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Le Maroc parmi les pays émergents les plus prometteurs selon le classement de Bloomberg

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  • #31
    Pompe ! pompe! mon cher sinon tu n'auras rien à bouffer et oublie le Maroc qui ne t'a pas attendu pour savoir qu'on ne marche pas qu'avec une seule béquille..
    Haddou , Asam 16 , upup , iridium t'ont assez expliqué que l’économie marocaine s'est largement diversifiée pour que tu continues à nous ressasser la propagande FLN des années 60..
    si t'appelles cela diversifier (50% des recettes) ? je te suggère de retourner à l'école

    _ Recette MRE ..................=> 54,059 milliards DH => (env 6 milliards $)
    _ Recette Tourisme ............=> 53,546 milliards DH => (env 5,95 milliards $)
    _ Investissements étrangers => 26,1 milliards DH ...=> (env 2.9 milliards $)

    en attendant, les forages ne cessent pas depuis 10ans au maroc on se souvient tous de l'escroquerie de talsint
    Dernière modification par tawenza, 18 février 2015, 10h41.

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    • #32
      ps2 : le maroc a commencé une belle percée dans l'aéronautique grâce à l'open sky et cela est super..

      Tawenza
      Que vient foutre l'open Sky qui vise à autoriser un droit de survol et d’atterrissage à des compagnies étrangères pour booster le tourisme avec LA CONSTRUCTION AÉRONAUTIQUE.?



      Dernière modification par Serpico, 18 février 2015, 10h54.

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      • #33
        en attendant, les forages ne cessent pas depuis 10ans au maroc on se souvient tous de l'escroquerie de talsint

        Tawenza
        Ça ne sera que la cerise sur le gâteau car cela nous a évité d'avoir un peuple d'assistés et de bras cassés comme certains dont le pompage est devenu une malédiction.

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        • #34
          il y a deux manières de délocaliser l'activité de l'aéronautique..

          1- imposer le transfert de technologie lors d'achats groupés d'aéronefs (c ce que fait l'algérie mais le marché est petit)

          2- accepter l'open sky ce qui veut dire partager une partie du trafic aérien avec le pays hôte

          le maroc fait les deux... mais il a un pb avec la politique d'équipement (airbus ou boeing ?)

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          • #35
            Ça ne sera que la cerise sur le gâteau car cela nous a évité d'avoir un peuple d'assistés et de bras cassés comme certains dont le pompage est devenu une malédiction.
            Serpillière nous sort encore le même refrain, cultive toi et change de disque. oeilfermé

            Quand aux 2 vidéos que tu a posté, ce n'est pas de l’aéronautique made in Maroc (en tant que technologie locale) mais des sociétés occidentales qui fabriquent dans ton pays, parce que la main-d’œuvre est bon marché et que les gens ne comptent pas leur heures pour gagner des cacahuètes, par rapport aux ouvriers qui se trouvent dans les usines européennes.


            En définit ce n'est un atelier a bas cout, tous bénefs pour ces grandes entreprises.

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            • #36
              Quand aux 2 vidéos que tu a posté, ce n'est pas de l’aéronautique made in Maroc (en tant que technologie locale) mais des sociétés occidentales qui fabriquent dans ton pays, parce que la main-d’œuvre est bon marché et que les gens ne comptent pas leur heures pour gagner des cacahuètes, par rapport aux ouvriers qui se trouvent dans les usines européennes.


              En définit ce n'est un atelier a bas cout, tous bénefs pour ces grandes entreprises.
              mais en Algérie c'est pas le bas coût, c'est le savoir faire algérien dans les technologies de pointe qui attire les IDE


              ces ouvriers que tu sembles mépriser connaissent les 5S dans leurs places de travail, utilisent les 5M pour analyser les problèmes et les résoudre, savent ce que un 8D est...ce que FMEA est...ce qu'un kanban est...

              ils sont disciplinés et rigoureux...et leurs petites mains ne suffisent pas pour décrocher un job, il leur faut un cerveau et de intelligence (of wich you have none)....

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              • #37
                mais en Algérie c'est pas le bas coût, c'est le savoir faire algérien dans les technologies de pointe qui attire les IDE
                Au non, les seuls IDE que le pays attire c'est l'industrie pétrolières et gazières.

                Au Maroc la grande partis des IDE c'est dans le tourisme et c'est vrai que là vous connaissais la technologie de pointe dans ce domaine. Un verre thé Missieu


                ces ouvriers que tu sembles mépriser connaissent les 5S dans leurs places de travail, utilisent les 5M pour analyser les problèmes et les résoudre, savent ce que un 8D est...ce que FMEA est...ce qu'un kanban est...

                ils sont disciplinés et rigoureux...et leurs petites mains ne suffisent pas pour décrocher un job, il leur faut un cerveau et de intelligence (of wich you have none)....
                Oh non je ne l'ai méprise pas, mais il s'agit de ce faire payer et traiter convenablement, ce que ces petites mains marocaines ne sont. oeilfermé

                Cette main-d’œuvre au Maroc reflète bien ce qu'est ton pays un simple atelier comme tant d'autres pays hors "occident".

                Le nord c'est le cerveau et le sud c'est les bras comme avait dit Sarkozy l'ex président made in France.

                Car soyons honnêtes ce n'est pas des ingénieurs et des physiciens qui sont engagés dans ces usines d’assemblage d'entreprises européennes ou autres au Maroc mais des simples bras.

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                • #38
                  Car soyons honnêtes ce n'est pas des ingénieurs et des physiciens qui sont engagés dans ces usines d’assemblage d'entreprises européennes ou autres au Maroc mais des simples bras.

                  tu viens juste de montrer que tu n'y connais rien du tout...

                  tu blablates juste pour blablater...

                  il y a certes une grande partie de mains d'oeuvre dans la productions, celle dont j'ai parlé, qui apprend et respecte les normes, qui apprend à faire se auditer par des cabinets d'audit qualité occidentaux, qui est ponctuelle et qui travaille avec des objectifs...et en respectant un cahier de charge...


                  il y a des ingénieurs qualité, il y a des ingénieurs process et des ingénieurs IT , il y a des gens dans le controlling dans les finances, dans les achats, t'as les ressourses humaines t'as les Supply chain , t'as les logisticiens , transport warehouse, t'as les ingénieurs sécurité...


                  tout ce beau monde c'est des marocains, qui ont un cerveau et qui font bouger les choses...

                  tu veux juste mépriser c'est tout...

                  je sais que ce n'est pas suffisant pour faire décoller l'économie du pays, mais je déteste ce mépris là surtout venant de quelqu'un qui n'y connait rien du tout....

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                  • #39
                    Serpillière nous sort encore le même refrain, cultive toi et change de disque. oeilfermé
                    Houhou

                    Prouve nous le contraire au lieu de recourir à l'insulte facile.

                    C'est pas chez moi que le hittisme et l'informel font fureur.

                    Mille fois un travailleur marocain dans l’aéronautique qui exige des compétences ( revisionne les vidéos)qu'un bras cassé qui n'apporte aucune plus-value sinon etre un tube digestif nourrit par la rente petroliere.

                    Quand aux 2 vidéos que tu a posté, ce n'est pas de l’aéronautique made in Maroc (en tant que technologie locale) mais des sociétés occidentales qui fabriquent dans ton pays, parce que la main-d’œuvre est bon marché et que les gens ne comptent pas leur heures pour gagner des cacahuètes, par rapport aux ouvriers qui se trouvent dans les usines européennes.
                    Va dire ça à l'Inde , au Brésil , au Mexique , à la Corée etc etc.qui ont émergé grâce à la délocalisation et aux IDEs.

                    Et l'usine Renault d'Oran qui vous avez "mendié" à la France , ce sont vos "cerveaux" qui vont la faire marcher ?

                    Si seulement c’était destiné à l'export !!

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                    • #40
                      Oui, tous le monde sait que le Maroc est un exportateur de cerveaux, les pays occidentaux n'attendent plus que vos envois d'ingénieurs et de scientifiques de première ordre.

                      Va dire ça à l'Inde , au Brésil , au Mexique , à la Corée etc etc.qui ont émergé grâce à la délocalisation et aux IDEs.
                      Oui mais eux on formés une élite de gens qualifié (qui d'ailleurs ne date pas d’aujourd’hui) et ne se limite pas aux bras, mais utilise aussi leur tête et on eu l'avantage de disposer d'autant de transfert de technologie que possible.

                      Et l'usine Renault d'Oran qui vous avez "mendié" à la France , ce sont vos "cerveaux" qui vont la faire marcher ?
                      Même sans cerveaux l’Algérie produit plus de richesses que le Maroc, qui lui a pourtant engagé des reformes, c'est donc incompréhensibles que ton pays n'est pas encore parmi les puissance de cette planète, tu ne crois pas ?


                      Quand a l'usine de Renault c'est juste un hangar pour puzzle géant, qui doit sa construction au simple fait, que ce sont des mafias qui dirige le pays.
                      Dernière modification par wouhou, 18 février 2015, 14h40.

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                      • #41
                        haineux et jaloux oeilferméoeilfermé

                        Commentaire


                        • #42
                          haineux et jaloux oeilferméoeilfermé
                          Mon gars vous n'avez rien a jalousie, le problème avec vous c'est que vous avez toujours une haute estime de vous même, alors que la réalité est tous autre. oeilfermé
                          Dernière modification par wouhou, 18 février 2015, 14h39.

                          Commentaire


                          • #43
                            Mon gars vous n'avez rien a jalousie.
                            pourtant ca te brûle une partie, dès que tu vois un article sur le Maroc...

                            t'es jaloux parce que tu veux te faire croire qu'on ne vient au Maroc que pour nos petites mains.

                            et qu'il n'y a ni norme ni contrôle ni rien du tout à faire...

                            tu te trompes complètement, mais tu sembles vouloir rester sur ta propagande haineuse pour je ne sais quelle raison.


                            ps: sois honnête et répond moi juste sur un seul exemple :

                            tu penses quoi de l'usine Renault d'Oran ?

                            Commentaire


                            • #44
                              pourtant ca te brûle une partie, dès que tu vois un article sur le Maroc...

                              t'es jaloux parce que tu veux te faire croire qu'on ne vient au Maroc que pour nos petites mains.

                              et qu'il n'y a ni norme ni contrôle ni rien du tout à faire...

                              tu te trompes complètement, mais tu sembles vouloir rester sur ta propagande haineuse pour je ne sais quelle raison.
                              Pas du tous la vie de la grande partie des algériens ne tournent pas autour du Maroc..

                              Je ne ressens aucune jalousie vis à vis de ton pays, mais tu sais très bien que ton pays est pour l'instant qu'un main d’œuvre bon marché comme l'ai d'autres pays et il n'y a pas de quoi choqué de cela.

                              Propagande, mince alors, Dieu merci l’algérien en général fait la part des chose entre fiction et réalité.

                              ps: sois honnête et répond moi juste sur un seul exemple :

                              tu penses quoi de l'usine Renault d'Oran ?
                              Je l'ai écris précédemment
                              Quand a l'usine de Renault c'est juste un hangar pour puzzle géant, qui doit sa construction au simple fait, que ce sont des mafias qui dirige le pays.

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                              • #45
                                il y a deux manières de délocaliser l'activité de l'aéronautique..

                                1- imposer le transfert de technologie lors d'achats groupés d'aéronefs (c ce que fait l'algérie mais le marché est petit)

                                2- accepter l'open sky ce qui veut dire partager une partie du trafic aérien avec le pays hôte

                                le maroc fait les deux... mais il a un pb avec la politique d'équipement (airbus ou boeing ?)

                                Tawenza
                                Arrête ! Tu ne fais que t'enfoncer !!

                                Airbus et Boeing t'ont envoyé leur plainte ?

                                Tu ne sais plus quoi inventer surtout que la construction aéronautique au Maroc est en expansion

                                Dossier aéronautique au Maroc : la montée en gamme pour horizon (1/5)

                                Par Olivier James - Publié le 04 août 2014

                                L'Usine Nouvelle publie cette semaine une série de 5 articles pour faire le point sur l'aéronautique marocaine. Ce dossier a été publié dans le supplément de L'Usine Nouvelle paru le 26 juin consacré à l'économie marocaine et intitulé "Le défi aéronautique." Premier volet, la filière aéronautique marocaine a bénéficié ces dernières années d’une croissance soutenue. Elle doit monter en gamme et en compétences pour se faire une place durable dans le marché mondial. Demain : un modèle qui doit évoluer (2/5).
                                On décèle de la fierté dans le propos. "C’est pour nous un vrai saut technologique", relate avec un grand sourire Housni Faek face à une machine semi-automatique de rivetage autour de laquelle s’attellent des opérateurs.
                                une usine de 400 salariés.



                                Le directeur des programmes de Maroc Aviation, société détenue à 100% par Sogerma, la filiale d'AirbusGroup, voit avec satisfaction ce nouvel investissement : l’entreprise s’apprête à produire des pièces de structure pour l’A 321, des parties du tronçon central, du panneau supérieur et du plancher.
                                Une montée en compétences significative pour cette usine de 400 salariés, spécialisée dans les pièces métalliques et composites pour de grands comptes aéronautiques comme Airbus ou ATR. Elle a généré, en 2013, un chiffre d’affaires de près de 30 millions d’euros.
                                Le site, situé à Nouaceurprès de l’aéroport de Casablanca, devra répondre aux cadences soutenues imposées par Airbus : il ambitionne de produire ces pièces critiques pour l’équivalent de douze A 321 par mois d’ici à 2016.
                                Embauche à terme d’une quinzaine de salariés, formation, investissement dans une machine… La filiale de Sogerma passe la vitesse supérieure et fait tout pour rester dans la course effrénée de l’aéronautique.
                                Elle n’est pas la seule à miser sur le Maroc : le canadien Bombardierva ouvrir une usine fin 2014 à Nouaceur dans la zone franche Midparc et y investir 200 millions de dollars. En 2020, elle doit employer 850 salariés. Déjà bruissent les rumeurs d’une installation dans le royaume du brésilien Embraer.
                                D’autres exemples ? Le français Souriau va étendre de 40% la superficie de son usine de Tanger et embaucher 100 personnes d’ici à 2015. Le groupe d’aluminium américain Alcoa va investir sur Midparc 4 millions d’euros dans une usine de fixations de 6000 m². Une somme identique est engagée sur le même site pour une future usine de 200 salariés par les Ateliers de la Haute Garonne (AHG), une PME spécialisée dans les rivets et les vis.
                                Secteur prioritaire du plan Émergence industrielle
                                Il suffit de se rendre au Maroc, en particulier en avril à l’édition du Salon Marrakech airshow, pour ressentir la volonté farouche du royaume de se positionner comme un acteur de la sous-traitance aéronautique mondiale.
                                Les besoins des avionneurs que sont Airbus et Boeing n’ont jamais été aussi importants. Et le Maroc qui s’érige en terre d’accueil compétitive a fait de l’aéronautique l’un des secteurs prioritaires dans son plan Émergence industrielle. En 2001, la filière comptait une dizaine d’entreprises et guère plus de 300 salariés. Aujourd’hui, plus d’une centaine de sociétés sont implantées à Casablanca, mais aussi à Tanger ou à Rabat, employant près de 9 000 personnes. Le secteur génère 1 milliard de dollars de chiffre d’affaires et fait montre d’un dynamisme vertigineux.
                                "Nous espérons doubler la taille de la filière d’ici à 2020", lance Hamid Benbrahim El-Andaloussi, le président du Groupement des industries marocaines aéronautiques et spatiales (Gimas). "La croissance s’est établie ces dernières années à environ 15% par an, assure Pierre Gadrat, le directeur des secteurs aéronautique, spatial et défense au sein du consultant Alcimed. Plus de 70% des sociétés implantées ici ont moins de cinq ans d’existence."
                                La liste des acteurs qui voient dans ce pays du Maghreb une destination de choix ne cesse de s’allonger : Airbus Group, Safran , Daher , Zodiac , Mecachrome , Nexans , Souriau, Lisi…


                                Le Maroc est à la France ce que le Mexique est aux États-Unis"



                                Les sociétés implantées sont dans 90% des cas des filiales d’entreprises françaises ou le fruit de joint-ventures entre opérateurs marocains et français qui exportent vers leurs sites hexagonaux.

                                "Le Maroc est à la France ce que le Mexique est aux États-Unis", affirme Fouad Attar, le vice-président d’Airbus pour le Moyen-Orient. Autrement dit : une base arrière à la fois compétitive… et proche, le Maroc étant relié par camion à l’Europe.
                                La recette marocaine ? À force de soutiens financiers aux entreprises, de créations de zones franches (Tanger, Nouaceur…), d’efforts en formation professionnelle, les pouvoirs publics ont voulu et ont réussi à attirer les investissements. Même si le Maroc reste plus cher que la Tunisie, le coût du travail, un peu plus de 300 euros par mois en moyenne, est un puissant argument. Le low cost, ou "best cost" comme nombre d’interlocuteurs marocains préfèrent dire, marche à plein.
                                Cependant, le Maroc ne peut se reposer sur ses lauriers. Car il ne fait pas la course seul dans la sous-traitance aéronautique. Outre le Mexique, des pays comme la Turquie, la Malaisie, Singapour, le Vietnam ou la Tunisie, qui a connu sa vague d’industrialisation voilà une décennie, veulent leur part du gâteau.
                                Les carnets de commandes des grands équipementiers sont pleins, leurs usines aussi. Trouver de nouveaux sites compétitifs pour répondre à la demande devient un impératif. Un leitmotiv pour tous ces pays : les séduire ! Ce modèle doit évoluer pour durer. Les succès d’hier ne sont pas ceux de demain.
                                "Toute la question pour l’avenir est de savoir si le Maroc peut réussir à fabriquer des produits plus complexes, résume Guillaume Rochard, responsable mondial de l’aéronautique, la défense et la sécurité au sein du cabinet de conseils PwC. Et surtout si les grands donneurs d’ordres en ont la volonté."

                                Par Olivier James, à Casablanca
                                Bonne lecture !

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