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Algerie : Véhicules chinois projet algéro-chinois d’une usine de montage en Algérie

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  • #16
    Les chinois qui ont leur propre lanceur pour mettre leurs satellites en orbites et des "Boukhnounas" ne sachant même pas gérer un abattoir traitent ces chinois d'incompétents !!!

    3ich Tchouf !

    Jawzi
    a
    Pour la khnouna c'est pas les marocains qui ont fait du nif un emblème.

    Quant on sait que les chinois font même venir depuis la lointaine chine des plombiers , des maçons et des électriciens ()pour la construction des batiments en Algérie , on ferait mieux de ne pas trop la ramener ...

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    • #17
      Tres rigolo .Passer son temps à décrier un impérialisme occidental pour tomber aveuglement dans un autre impérialisme chinois après avoir gouté à l’impérialisme soviétique et sans jamais essayer de voler de ses propres ailes..

      L'impérialisme chinois

      Comme chacun sait, la Chine est devenue la deuxième puissance économique du monde, ayant dépassé en 2010 le Japon. Avec 1,3 milliard d’habitants, elle représente 20 % de la population mondiale ; tout cela est très joli, mais on oublie de rappeler que le PIB par habitant est en Chine de 4280 dollars, et que celui du Japon comme celui de la France ou de la RFA est supérieur à 40 000 euros. Quels que soient les progrès accomplis par la Chine, cette pauvreté de la population est quand même à prendre en compte, ce qu’oublient un peu trop les sinologues. Et la Chine, en raison de sa politique d’enfant unique, est un pays plus âgé qu’on ne croit. Dans dix ans, la pyramide des âges de la Chine sera celle de la France d’aujourd’hui.

      (...)Ses besoins en ressources minières et énergétiques ne cessant de croître, la Chine s’est tournée vers l’Afrique. De fait, la Chine est devenue en dix ans le deuxième partenaire commercial de l’Afrique, après les États-Unis ; elle dépasse la France. En dix ans, la Chine a investi plus de cinquante milliards de dollars en Afrique, et elle a été bien accueillie, au moins au début. La Chine, en effet, a eu la bonne idée de refuser toute ingérence dans ces demi-dictatures qui dominent l’Afrique. Son implantation économique s’appuie sur une implantation culturelle. C’est le rôle des instituts Confucius, dont le problème essentiel est de contribuer à la formation technologique des Africains travaillant dans les entreprises chinoises. La Chine construit des barrages au Sénégal, en Guinée, au Ghana, au Soudan et en Éthiopie. Elle est en fait très présente dans trois régions, en Afrique du Nord, en particulier en Algérie, où on compte plus de 100 000 Chinois. Certes, ils sont mal vus de la population, car dans les entreprises de construction qu’ils animent, ils considèrent la main-d’œuvre algérienne comme trop inefficace. Ils aménagent des voies ferrées, se fournissent en pétrole au Soudan, en Algérie, au Gabon et ont construit un oléoduc allant des gisements de pétrole du Soudan à la Mer Rouge. On trouve des Chinois dans la Corne de l’Afrique, autour des Grands Lacs et en Afrique du Sud. Ils gèrent les mines de bauxite de Guinée et tiennent une place considérable au Zimbabwe, où ils se substituent aux Occidentaux qui condamnent le système Mugabe à Harare.

      Tout cela fait de la Chine une puissance coloniale, mais elle gère ses investissements à la chinoise. Le régime pour les travailleurs est le régime chinois et n’a rien à voir avec les traditions locales ou même importées par les Européens. On ne respecte guère l’environnement dans les régions qu’on exploite, pas plus que les législations locales sur le travail.
      En réalité, tout cela n’est pas gratuit, les États africains qui se libéraient peu à peu de la dette à l’égard des anciens colonisateurs, sont à nouveau fortement endettés dans un nouveau cycle. La Chine, demeurée marxiste dans sa vie politique et intellectuelle, est simultanément capitaliste en Asie et développe en Afrique un ultra-capitalisme qu’aucun État colonial n’avait pratiqué. Sans oublier une présence militaire qui n’est pas négligeable, en Afrique (elle cherche à implanter des bases militaires au Tchad, au Mali et dans les îles Seychelles) comme en Asie.
      La Chine apparaît ainsi comme le principal concurrent des États-Unis, dont la dette au profit de la Chine est considérable. Elle profite à la fois des investissements étrangers sur son territoire – tout en cherchant aussi à obtenir des connaissances technologiques de l’Occident, pour les utiliser à son profit – et, en même temps, cherche à être présente sur tous les continents, même en Europe où elle rachète une part des dettes grecques ou portugaises, pratiquant une « diplomatie du yuan » dans les anciennes républiques soviétiques d’Asie centrale, tout particulièrement au Kazakhstan.
      Dernière modification par Serpico, 19 octobre 2015, 21h54.

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      • #18
        ALLAH yer7am jami3 mawta lmousslimine

        Algerie : Véhicules chinois projet algéro-chinois d’une usine de montage en Algérie
        mabrok et ALLAH ykamel bel khir

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        • #19
          traks tu as raison sur les licences pour les produits de bon niveau.mais faut pas oublier que tu as affaire a des chinois et non des algériens ou marocains.

          un chinois c'est dans ses gènes de copier. (même si ce peuple a tout inventé) alors c'est vrai qu'au début d'un process qu'ils ne maitrisent pas,ils vont simplement produire sous licence puis 10/15 ans plus tard ils créent a partir de rien leur propre entreprise (le gouvernement chinois les pousse a cela) pour ne plus dépendre de l'occident.

          il y a 10 ans tous les portables chinois étaient de la daube.....en 2015 on ne peut plus dire cela.on a 3 ou 4 marques chinoises qui grignotent des parts de marché aux géants mondiaux. et dans 10 ans l'occident sera envahi de portables chinois.
          et c'est pareil pour l'automobile ou l'aviation. dans 10/15 ans on trouvera des avions et des voitures chinoises partout dans le monde car le niveau sera très bon (rapport qualité prix) comme l'ont fait la corée du sud ou le japon.
          samsung ou toyota c'est de la merd.e ? et pourtant il y a 20 ans c'était considéré comme tel.

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          • #20
            Serpi

            tout cela est très joli, mais on oublie de rappeler que le PIB par habitant est en Chine de 4280 dollars,
            On doit en conclure que le Maroc qui s'habille en djellaba et babouche made in china est plus développé que la Chine !!!???

            Si impossible n'est pas Français ridicule n'est pas Marocain
            "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

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            • #21
              On doit en conclure que le Maroc qui s'habille en djellaba et babouche made in china est plus développé que la Chine !!!???

              AARROU
              Pour ta culture , il y a jellaba et jellaba et babouche et babouche.

              Si les chinois arrivent à vous fourguer des jellabates et babouches made in china à la durée éphémère , il leur est impossible d'atteindre le savoir-faire ancestralde l'artisan marocain qui met des mois à broder une seule jellabaet qui risque de te couter ton salaire annuel.

              Les importateurs des caftans et jellabas algériens ont essayé de contourner le marché marocain en se tournant vers la chine EN VAIN.

              Écoute tes compatriotes !!



              Encore une fois cesse de te ridiculiser !!

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              • #22
                Des vehicules dangereux et peux fiables !!

                Encore du matériel chinois !! Quelle idée et quelle obsession que de faire confiance a du matériel Chinois !!
                Avec toutes nos mauvaises affaires avec la production chinoise, et a leur tête la catastrophe de l'autoroute Est/Ouest, on continue a faire confiance a ces flibustiers sans scrupule !!!
                Pour ma part, je ne ferai jamais confiance a leurs véhicules ni a leur matériel surtout ce qui est destine aux pays du Tiers monde ou il n'y a ni contrôle ni normes !!:22:
                Allah yahfed wa yastere !!1
                Le Sage

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                • #23
                  On se rappelle tous au Maroc d'une importation de chauffe-eaux chinois qui avait fait plusieurs morts avant que le gouvernement ne se décide à les interdire.

                  Commentaire


                  • #24
                    Algérie-Chine/ Deux partenaires, un bénéficiaire

                    Par Algerie focus- octobre 20, 2015

                    Les Algériens sont-t ‘ils d’incorrigibles naïfs ? Ces derniers jours, les médias nationaux, emboîtant le pas à nos responsables gouvernementaux, ne tarissent pas d’éloges sur la qualité des relations économiques entre notre pays et la patrie de Deng Xiao Ping. Une relation « de long terme » nous explique t’on et basée sur des « intérêts partagés ». J’ai même entendu ce matin sur une chaîne publique nationale un chroniqueur économique nous expliquer sans rire que la Chine avait « investi 10 milliards de dollars en Algérie » (vous avez déjà vu une usine chinoise en Algérie ?).

                    Des relations « excellentes ».

                    L’ « excellence » des relations entre notre pays et la Chine est encore confirmée cette semaine par les annonces faites par le ministre du commerce M.Belaid Bakhti qui déclare que l’Algérie pourrait faire une entorse à la sacro-sainte règle de l’interdiction de l’endettement extérieur au profit de nos « amis chinois ». Selon le ministre, “il s’agit d’une exception que compte faire l’Algérie vu les faibles taux d’intérêt appliqués par la Chine et la qualité des relations entre les deux pays. Les discussions sont actuellement en cours avec la partie chinoise”, a ajouté M.Bakhti, sans préciser le montant que l’Algérie envisage d’emprunter. Son collègue de l’industrie, M.Bouchouareb, n’a pas voulu être en reste et il annonce également la conclusion prochaine d’un accord pour la réalisation d’une usine de montage automobile dans notre pays. A vrai dire, les relations économiques entre l’Algérie et la Chine sont en effet « excellentes », mais excellentes pour qui ?

                    La Chine premier fournisseur de l’Algérie

                    C’est le patron du FCE, M. Haddad qui relevait en début de semaine que le volume des échanges commerciaux entre les deux pays est passé à plus de 10 milliards de dollars US en 2014, contre 6,9 milliards de dollars US en 2011, soit un accroissement de 47%. La Chine est le premier fournisseur de l’Algérie depuis 2013, renforçant ainsi sa part dans les importations globales de l’Algérie à 14% en 2014 (8 milliards de dollars de produits importés). Ces importations ont augmenté ces trois dernières années de plus de 73%. Le président de la Chambre algérienne de commerce et d’industrie, M.Benamor, note de son côté que “la Chine exporte beaucoup en Algérie, mais en revanche, elle ne nous achète rien ou quasiment rien. Elle est loin d’être le premier investisseur malgré la présence de 790 entreprises chinoises en Algérie.

                    Des dizaines de milliards de dollars de contrats publics

                    La Chine ne fait pas seulement de bonnes affaires commerciales avec l’Algérie. Les entreprises chinoises sont également depuis plus d’une décennie les premières bénéficiaires des gigantesques programmes d’investissements publics lancés par le gouvernement algérien. Depuis les autoroutes et les aéroports jusqu’aux programmes de logements publics en passant par le chantier de la grande Mosquée, les entreprises chinoises ont quasiment tout raflé en ne laissant que des « miettes » aux concurrents. Des contrats qui se chiffrent sur la décennie écoulée à plusieurs dizaines de milliards de dollars. Ils ne constituent bien sûr pas, contrairement à ce que semble penser les « économistes en herbe » qui officient sur les chaînes de radio publiques, des « investissements » réalisés par les entreprises chinoises qui déménagent leur bases de vie et rapatrient la main d’oeuvre dès que le chantier est terminé. Ajoutons que ces contrats qui ont eu la faveur des autorités algériennes depuis plus de 10 ans ont en outre la particularité d’utiliser le plus souvent une main d’œuvre exclusivement chinoise ce qui renseigne sur le « transfert de savoir faire » qui s’effectue à l’occasion de leur réalisation.

                    Une relation économique à sens unique

                    Les autorités algériennes, qui ont pris conscience tardivement du caractère à « sens unique » de la relation avec le partenaire chinois, ont commencé à le lui faire savoir. C’était notamment l’objectif non officiel de la visite effectuée en Chine au printemps dernier, par le premier ministre, M.Abdelmalek Sellal. Ce n’est donc pas un hasard si le président du Conseil chinois pour la promotion de la coopération Sud-Sud, M. Lu Xinhua, était cette semaine en visite en Algérie. La Chine, “forte de ses 4 000 milliards de dollars de réserves de changes, est prête à financer des projets d’investissement en Algérie”, a déclaré M.Lu lors d’une rencontre entre hommes d’affaires chinois et algériens qui s’est tenue samedi dernier à Alger. “Il faut aller au-delà du simple commerce a plaidé à cette occasion M.Ali Haddad, estimant que l’Algérie doit constituer “un tremplin stratégique et dynamique pour aller vers l’Afrique”.

                    Les fonds d’investissements chinois bientôt en Algérie ?

                    Beaucoup de bonnes intentions donc. Mais notons quand même que nos amis chinois savent ce qu’ils font et gardent les pieds sur terre. Les financements des fonds d’investissement chinois qui gèrent une partie des immenses réserves de change du pays sont conditionnés par l’attribution des marchés aux entreprises chinoises et aux services et fournitures de biens chinois pour les besoins du projet. Sans stratégie de partenariat du coté algérien, le recours à ce type de financement fait donc augmenter les importations et accroît notre dépendance technique et financière, si ces projets ne sont pas mis à profit pour capitaliser le savoir-faire.

                    Merci pour le somptueux Opéra d’Ouled Fayet.

                    Une dernière remarque en forme de remerciement. La popularité du partenaire chinois dans notre pays, comme d’ailleurs dans beaucoup d’autres pays africains, a été entretenu au cours des dernières années par la générosité affichée par les autorités de ce pays et ses grandes entreprises qui n’hésitent pas à faire des présents spectaculaires au pays d’accueil. C’est ainsi que l’Algérie a bénéficié de la réalisation « à titre gracieux » de la salle d’Opéra d’Ouled Fayet. Que nos amis chinois en soient vivement remerciés. Mais n’est ce pas précisément un proverbe de leur pays qui dit en substance : « Si tu veux aider un ami , apprends lui à pêcher plutôt que de lui offrir du poisson » ?

                    Hassan Haddouche

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