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  • #16
    Jawzia

    Pour parler tu es toujours le premier, mais quand il s'agit de donner des sources ou des preuves tu te fais bien discret parler avec toi c'est une pure perte de temps !!!!!

    Celle là par contre, elle est pas mal. Surtout venant de ta part. J'en ris encore. Wallah, elle est bonne.
    Ok Mr je m'invente des histoires, et des transferts et je ne sais quoi...

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    • #17
      !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
      Dernière modification par ballZ, 20 novembre 2006, 16h32.
      ?

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      • #18
        Un bon début pour la construction en algérie. Il me semble que le plus important n'était pas de substituer un materiaux comme le béton armé car a ma connaissance les matières premieres sont dispo en algérie (ciment gravier sable et armature métalique) par contre ce serait bien que l'Algérie puisse proposer a la fabrication des plaques "ba13" pour les cloisons, des fenêtres double vitrage de qualité made in dz et plein d'autre choses.

        En ce qui concerne les normes sysmique le béton s'en sort largement il suffit de remplacer les briques par du béton pour les mur porteurs et ne pas avoir de tour trop haute pour suporter les zenzlas.
        Mais si ce béton revien moins chère a la fabrication je pense surtout au coût en eau (denrée plutot rare dans nos contrées) alors la oui ce serait formidable.

        Mais c'est toujour bien d'inventer quelque chose même si cela ne sert "a rien" a priori.

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        • #19
          Utilisation du béton dans la construction en Algérie…La recherche scientifique mise à

          Utilisation du béton dans la construction en Algérie…La recherche scientifique mise à contribution

          Une association nationale à caractère scientifique sur le béton en Algérie vient de naître. Son installation a eu lieu hier conformément aux textes réglementaires en vigueur. L’initiative émane d’une université.
          En effet, le département génie civil de la faculté des sciences de l’ingénieur de l’Université Abou Bakr-Belkaïd de Tlemcen a décidé de la création de cette association en collaboration avec les professionnels de la construction. L’association prend la forme d’une section de l’American Concrete Institute sous le nom d’Algeria Chapter-ACI. Vingt membres de cet institut ont déjà confirmé leurs adhésions à ce nouvel espace de recherche. Outre les membres permanents, l’association comptera sur l’apport d’éminents professeurs et de hauts responsables. Le but principal de l’association est de «vulgariser et promouvoir le béton en Algérie». Cet objectif sera atteint à travers l’organisation de conférences, la stimulation des échanges entre les chercheurs et avec les opérateurs économiques, ainsi que par l’élévation du niveau de la maîtrise par la tenue de sessions de formation autour du béton et de ses dérivés. Se voulant un lieu de rencontre des professionnels avec les académiciens, l’association mettra un accent sur les aspects techniques et technologiques du béton. Dans ce sens, elle abordera les constituants du béton, la composition et la fabrication, la mise en œuvre du béton, le comportement et qualité des bétons, la structure en béton armé, la structure en béton précontraint, les normes et règles d’usages sur le béton ainsi que la formation et le perfectionnement. Il est utile de préciser qu’en Algérie, le béton est le principal matériau de construction. Ce qui donne une grande demande sur la matière première qu’est le ciment, lequel produit connaît des périodes de rareté. Actuellement, sur une capacité théorique de 11,5 millions de tonnes/an, les 12 cimenteries publiques produisent pour 10,5 millions de tonnes/an. Pour répondre à la demande croissante, il est impératif de consentir de nouveaux investissements. Outre l’objectif d’un million de logements formulé dans le cadre du plan quinquennal, un vaste chapitre concerne le volet infrastructures avec des réalisations portuaires et aéroportuaires, dans l’éducation et la culture et dans la santé. Un séminaire a même été tenu pour voir comment exploiter le béton dans la construction des autoroutes. Des groupes privés étrangers investissent le créneau. C’est le cas du holding égyptien Orascom qui, après la cimenterie de M’sila, ouvre une nouvelle unité à Mascara pour la fabrication du ciment blanc. Ou encore, le groupe suisse Holcim qui va construire une cimenterie à Relizane pour 140 millions d’euros. En même temps, les autorités réfléchissent à la relance de la privatisation des cimenteries. L’ouverture du capital est la forme arrêtée par les autorités pour retenter une nouvelle opération de privatisation des cimenteries publiques au nombre de douze. Neuf cimenteries seront concernées par cette opération pour laquelle aucun délai n’a été encore fixé. Quant au niveau d’ouverture, il sera plafonné à hauteur de 35%. Il semblerait même que les pouvoirs publics aient donné un avantage pour ramener des leaders mondiaux à s’intéresser à la fabrication de ciment en Algérie. Il est attendu de l’ouverture du capital une captation de fonds financiers à même de renouveler les investissements ainsi qu’un transfert de savoir-faire. La finalité étant d’augmenter les capacités de production installées à 15 millions de tonnes par an. En attendant l’arrivé des repreneurs, des conventions ont été signés avec la Banque extérieure d’Algérie- pour octroyer des avantages préférentiels aux cimenteries publiques dans le cadre de leurs investissements. Les groupes de cimenteries et dérivés de l’Ouest (GIC-ERCO) et du Centre (GIC-ERCC) et le groupe des cimenteries de Chlef (GIC-ECDE) bénéficieront, à la faveur de l’exécution des clauses contractuelles, de modalités de financement plus souples, notamment en ce qui concerne les délais d’ouverture des crédits devises pour l’importation d’intrants.
          Les conventions signées ne se limiteront pas aux aspects de management financier des opérations d’importation, elles auront, également, un apport en termes d’investissement. La BEA accompagnera financièrement les projets d’investissements du secteur cimentier. Un premier projet est déjà identifié. Il s’agit d’une usine de production d’agrégats dont le coût s’élèverait à 8 milliards de dinars. Une unité importante qui permettra la facture d’importation. En termes de capacités productives, le nouveau projet augmentera l’offre annuelle d’agrégats et de sable concassé sur le marché national de 7 à 9 millions de tonnes.


          - La Nouvelle republique

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          • #20
            C’est en effet une tres bonne nouvelle, impliquer la recherche dans l’industrie est un pas non negligeable pour l’economie..

            NB: Merci de se limiter au thème du topic et d'éviter les hors sujets et autres propos qui violent les règles du forum.




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