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En dépit des conventions signées avec l’UE et bientôt l’OMC le marché informel continuer de faire des ravages en Algérie.
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Téléphones portables
Plus de 18 millions unités commercialisés en Algérie
El-Khabar
03-12-2006
Par Samer Riad
El Khabar a su de sources bien informées que les compagnies de téléphone portable « Motorola », « Samsung », « Sony Ericsson » et « Nokia » allaient prendre part à une conférence de presse qu’organisent quatre revendeurs de téléphones portables des marques précitées agrées en Algérie, avant la fin du mois pour annoncer qu’elles se retiraient du marché Algérien si l’hégémonie imposée par les « patronats » du marché parallèle se poursuivait.
Le nombre d’abonnés en Algérie atteint les 18 millions et le nombre de téléphones est de 18 millions de différentes marques. Selon les compagnies agréées des différentes marques de téléphone, toutes réunies ne représentent que 50% des téléphones commercialisés ce qui signifie que les 9 millions restant arrivent en Algérie de manière douteuse par les aéroports, les ports et les frontières terrestres. Ils proviennent en général du Maroc, d’Europe, d’Asie et du Golf.
Selon nos sources, la position des revendeurs agrées des quatre marques est attribuée au fait que l’utilisation du canal officiel de commercialisation des téléphones portables en Algérie à travers l’importation a de fâcheuses répercussions, sachant que « c’est le marché parallèle qui fixe les prix ».
Les responsables de certaines compagnies indiquent qu’on a pu déterminer la provenance des téléphones commercialisés en Algérie par la contrebande à travers leurs numéros de série, la plupart « sont de vieux téléphones utilisés, qui sont vendus comme neufs », le client ne peut pas savoir s’ils ont déjà étaient utilisés.
El Khabar a su de sources crédibles qu’il y a « une coordination non déclarée » entre les Douanes et les services de contrôle des prix et de la répression de la fraude, relevant du ministère du Commerce, qui effectuent ces derniers jours un travail parallèle. Le Directeur Général des Douanes a donné des instructions pour resserrer l’étau sur les opérations de transit des téléphones portables dédouanés, causées par la lenteur des Douaniers.
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Téléphones portables
Plus de 18 millions unités commercialisés en Algérie
El-Khabar
03-12-2006
Par Samer Riad
El Khabar a su de sources bien informées que les compagnies de téléphone portable « Motorola », « Samsung », « Sony Ericsson » et « Nokia » allaient prendre part à une conférence de presse qu’organisent quatre revendeurs de téléphones portables des marques précitées agrées en Algérie, avant la fin du mois pour annoncer qu’elles se retiraient du marché Algérien si l’hégémonie imposée par les « patronats » du marché parallèle se poursuivait.
Le nombre d’abonnés en Algérie atteint les 18 millions et le nombre de téléphones est de 18 millions de différentes marques. Selon les compagnies agréées des différentes marques de téléphone, toutes réunies ne représentent que 50% des téléphones commercialisés ce qui signifie que les 9 millions restant arrivent en Algérie de manière douteuse par les aéroports, les ports et les frontières terrestres. Ils proviennent en général du Maroc, d’Europe, d’Asie et du Golf.
Selon nos sources, la position des revendeurs agrées des quatre marques est attribuée au fait que l’utilisation du canal officiel de commercialisation des téléphones portables en Algérie à travers l’importation a de fâcheuses répercussions, sachant que « c’est le marché parallèle qui fixe les prix ».
Les responsables de certaines compagnies indiquent qu’on a pu déterminer la provenance des téléphones commercialisés en Algérie par la contrebande à travers leurs numéros de série, la plupart « sont de vieux téléphones utilisés, qui sont vendus comme neufs », le client ne peut pas savoir s’ils ont déjà étaient utilisés.
El Khabar a su de sources crédibles qu’il y a « une coordination non déclarée » entre les Douanes et les services de contrôle des prix et de la répression de la fraude, relevant du ministère du Commerce, qui effectuent ces derniers jours un travail parallèle. Le Directeur Général des Douanes a donné des instructions pour resserrer l’étau sur les opérations de transit des téléphones portables dédouanés, causées par la lenteur des Douaniers.
il ne les revendent pas
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