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Pays-Bas : L’Auditeur multinational KPMG, comptant parmi les 4 plus grosses entreprises d’audit dans le monde, prévoit pour l’Afrique un changement en profondeur de la carte de ses régions les plus attractives pour les IDE, au détriment du Maroc et de la Tunisie
Les pays d'Afrique du Nord comme le Maroc et la Tunisie, se glissent graduellement loin des radars des investisseurs étrangers’’.
Ainsi a expliqué, le cabinet d’audit KPMG Africa, dans une analyse publiée jeudi 12 juin, sur son site.
Selon lui, l’instabilité politique en Afrique du Nord, a sapé ses possibilités d’attirer les IDE . Les analystes internationaux, ajoute KPMG sont désormais obligé de parler en des termes distincts de l'Afrique du Nord et de celle subsaharienne, dans les rapports sur les IDE en Afrique.
Des pays comme l'Ouganda, le Ghana, le Mozambique et la Zambie, viennent s’ajouter aux destinations traditionnelles privilégiées des IDE en Afrique subsaharienne, à savoir, l’Afrique du Sud, le Kenya ou le Nigeria et ce au détriment de l’Afrique du Nord, dont l’instabilité en Tunisie et en Egypte et la défaillance de l’Etat et la corruption en Algérie, ont fini par ternir l’image de toute la région nord-africaine.
KPMG a prédit une complication de cette situation, selon lui, ce qui différenciait le Maroc et la Tunisie du reste des pays africains, n’a plus lieu d’être. "Les pays subsahariens se défont de plus en plus de leur image de simples producteurs de matières premières et les IDE visent de plus en plus chez eux, les secteurs productifs à valeurs ajoutées et les marchés de consommation, portés par le développement des classes moyennes subsahariennes
lemag
Les pays d'Afrique du Nord comme le Maroc et la Tunisie, se glissent graduellement loin des radars des investisseurs étrangers’’.
Ainsi a expliqué, le cabinet d’audit KPMG Africa, dans une analyse publiée jeudi 12 juin, sur son site.
Selon lui, l’instabilité politique en Afrique du Nord, a sapé ses possibilités d’attirer les IDE . Les analystes internationaux, ajoute KPMG sont désormais obligé de parler en des termes distincts de l'Afrique du Nord et de celle subsaharienne, dans les rapports sur les IDE en Afrique.
Des pays comme l'Ouganda, le Ghana, le Mozambique et la Zambie, viennent s’ajouter aux destinations traditionnelles privilégiées des IDE en Afrique subsaharienne, à savoir, l’Afrique du Sud, le Kenya ou le Nigeria et ce au détriment de l’Afrique du Nord, dont l’instabilité en Tunisie et en Egypte et la défaillance de l’Etat et la corruption en Algérie, ont fini par ternir l’image de toute la région nord-africaine.
KPMG a prédit une complication de cette situation, selon lui, ce qui différenciait le Maroc et la Tunisie du reste des pays africains, n’a plus lieu d’être. "Les pays subsahariens se défont de plus en plus de leur image de simples producteurs de matières premières et les IDE visent de plus en plus chez eux, les secteurs productifs à valeurs ajoutées et les marchés de consommation, portés par le développement des classes moyennes subsahariennes
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