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IMPORTATIONS DE VOITURES L’Allemagne hausse le ton, l’ambassadeur d’Algérie convoqué
Si l’Algérie faisait partie de l'OMC, les allemands auraient probablement saisi l'organe d'arbitrage de cette organisation (avec les conséquences que vous connaissez)...quand il s'agit du commerce mondial,ça rigole pas.
La distribution et le SAV VW en Algérie pas sérieux
Il me semble qu'il n'y a pas lieu de mettre en cause les véhicule Allemands!!!
Par contre, la distribution de ces véhicule ( gamme VW) est totalement à revoir; Il n'y a pas suffisamment de sérieux à ce niveau.
En effet,et à titre d'exemple, j'ai un voisin qui a acheté en décembre 2014 une Ibiza essence Black Line. Il a d'abord eu une différence en sa faveur de 20.000,00 DA environs entre le montant qu'il a versé, selon l'ordre de versement, et le montant figurant sur le bon de livraison; Il a introduit une demande de remboursent du trop perçu en Janvier 2015 et il attend toujours malgré ses nombreuses démarches et ses nombreux écrits.
En février 2015 il a eu un sifflement au niveau du boitier papillon qu'il a signalé au distributeur locale sans qu'une solution ne soit trouvée à son problème à ce Jour!!!!!!!!
Alors ou est le sérieux des firmes Allemandes et ou sont le sérieux et la fiabilité du groupe Volkswagen ??????
citation.
Les généraux algériens n'ont toujours pas compris que c'est l'Allemagne le seul patron en Europe...après les USA bien sûr...
Ce n'est pas une bonne idée de se mettre à dos le patron de son patron .
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En Algérie le patron s'est l'algériens .
Il est claire que s'est pas facile de comprendre que l'on puisse tenir tête a certaines nation qui passe pour les maître du monde quand d'autre son des aplaventriste de naissance .
Cela s'appel la souveraineté national en déplaise au baiseurs de mains .
citation.
Si l’Algérie faisait partie de l'OMC, les allemands auraient probablement saisi l'organe d'arbitrage de cette organisation (avec les conséquences que vous connaissez)...quand il s'agit du commerce mondial,ça rigole pas.
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On ne fait pas parti de cette institution d’escroc .
On les balades depuis les années 80 et s'est pas fini .
a quand le tour des voitures françaises, elles auraient du être interdite en premiers, même avant les chinoise
Normalement ça ne devrait pas tarder, leur puissant lobby à Alger est entrain de s’effriter.
Le coup du Renault Symbol avec ses 18% d'intégration (main-d’œuvre comprise) ne joue pas en leur faveur.
Si l’Algérie faisait partie de l'OMC, les allemands auraient probablement saisi l'organe d'arbitrage de cette organisation (avec les conséquences que vous connaissez)...quand il s'agit du commerce mondial,ça rigole pas.
Meme l'OMC ne peux en aucun cas transgresser les lois du pays
Actualités : Les concessionnaires automobiles régis par de nouvelles normes
Le risque de faillite plane sur la profession
L’arrêté ministériel, fixant les nouvelles normes régissant l’activité des concessionnaires automobiles, est entré en vigueur dès hier. Néanmoins, le risque de faillite plane sur la corporation, dans la mesure où la livraison des véhicules commandés avant la promulgation de cet arrêté pourrait être impossible, notamment ceux bloqués aux ports ou renvoyés à leurs constructeurs.
Cherif Bennaceur - Alger (Le Soir)
Signé le 23 mars 2015 par le ministre de l’Industrie et des Mines, l’arrêté fixant les cahiers des charges relatifs aux conditions et modalités d’exercice des activités de concessionnaires de véhicules automobiles, remorques et semi-remorques et d’engins roulants neufs est désormais en vigueur.
Les dispositions de cet arrêté ministériel ont été publiées dans le Journal officiel n°16 du 1er avril 2015, paru hier, comme l’indiquait récemment Abdesselam Bouchouareb. Pris conformément au décret exécutif n°15-58 du 8 février 2015 fixant les conditions et les modalités d’exercice de l’activité de concessionnaires de véhicules neufs, l’arrêté stipule les obligations auxquelles sont astreints les concessionnaires. En fait, l’arrêté définit les conditions administratives (autorisations…), techniques (infrastructures …), de vente et de service pré et post-vente ainsi que les garanties et responsabilités des concessionnaires, outre les conditions de sécurité (équipements et dispositifs de sécurité obligatoires) des véhicules introduits.
Pouvant être actualisé tous les deux ans, ce cahier des charges conditionne dorénavant l’activité des concessionnaires automobiles. Ainsi, l’importation de véhicules neufs est dorénavant régie par ces nouvelles dispositions.
Des dispositions relatives aux équipements de sécurité que les concessionnaires automobiles accueillent avec une certaine satisfaction, dans la mesure où elles visent, à terme, à développer la professionnalisation, à contribuer à assainir le commerce automobile. En ce sens, le directeur général de Nissan Algérie, distributeur officiel de la marque japonaise et vice-président de l’Association des concessionnaires automobiles d’Algérie (AC2A), Sefiane Hasnaoui, considère le texte positif «sur le fond».
Néanmoins, ce dirigeant au sein de l’association professionnelle formule des «interrogations», soulève des questions de «forme».
Au-delà de l’élaboration «unilatérale» de ce texte, aucune concertation effective n’ayant eu lieu entre les professionnels et le département d’Abdesselam Bouchouareb, cet opérateur de la distribution automobile soulèvera une certaine «incohérence» entre l’arrêté promulgué et la réglementation actuelle, concernant notamment le règlement des importations de véhicules. Et ce, même si la Banque d’Algérie ne manquera pas de trancher conformément à la réglementation en vigueur.
Citant l’article 2 de l’arrêté ministériel qui stipule : «Les commandes de véhicules automobiles neufs passées et ayant fait l’objet d’une ouverture d’une lettre de crédit avant la date de signature du présent arrêté ne sont pas concernées par les dispositions de l’article 23 du cahier des charges» (relatives au contrôle de conformité par échantillonnage), le DG de Nissan rappelle que la lettre de crédit n’est pas qu’un des moyens de paiement des importations et que la législation algérienne autorise le paiement au moyen de la remise documentaire.
Or, s’interroge-t-il, «quel est le sort des véhicules commandés auprès des constructeurs avant la date du 23 mars 2015 ou entre le 23 mars 2015 et le 15 avril 2015, sur la base de ces moyens de paiement ?» En d’autres termes, que faire de ces véhicules commandés et devant être «réglés» sur la base de «la confiance» avec les constructeurs ? Ces véhicules seront-ils bloqués aux ports, sans pouvoir faire l’objet de procédures de dédouanement ? Ou seront-ils renvoyés à leurs constructeurs ? Comment opéreront les services douaniers ? Les opérations domiciliées après le 23 mars dernier seront-elles déclarées illégales ?
Des questionnements et autres que le vice-président de l’AC2A justifiera par «la grande inquiétude» des professionnels. Ayant pris des «engagements» envers les constructeurs étrangers mais aussi envers leurs clients, les concessionnaires algériens pourront-ils honorer ces engagements si les véhicules ne sont pas livrés, car bloqués aux ports ou renvoyés.
Dans le cas échéant, «cela met à mal nos engagements» envers les divers intervenants du marché, observera Sefiane Hasnaoui. Quel mode opératoire pour mettre en œuvre ces dispositions ? s’interroge-t-il par ailleurs, concernant notamment la passation des futures commandes.
Or, plusieurs bateaux sont restés en rade pendant plusieurs jours, en raison du problème de la domiciliation bancaire des importations mais aussi parce qu’ils ne pouvaient être déchargés à cause de l’imbroglio, la situation de flou résultant de l’application d’un arrêté signé mais non encore publié. Ce qui a entraîné la saturation de certaines enceintes portuaires mais aussi contraint certains navires à rebrousser chemin avec leurs cargaisons de véhicules neufs.
Certes, des situations pareilles ont pu être «débloquées, à ma connaissance», relèvera le vice-président de l’AC2A. Néanmoins, le problème reste patent dans la mesure où l’application de l’arrêté, l’absence de rétroactivité n’étant pas induite, pose problème pour les concessionnaires, voire pour l’économie nationale.
Outre d’être considérés en situation d’infraction et passibles de sanctions, les opérateurs seront tenus de payer des surcoûts, des surestaries pour le retard ou l’impossibilité de déchargement portuaire. Ce qui pénalisera la trésorerie des opérateurs automobiles et, par conséquent, l’économie nationale mais aussi induira le risque de «faillite pour l’ensemble de la profession», considère le DG de Nissan Algérie. Voire, c’est l’image, la «valeur de la signature Algérie» qui pourrait en pâtir, déplorera ce concessionnaire, relevant le risque de «catastrophe» pour les professionnels et le pays. En ce sens, il estimera opportun, essentiel d’en appeler à l’intervention du Premier ministre.
«Nous appelons Abdelmalek Sellal à se saisir de ce dossier», dira cet opérateur, en ce sens que cette problématique «dépasse le cadre du département de l’industrie et des mines» mais implique plusieurs secteurs (industrie, transports, douanes, intérieur, commerce…).
C. B. le soir d'Algerie
"Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."
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