Il est marrant ce Harchaoui qui fait le constat de l'échec de sa propre politique. Aucune stratégie économique ne transparait de son message avant tout politique, pour ne pas dire politicien.
La remise à plat du système fiscal n'a de sens que quand le système fiscal est efficace. Or l'Algérie a une collecte de la fiscalité ordinaire qui est défisciente.
Ensuite, il s'attaque au gaspillage, aux subventions, discours claironné par le FMI depuis plusieurs années, et il met en lumière un système de subvention qu'il n'a à aucun moment dénoncé, lorsqu'iol était aux affaires, lui en tant que premier argentier du pays, ou son mentor.
Concernant la compétition, elle ne peut se faire raisonnablement sans une relative concurrence internationale. Avant de demander aux entreprises algériennes d'aller chercher des marchés à l'international, il faudrait avant tout leur demander de s'imposer sur le marché national, ayant un avantage comparatif certain dans son propre marché.
La pensé économique chez certains se limite à des slogans politiciens, et c'est d'une désolation...
La remise à plat du système fiscal n'a de sens que quand le système fiscal est efficace. Or l'Algérie a une collecte de la fiscalité ordinaire qui est défisciente.
Ensuite, il s'attaque au gaspillage, aux subventions, discours claironné par le FMI depuis plusieurs années, et il met en lumière un système de subvention qu'il n'a à aucun moment dénoncé, lorsqu'iol était aux affaires, lui en tant que premier argentier du pays, ou son mentor.
Concernant la compétition, elle ne peut se faire raisonnablement sans une relative concurrence internationale. Avant de demander aux entreprises algériennes d'aller chercher des marchés à l'international, il faudrait avant tout leur demander de s'imposer sur le marché national, ayant un avantage comparatif certain dans son propre marché.
La pensé économique chez certains se limite à des slogans politiciens, et c'est d'une désolation...
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