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terrorisme et guerres: l'Impacte positif pour l'économie du Maroc !!!!??

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  • #31
    Molker:
    C'est indécent de se réjouir des malheurs des autres !!
    merci, molker, tu as remarquer l'intervenion de tout les faistes mkhazeni ici,,
    que dire de cee menalité qui ce réjouis du malheurs d'autres ,,la c'es aprés les attentats et terrorisme la meme altitude etait aussi ya quelque temps aprés le tremblement de terre en Turquie et aussi le tsunami en Asie
    c'est un comportement bizare, mystérieux beaucoup pire qu’indécent


    en plus les Russes ne vont pas eviter la turquie pour un pays qui est pire 1000000 fois plus , un pays spécialisé dans les coups de La traîtrise et poignards dans le dos
    المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

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    • #32
      Salam

      Le terrorisme et la guerre sont l'envers et l'endroit de la même pièce, seul varie celui qui met l'étiquette...

      Le positif du négatif ou l'inverse, je ne sais plus...

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      • #33
        Après l’attaque de la Turquie contre le bombardier russe Su-24 dans le ciel syrien, ayant résulté en la mort de deux militaires russes, le colonel Oleg Pechkov et le fantassin de la marine Alexandre Pozynitch, la Russie avait promis de réagir. La réponse ne s’est pas fait attendre longtemps.

        Vladimir Poutine a signé les mesures de rétorsion contre la Turquie:

        — Suspension à partir du 1er janvier 2016 du régime sans visas pratiqué actuellement entre la Russie et la Turquie
        — Suspension des ventes de voyages et produits touristiques en Russie à destination de la République turque
        — Les vols charters entre la Russie et la Turquie interdits
        — Interdiction aux employeurs russes d'embaucher des citoyens turcs, également à partir du 1er janvier 2016 (selon plusieurs sources entre 150 et 200 mille citoyens turcs vivent et travaillent actuellement en Russie)
        — Interdiction et limitation de l'activité des organisations turques en Russie
        — Interdiction et limitation sur une série de produits en provenance de Turquie

        Erdogan a quant à lui affirmé qu'il fera tout pour "normaliser les relations entre les deux pays" et qu'il espérait "une normalisation rapide des relations".

        Selon lui, "la Turquie a besoin de la Russie comme la Russie a besoin de la Turquie. Nous ne pouvons pas ne plus être en contact". Il a également ajouté qu'il "espérait qu'il n'y aura plus d'incidents comme celui des derniers jours: "Cet incident nous a beaucoup chagriné. J'espère que cela ne se reproduira pas". Ce qu'il oublie de dire c'est que ce n'est pas un "incident", c'est un acte criminel et une agression contre la Russie. Et ce qui est certain, c'est qu'à travers son soutien aux intérêts terroristes, il a mis les intérêts de son pays et de son peuple grandement en danger… Aujourd'hui, en raison de ces agissements criminels, les citoyens de Turquie en paient les frais. A suivre désormais ce qu'il en sera.
        Pendant ce temps, de nouvelles opportunités s'ouvrent à d'autres pays, notamment le Royaume du Maroc. Un reportage entier a été consacré tout récemment à ce pays par la chaine d'information russe en continu Rossiya 24, chaine très populaire auprès des cercles politiques et d'affaires de Russie. Le reportage se focalisait sur les opportunités existantes entre les deux Etats, surtout au niveau de l'exportation des produits agricoles marocains vers la Russie, ainsi que sur le Maroc en tant que destination touristique. Il a aussi mentionné les liens culturels forts entre les deux pays, depuis l'immigration russe qui a suivi la révolution bolchévique, jusqu'à aujourd'hui en passant par les liens datant de l'Union soviétique (nombre de cadres et spécialistes marocains ont été formés en URSS et en Russie, et continuent de l'être).


        En effet faut-il le rappeler, le Maroc est le deuxième partenaire économique et commercial de la Russie en Afrique et dans le monde arabe, derrière l'Egypte. Les deux pays sont également signataires de la Déclaration sur le partenariat stratégique, signée à Moscou en octobre 2002. Le Maroc est de loin le premier fournisseur d'agrumes sur le marché russe: plus de 60% de sa production exportée va vers la Russie, le reste principalement dans l'Union européenne. Aujourd'hui, compte tenu de la limitation décidée par la Russie envers toute une série de produits turcs, y compris agricoles, le Maroc peut accroitre encore plus cette position dominante. Le Maroc avait aussi depuis déjà un certain temps commencé à exporter ses tomates sur le marché russe, une position qu'elle a renforcée notamment depuis la riposte russe aux sanctions occidentales, et l'interdiction d'importer une série de produits alimentaires et agricoles en Russie en provenance des pays concernés. A noter tout de même que jusqu'ici, c'est la Turquie qui dominait largement la part des légumes importés: pratiquement 80% du marché des tomates et 20% du total des importations russes de légumes. Maintenant et avec la réalité du moment, la part marocaine peut largement s'élargir. Tout comme sur d'autres produits alimentaires et agricoles.
        Le tourisme russe à destination du Maroc peut également commencer à croitre sérieusement. Jusqu'ici, les parts de lion étaient aux mains de la Turquie (4,5 millions de touristes russes pour la seule année dernière, des touristes d'autant plus les plus dépensiers) et l'Egypte (plus de 2,5 millions).


        Le Maroc en est encore loin: aux alentours de 50 000 touristes russes annuels (statistiques de 2013) est un chiffre bien loin du potentiel véritable. Raisons à cela: prix plus élevés que sur l'Egypte et la Turquie, pas suffisamment de vols charters, le système « ALL INCLUSIVE » largement utilisé par les Turcs et les Egyptiens pas encore au point. Il faut quand même se rappeler que le Maroc n'a véritablement commencé à se concentrer sérieusement sur le marché touristique émetteur russe que depuis quelques années, tandis que la Turquie et l'Egypte en avaient fait leur priorité depuis plus longtemps. Mais le potentiel est bien là, donc à observer, connaissant surtout les énormes atouts du Maroc dans ce domaine, aussi bien au niveau du balnéaire, que du culturel. En tout cas les objectifs annoncés par les services compétents du Maroc et les professionnels du secteur sont claires: multiplier de plusieurs fois le flux touristique en provenance de la Russie vers le Maroc. A suivre donc.
        En 2014, les échanges entre la Fédération de Russie et le Royaume du Maroc se chiffraient à un peu plus de 1,5 milliards de dollars (bien loin encore des plus de 30 milliards d'échanges turco-russes). Néanmoins, la nouvelle réalité du moment, les objectifs déclarés et la visite annoncée dans les prochaines semaines du roi du Maroc Mohamed VI en Russie peuvent donner un nouvel élan au partenariat bilatéral. Le Maroc après avoir intelligemment su utiliser les contre-sanctions russes contre certains produits européens à son avantage, lui donne aujourd'hui l'occasion d'en faire de même compte tenu du sérieux refroidissement des relations entre la Russie et la Turquie.


        sputniknews

        Lire la suite: http://fr.sputniknews.com/points_de_...#ixzz3t5TgN7My

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        • #34
          Agriculture, tourisme... Une chaîne de télévision russe fait la promotion du Maroc


          ÉCHANGES COMMERCIAUX - Les relations maroco-russes semblent plus que jamais promises à un bel avenir. Alors que Moscou a signé des mesures de rétorsion contre Ankara, de plus en plus de voix appellent à renforcer les liens avec… Rabat.

          Dernière en date: la chaîne télé Rassiya 24, quelques jours après que le ministre russe de l'Agriculture Alexander Tchakev a déclaré que la Russie pourrait remplacer l'importation de légumes turcs, et notamment des tomates, par celle de pays partenaires comme le Maroc.

          La chaîne, qui cible les cercles politiques et d'affaires de Russie, vient de consacrer un long reportage sur les opportunités entre les deux pays, notamment sur les fronts de l’agriculture et du tourisme, mettant en lumière "les liens culturels forts, depuis l'immigration russe qui a suivi la révolution bolchévique, jusqu'à aujourd'hui en passant par les liens datant de l'Union soviétique", rapporte Sputniknews.

          La chaîne rappelle que "les relations entre les deux pays ont enregistré ces dernières années des progrès notables avec un volume des échanges qui dépasse les deux milliards de dollars, plaçant le Maroc au 2e rang en tant que partenaire commercial de la Russie en Afrique et dans le monde arabe.
          La crise diplomatique entre Ankara et Moscou suite à l'incident du bombardier-chasseur russe abattu par l'armée turque et les représailles économiques imposées par la Russie pourraient booster davantage les échanges et augmenter le nombre des touristes russes au Maroc, qui atteint actuellement les 45.000 contre 4,5 millions en Turquie. Hasard du calendrier, le ministère marocain du Tourisme a récemment indiqué que le Maroc ambitionnait d’atteindre 800.000 touristes russes en 2020.

          Premier exportateur d'agrumes sur le marché russe avec une part de 60%, le Maroc a l'ambition de tripler le volume de ses exportations d'ici trois ans en Russie, marché qui compte 140 millions de consommateurs. Le Maroc y exporte également des primeurs, des sardines surgelées et du textile, et importe du pétrole brut, du fer ou encore du soufre.

          La même "opportunité" s’était présentée au Maroc en août 2014 suite à l'entrée en vigueur de l'embargo russe sur les produits alimentaires en provenance de l'Union Européenne, des Etats-Unis, de l'Australie, du Canada et de la Norvège. Des actions coordonnées avaient notamment été entreprises par les professionnels marocains.
          Le ministre du Commerce extérieur, Mohammed Abbou, avait récemment confié à l'agence de presse étatique russe RIA Novosti l'instauration prochaine d'un accord de libre-échange (ALE) entre la Russie et le Maroc.

          Une décision qui va "encourager les exportations vers la Russie et multiplier les niches (les marchés qui ne sont pas encore développés, ndlr) afin que nos échanges soient à peu près équilibrés", avait confié au HuffPost Maroc Hassan Sentissi, président de l'Association marocaine des exportateurs (ASMEX).

          HuffPostmaghreb

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          • #35

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