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Les chiffres de l'économie algérienne

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  • #31
    bah justement iridium, les prix des fromages ne sont pas "lié" au prix du litre de lait à la source pardi

    Et dieu merci ! (c'est mon péché mignon les fromages miamm)
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    • #32
      A la tu me pose une belle colle, mais je serais tenté de dire que le prix du fromage dépend en bonne partie du prix du lait !

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      • #33
        iridium
        A la tu me pose une belle colle
        non non au contraire , tu m'as été d'une grande aide avec ton exemple plus courant qui parle mieux au consommateur lambda qu'on est. (le citoyen lambda a une meilleure connaissance de l'amont et de l'aval de l'industrie du lait que celle du pétrole).

        Et c'est tout bénéf puisque tu conclue si clairement en deux trois mots ce qu'on se tue à s'exprimer les uns aux autres:
        le prix du fromage dépend en bonne partie du prix du lait
        C'est donc question de "dépendance relative" qui peut être significative comme insignifiante, et ainsi son influence sur le prix final du produit dérivé. j'y rebondi pour revenir à notre pétrole et ses dérivés, plus précisément ceux où la dépendance serait si petite que son impacte sur le prix final devient "insignifiant", c'est le cas d'une bonne partie des dérivés qui constituent le principal du chiffre d'affaire dans cette famille de produits.
        Dernière modification par GLP, 19 février 2015, 03h27.
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        • #34
          C'est donc question de "dépendance relative" qui peut être significative comme insignifiante,
          entre un baril à 60 $ et un autre à 140 $, il y a une sacré différence tout de même...

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          • #35
            overlocker: c'est clairement une sacrée différence sur le prix du pétrole, mais comme la cause n'est pas une "soudaine" pénurie (volumes), l'impact de cette différence sur les dérivés ne se verra pas aussi ...sacrément "soudainement".

            En tant que trader, je pourrai miser sur une baisse à moyen/long terme sur ces produits (dans le cas d'une pénurie chronique de meilleures opportunités) , mais pas plus que ça. moyen terme qui dépasse le niveau de deux ou trois loi de finance consécutives.

            Ce que je veux dire, c'est que l'impact de la différence dans le prix du pétrole se voit généralement diluée dans le temps dans le cas d'absence d'une différence sur les autres facteurs qui ont un plus grand % d'impact sur le prix des dérivés. et il n'est pas rare de voir l'effet inverse comme un balançoire, baisse des prix du pétrole qui signifie une hausse des bénéfices des firmes qui produisent les dérivés. et ça, c'est à court terme qu'on le vérifie. (appréciation des prix de leurs actions)
            Dernière modification par GLP, 19 février 2015, 12h39.
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