Le Maroc serait-il une sorte de simple atelier ? Les chiffres du commerce extérieur supposent une réponse affirmative. Sur les 174 milliards qu’ont rapporté les exportations en 2011, 123 milliards correspondent à des biens réexportés suite à des importations sous le régime de l’admission temporaire pour perfectionnement actif (ATPA), soit 71%. Ces réexportations ont même progressé d’environ 17% par rapport à l’année précédente. Ce qui veut dire que nos performances à l’export contribuent à l’aggravation de notre déficit commercial par le biais des intrants importés !
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Oui évidement ...
Oui apparemment ...
si le produit vaut X ..et si après sa modification il vaut 4X
pourquoi se priver d'une part de gâteau pareille sur le marché internationale?Dernière modification par NewWalid-dz, 05 novembre 2014, 16h45.
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Sinon tu disais quoi concernant les salaires ?Dernière modification par NewWalid-dz, 05 novembre 2014, 17h59.
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Cherche n'oublie pas Google est ton ami !
Iridium ne veut pas répondre, on va donc partir d'une hypothèse : il y a autant de salariés chez le privé que chez le publics parmi 5 millions de salariés du Maroc.
Partant de là et chez le privé
32% perçoivent moins de 2000 DH soit 800.000 salariés
70% perçoivent moins de 3000 DH soit 1.750.000 salariés
Pour le public, c'est un peu mieux
près de 50% perçoivent moins de 6000 DH
Reste les 5 autres millions de marocains (non salariés) :
2.4 millions sont des travailleurs non rémunérés
Le reste c'est de petits commerçants et agriculteurs en survie.
Dernière modification par NewWalid-dz, 05 novembre 2014, 18h16.
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Il y a 700 000 max dans le public
700.000 public et 4.5 millions chez le privé, est ce une bonne répartition haddou ?
Auquel cas chez le privé cela devient
32% perçoivent moins de 2000 DH soit 1.440.000 salariés
70% perçoivent moins de 3000 DH soit 3.150.000 salariés
Le reste du message précédent reste valable.
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La sous-traitance est un passage obligé pour maîtriser la technologie et avoir un savoir faire pour asseoir une industrie dans le pays à condition de monter dans la chaîne des valeurs , en réduisant petit à petit l'importance des intrants dans la fabrication des pièces
L’histoire nous donne les exemples des pays asiatiques ,comme la Corée , la Chine etc ,qui ont commencé par la sous-traitance pour ensuite devenir des pays industrialisés , le Maroc a compris que sa seule chance est dans la sous-traitance et commence à investir dans ce créneau par l'encouragement des sociétés locales à investir et monter dans la chaîné des valeurs , comme l'augmentation des taux d'intégration dans les usines de montage des voitures qui passent à plus de 50% à Somaca et 40% à Tanger c'est pour cette raison qu'il pourrait exporter les voitures montées dans les pays qui exigent le certificat d'origine , dont les pièces doivent être fabriquées localement pour un minimum de 40%
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Tu as flairé que tu n'aurais peut être pas du t'aventurer ?
Iridium ne veut pas répondre, on va donc partir d'une hypothèse : il y a autant de salariés chez le privé que chez le publics parmi 5 millions de salariés du Maroc.
Partant de là et chez le privé
32% perçoivent moins de 2000 DH soit 800.000 salariés
70% perçoivent moins de 3000 DH soit 1.750.000 salariés
Pour le public, c'est un peu mieux
près de 50% perçoivent moins de 6000 DH
Reste les 5 autres millions de marocains (non salariés) :
2.4 millions sont des travailleurs non rémunérés
Le reste c'est de petits commerçants et agriculteurs en survie.
Réfère toi plutôt aux études plus sérieuses qui permettent de comparer les pays entre eux sur le salaire moyen.Dernière modification par iridium, 05 novembre 2014, 20h08.
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