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Bonsoir
Avec ses réserves en hydrocarbures, l’Algérie est un acteur incontournable du paysage pétrolier et gazier mondial, selon les experts du bureau d’expertise londonien Oxford Business Group, qui précisent qu’Alger doit jouer « un rôle moteur sur la scène internationale ».
dimanche 3 décembre 2006.
Loin d’être le fait du hasard, le constat d’OBG, selon lequel la notoriété de l’Algérie dans le secteur de l’énergie avance à grands pas, est basé sur plusieurs éléments avérés. D’abord, on note que le pays a des réserves de pétrole évaluées à 11,8 milliards de barils et un volume de gaz naturel estimé à 4 500 milliards de m3. Ensuite, la stabilité politique retrouvée et une amélioration des chiffres de la macroéconomie, qui se traduit par une croissance annuelle moyenne de 5 % sur la période 2002-2005, ont de quoi « attirer les bonnes grâces des investisseurs » dans ce secteur, souligne-t-on.
Enfin, quand on sait que les recettes d’hydrocarbures rapporteront au pays plus de 50 milliards de dollars à la fin de cette année et que, par ailleurs, un programme d’investissement de 30 milliards de dollars au minimum est prévu pour la période 2007-2011 en matière de recherche, de transport et de développement de gisements existants, « il n’est donc pas étonnant de voir défiler les grands noms de l’industrie pétrolière et gazière en Algérie », observe OBG. Pour les experts londoniens, le chiffre record de 18 découvertes pétrolières et gazières réalisées cette année ne fait que confirmer « l’immense potentiel qu’offre l’Algérie en ressources pétrolières et gazières », même si l’on considère que ce potentiel est encore « insuffisamment exploité », reconnaît-on.
Les experts soulignent le boom du secteur énergétique algérien au cours des dernières années, boosté, il est vrai, par une conjoncture pétrolière internationale très favorable, dont l’une des conséquences est le niveau exceptionnel atteint par les réserves de change. Celles-ci avoisinent actuellement près de 80 milliards de dollars et devraient dépasser la barre des 100 milliards de dollars à la fin de 2007, selon des chiffres avancés par la mission économique de l’ambassade de France en Algérie. La Banque d’Algérie estime, pour sa part, que ce seuil sera atteint au début de 2008. Mais dans les deux cas, il serait utile de relever que les réserves de change, qui étaient à moins de 5 milliards de dollars en 1999, auront été multipliées par 20 à la fin de 2007 ou au début de 2008.
Synthèse de Samir, algerie-dz.com
D’après le Jeune Indépendant
Avec ses réserves en hydrocarbures, l’Algérie est un acteur incontournable du paysage pétrolier et gazier mondial, selon les experts du bureau d’expertise londonien Oxford Business Group, qui précisent qu’Alger doit jouer « un rôle moteur sur la scène internationale ».
dimanche 3 décembre 2006.
Loin d’être le fait du hasard, le constat d’OBG, selon lequel la notoriété de l’Algérie dans le secteur de l’énergie avance à grands pas, est basé sur plusieurs éléments avérés. D’abord, on note que le pays a des réserves de pétrole évaluées à 11,8 milliards de barils et un volume de gaz naturel estimé à 4 500 milliards de m3. Ensuite, la stabilité politique retrouvée et une amélioration des chiffres de la macroéconomie, qui se traduit par une croissance annuelle moyenne de 5 % sur la période 2002-2005, ont de quoi « attirer les bonnes grâces des investisseurs » dans ce secteur, souligne-t-on.
Enfin, quand on sait que les recettes d’hydrocarbures rapporteront au pays plus de 50 milliards de dollars à la fin de cette année et que, par ailleurs, un programme d’investissement de 30 milliards de dollars au minimum est prévu pour la période 2007-2011 en matière de recherche, de transport et de développement de gisements existants, « il n’est donc pas étonnant de voir défiler les grands noms de l’industrie pétrolière et gazière en Algérie », observe OBG. Pour les experts londoniens, le chiffre record de 18 découvertes pétrolières et gazières réalisées cette année ne fait que confirmer « l’immense potentiel qu’offre l’Algérie en ressources pétrolières et gazières », même si l’on considère que ce potentiel est encore « insuffisamment exploité », reconnaît-on.
Les experts soulignent le boom du secteur énergétique algérien au cours des dernières années, boosté, il est vrai, par une conjoncture pétrolière internationale très favorable, dont l’une des conséquences est le niveau exceptionnel atteint par les réserves de change. Celles-ci avoisinent actuellement près de 80 milliards de dollars et devraient dépasser la barre des 100 milliards de dollars à la fin de 2007, selon des chiffres avancés par la mission économique de l’ambassade de France en Algérie. La Banque d’Algérie estime, pour sa part, que ce seuil sera atteint au début de 2008. Mais dans les deux cas, il serait utile de relever que les réserves de change, qui étaient à moins de 5 milliards de dollars en 1999, auront été multipliées par 20 à la fin de 2007 ou au début de 2008.
Synthèse de Samir, algerie-dz.com
D’après le Jeune Indépendant