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Baisse du taux de chômage en Algérie

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  • Baisse du taux de chômage en Algérie

    Les députés de l'APN ont adopté, dimanche soir, à la majorité, le projet de loi relatif aux mesures d'encouragement pour le soutien et la promotion de l'emploi, lors d'une séance plénière présidée par M. Mohamed Kenaï, vice-président de l'Assemblée. Le ministre du Travail et de la sécurité sociale, Tayeb Louh, a précisé dans son intervention que ce texte vise à “mettre en place de nouveaux mécanismes pour l'encouragement, le soutien et la promotion de l'emploi, à travers la réduction des charges sociales au profit des employeurs, en contrepartie de la création de nouveaux emplois, sans modifier les taux des participations en vigueur”. Cette loi s'inscrit, également, dans le cadre de la mise en œuvre du programme du président de la République, notamment son volet relatif à la résorption du chômage et à la création de 2 millions d'emplois à l'horizon 2009.

    Plus explicite, le ministre du travail et de la sécurité sociale a affirmé que la loi vise l'adoption d'approches économiques en matière de lutte contre le chômage. Le ministre a expliqué que le texte de loi vise, notamment, à “lutter contre le phénomène de non-déclaration des travailleurs auprès des services de la sécurité sociale”. Le texte adopté par les députés de l'APN, a-t-il souligné, “vise également à encourager les investissements nationaux, à drainer les investissements étrangers, notamment dans les régions des Hauts- plateaux et du Sud et à inciter les employeurs à la mise à niveau de leurs ressources humaines par le biais de la formation, et partant à préserver leurs emplois”. La nouvelle loi se fixe comme autres objectifs “une meilleure maîtrise du marché de l'emploi, par l'enregistrement des demandes d'emploi au niveau des agences d'emploi, en vue de bénéficier des avantages contenus dans ce texte”, a également indiqué Louh. Le texte en question tend également “à prendre en charge les préoccupations des employeurs, consistant essentiellement en l'allégement des charges sociales pour réduire le coût de la création de nouveaux emplois”.

    Dans ce contexte, il a rappelé que la lutte contre le chômage est l'une des principales préoccupations, aussi bien pour les gouvernements et les partenaires sociaux que “pour certaines organisations internationales telles que l'Organisation internationale du travail (OIT), le Programme des Nations unies pour le développement (Pnud) mais aussi pour l'Union africaine (UA), dans le cadre du Nouveau partenariat pour le développement de l'Afrique (Nepad)”. Les analystes s'accordent à dire que le dossier du chômage est l'un des principaux défis auxquels sont confrontées les sociétés notamment arabes, d'autant que “60 % de la population arabe sont âgés de moins de 25 ans”, soutient le ministre. Concernant l'emploi des jeunes, Tayeb Louh a annoncé “la création de nouveaux projets au profit des jeunes en vue de faciliter et d'encourager la création d'activités de nature à offrir des opportunités de travail”, ajoutant que partant de ces stratégies, “plusieurs pays dont l'Algérie ont mis en place une politique de promotion de l'emploi fondée sur plusieurs mécanismes dont le soutien direct à l'emploi”.
    En termes d’investissements, le ministre a annoncé que le programme de soutien à la relance économique a permis de créer 2 400 000 postes d’emplois entre 2001 et 2005.

    Les secteurs de la construction et des travaux publics, de l'hydraulique et de l'agriculture sont les plus grands pourvoyeurs de postes d'emploi. “Ces réalisations, a-t-il dit, ont permis d'absorber la demande annuelle croissante en matière d'emploi et de réduire le nombre de chômeurs qui tombe ainsi de 2 611 000 en 2000, soit un taux de chômage de 29,5 % à 1 475 000 chômeurs en 2005, ce qui représente 15,3% de la population active”. M. Louh a souligné, par ailleurs, que “le taux de croissance de l'économie nationale, qui connaît une hausse régulière depuis 2000 avec un pic de 6,9 % en 2003, avant de se stabiliser autour de 5 % en 2004 et 2005, traduit un retour à la croissance durable”. Il est temps, a-t-il soutenu, “de procéder à une révision qualitative de la stratégie de l'emploi, par un retour à une approche économique pour le traitement du fléau du chômage, à travers, notamment, l'incitation à l'investissement et la réduction du coût de l'emploi”. “Cette démarche implique, a-t-il ajouté, la mise en œuvre d'une politique de l'emploi durable, adaptée à la demande économique dans le secteur de la production et répondant à la demande de l'emploi en adéquation avec l'accroissement de la population active”.

    Source: liberté

  • #2
    L’Algérienne vis que pour quelques mois, même si le taux de chômage est baissé mais ce problème restera toujours imposer. Puisque il ne peut pas vivre sa vie alaise ou pour ouvrir une maison. Alors l’Algérien peut travaillez mais sans avenir.


    Les secteurs de la construction et des travaux publics, de l'hydraulique et de l'agriculture sont les plus grands pourvoyeurs de postes d'emploi.

    C vrais mais sans contrat

    On souhaite le bonne heure pour l’Algérien.

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