Les recettes de la compagnie nationale des hydrocarbures, Sonatrach, vont atteindre 60 milliards de dollars d’ici à la fin de l’année en cours, a indiqué le ministre de l’Energie, Youcef Yousfi tout en assurant que la chute des cours du pétrole n’aura aucun impact sur l’économie nationale.
S’exprimant ce matin sur les ondes de la radio nationale, le ministre a écarté tout risque d'impact de la dégringolade des prix du pétrole sur le marché mondial aussi bien sur la situation financière du pays que sur les projets et les futurs investissements de Sonatrach. Toutefois, il a souligné l’urgence de diversifier l’économie pour en finir avec la dépendance aux hydrocarbures, car les cours du pétrole, estime-t-il, restent instables et insensibles à plusieurs facteurs.
Selon Yousfi, la chute des prix enregistrés ces dernières années est liée essentiellement à la disponibilité de l’offre comparativement avec la demande, néanmoins « d’autres facteurs géopolitiques ont également influé sur le cours, une situation qui va être au centre des discussions durant la réunion ordinaire de l’Opep qui se tiendra le 27 novembre 2014», a-t-il ajouté.
Consciente de l’instabilité du marché, l’Algérie est en train de renforcer ses capacités de production pétrolière et gazière à travers l’exploration de nouveaux gisements et de nouvelles énergies non-conventionnelles. Il a cité dans ce sens la réalisation des premiers forages off-shore en 2015 ainsi que la mise en place de 20 stations solaires durant les prochains mois.
Cap sur la formation
Sonatrach a lancé un concours d’accès à l’Institut algérien du pétrole (IAP) et dont les inscriptions seront clôturées samedi prochain en vue de recruter 5 000 techniciens supérieurs durant l’année en cours et 8 000 spécialistes en 2015, affirme par ailleurs le ministre. « Des milliers de techniciens supérieurs spécialisés seront formés dans l’exploitation des hydrocarbures non conventionnels », a-t-il ajouté.
Hamid .M 11-11-2014
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S’exprimant ce matin sur les ondes de la radio nationale, le ministre a écarté tout risque d'impact de la dégringolade des prix du pétrole sur le marché mondial aussi bien sur la situation financière du pays que sur les projets et les futurs investissements de Sonatrach. Toutefois, il a souligné l’urgence de diversifier l’économie pour en finir avec la dépendance aux hydrocarbures, car les cours du pétrole, estime-t-il, restent instables et insensibles à plusieurs facteurs.
Selon Yousfi, la chute des prix enregistrés ces dernières années est liée essentiellement à la disponibilité de l’offre comparativement avec la demande, néanmoins « d’autres facteurs géopolitiques ont également influé sur le cours, une situation qui va être au centre des discussions durant la réunion ordinaire de l’Opep qui se tiendra le 27 novembre 2014», a-t-il ajouté.
Consciente de l’instabilité du marché, l’Algérie est en train de renforcer ses capacités de production pétrolière et gazière à travers l’exploration de nouveaux gisements et de nouvelles énergies non-conventionnelles. Il a cité dans ce sens la réalisation des premiers forages off-shore en 2015 ainsi que la mise en place de 20 stations solaires durant les prochains mois.
Cap sur la formation
Sonatrach a lancé un concours d’accès à l’Institut algérien du pétrole (IAP) et dont les inscriptions seront clôturées samedi prochain en vue de recruter 5 000 techniciens supérieurs durant l’année en cours et 8 000 spécialistes en 2015, affirme par ailleurs le ministre. « Des milliers de techniciens supérieurs spécialisés seront formés dans l’exploitation des hydrocarbures non conventionnels », a-t-il ajouté.
Hamid .M 11-11-2014
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