Le groupe Unimer, leader marocain en conserverie de poisson, va réaliser un complexe industriel de transformation et de valorisation des espèces pélagiques dans la zone franche de Nouadhibou, en Mauritanie.
Dans une déclaration à la MAP, le ministre mauritanien de la Pêche et de l’économie maritime, Nany Ould Chrougha, a mis l’accent sur l’importance de ce projet, en matière de production et de valorisation des petites espèces pélagiques, notamment les sardines et les anchois. Ce complexe va surtout permettre de créer des emplois et de générer de la valeur ajoutée pour les produits mauritaniens.
Le projet, dont les travaux commenceront en octobre prochain, s’étend sur un terrain de 60.000 mètres carrés et devrait être opérationnel début 2016.
Il a nécessité un investissement de 28 millions de dollars (environ 10 milliards d’ouguiyas mauritaniens) qui sera consacré aux travaux d’aménagement du site et à l’implantation d’unités de production, de transformation et de stockage, d’une capacité de 100.000 tonnes d’espèces pélagiques inexploitées comme les anchois et les sardines.
Ce projet, le plus grand de la zone franche de Nouadhibou depuis sa création, il y a un an et demi, devra générer 1.000 emplois directs et 500 emplois indirects.
M. Ould Chrougha a par ailleurs fait savoir que le conseil des ministres a approuvé, hier, l’élaboration d’une stratégie de développement du secteur de la pêche maritime pour la période 2015-2018.
Il a indiqué que le secteur de la pêche occupe une place prépondérante dans l’économie mauritanienne, représentant 30% du budget de l’Etat, 20% des ressources du trésor et 6% du PIB et contribuant à la création de 40.000 opportunités d’emplois.
Il a, toutefois, déploré que le secteur soit sous-exploité, en raison notamment de l’exportation de près de 90% de la production, l’absence d’usines de traitement et de transformation de poissons, et le manque de main-d’œoeuvre qualifiée.
aufait
Dans une déclaration à la MAP, le ministre mauritanien de la Pêche et de l’économie maritime, Nany Ould Chrougha, a mis l’accent sur l’importance de ce projet, en matière de production et de valorisation des petites espèces pélagiques, notamment les sardines et les anchois. Ce complexe va surtout permettre de créer des emplois et de générer de la valeur ajoutée pour les produits mauritaniens.
Le projet, dont les travaux commenceront en octobre prochain, s’étend sur un terrain de 60.000 mètres carrés et devrait être opérationnel début 2016.
Il a nécessité un investissement de 28 millions de dollars (environ 10 milliards d’ouguiyas mauritaniens) qui sera consacré aux travaux d’aménagement du site et à l’implantation d’unités de production, de transformation et de stockage, d’une capacité de 100.000 tonnes d’espèces pélagiques inexploitées comme les anchois et les sardines.
Ce projet, le plus grand de la zone franche de Nouadhibou depuis sa création, il y a un an et demi, devra générer 1.000 emplois directs et 500 emplois indirects.
M. Ould Chrougha a par ailleurs fait savoir que le conseil des ministres a approuvé, hier, l’élaboration d’une stratégie de développement du secteur de la pêche maritime pour la période 2015-2018.
Il a indiqué que le secteur de la pêche occupe une place prépondérante dans l’économie mauritanienne, représentant 30% du budget de l’Etat, 20% des ressources du trésor et 6% du PIB et contribuant à la création de 40.000 opportunités d’emplois.
Il a, toutefois, déploré que le secteur soit sous-exploité, en raison notamment de l’exportation de près de 90% de la production, l’absence d’usines de traitement et de transformation de poissons, et le manque de main-d’œoeuvre qualifiée.
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