(Agence Ecofin) - Le Système national d’identification et de traçabilité animale (SNIT), est la dernière nouveauté technologique dont vient de se doter l’agriculture marocaine. Le royaume qui a interdit l’accès à la commercialisation et à l’abattage à tout bovin non identifié, a trouvé le moyen de d’assurer la traçabilité de son bétail.
Ayant coûté 120 millions de dirhams, le SNIT permet l’identification des bêtes par l’usage de boucles électroniques usant des radiofréquences. Concrètement, chaque animal sera désormais porteur d’une paire de boucles comportant une numérotation unique à 16 chiffres. Cette immatriculation, qui sera décryptée par un lecteur électronique sera stockée dans une base de données nationale.
Cette opération aura pour avantage de permettre à l’Etat de suivre le bétail à travers toutes les étapes du processus allant de sa production à sa consommation et d’agir de façon préventive en retirant du circuit de commercialisation des animaux malades ou des produits présentant des risques pour le consommateur. «En intégrant cette formule d’identification, le Maroc s’aligne sur les standards internationaux et améliore efficacement sa gestion des programmes sanitaires et de contrôle des performances zootechniques» a indiqué le ministre marocain de l’agriculture, Aziz Akhannouch.
Pour sa première année d’activité, le SNIT vise l’identification de 3 millions de bovidés et de camélidés souligne Aujourd’hui le Maroc.
Ayant coûté 120 millions de dirhams, le SNIT permet l’identification des bêtes par l’usage de boucles électroniques usant des radiofréquences. Concrètement, chaque animal sera désormais porteur d’une paire de boucles comportant une numérotation unique à 16 chiffres. Cette immatriculation, qui sera décryptée par un lecteur électronique sera stockée dans une base de données nationale.
Cette opération aura pour avantage de permettre à l’Etat de suivre le bétail à travers toutes les étapes du processus allant de sa production à sa consommation et d’agir de façon préventive en retirant du circuit de commercialisation des animaux malades ou des produits présentant des risques pour le consommateur. «En intégrant cette formule d’identification, le Maroc s’aligne sur les standards internationaux et améliore efficacement sa gestion des programmes sanitaires et de contrôle des performances zootechniques» a indiqué le ministre marocain de l’agriculture, Aziz Akhannouch.
Pour sa première année d’activité, le SNIT vise l’identification de 3 millions de bovidés et de camélidés souligne Aujourd’hui le Maroc.
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