Algérie» a rappelé le quotidien francophone.
«Le site algérien abritera une usine de taille plus modeste que celle que Renault construit au Maroc…. Le constructeur français devrait élargir ses investissements en Algérie au lieu du Maroc», a conclut le média algérien.
A noter que les médias algériens écrits, audiovisuels et web, sont contrôlés via l’agence nationale de l'édition et de la publicité (ANEP), dépendant du Centre de communication et de diffusion (CCD), lui-même branche de la police politique, DRS.
De ce fait, les médias algériens ne diffusent que les positions du pouvoir algérien. Ainsi, l’article de 'L’expression' peut être considéré comme un message – menace du pouvoir algérien à Renault.
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