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Dès les premières heures de l’année 2016, les automobilistes algériens se rendent comptent que les prix du gasoil et surtout de l’essence ont connu une augmentation un peu plus importante que prévu. Motif : «combattre les exportations illégales de carburants vers le Maroc» !
Une année qui ne démarre pas sur les chapeaux de roue pour l’Algérien lambda. Passées les festivités du nouvel An, les automobilistes découvrent dès les premières heures de 2016 que les prix affichés dans toutes les stations d’essence ont connu une augmentation un peu plus importante que celle qui était annoncée dans le projet de loi de finances. Pas pour le gasoil qui est passé de 13,70 à 18,76 DA (+5,06 DA). Grosse surprise, c’est le prix du super qui est passé de 13,70 DA à 18,76 DA (+5,06 DA) et le super sans plomb à 31,02 DA contre 22,60 DA (+ 8,42 DA).
De quoi se mêle-t-on, diriez-vous ? Cela n’arrive pas qu’aux autres, notre «Benzidane» à nous, pardon Benkirane, a pris le fâcheux plaisir de nous rendre la vie si "chère" au point que les augmentations annoncées sur les prix du sucre, butane et autres produits de base barrent déjà les manchettes de nos confères algériens.
Seulement, du moins sur le prix des carburants, comparaison n’est pas raison. L’Algérie est un pays pétrolier et gazier, a contrario du Maroc. Et dans le cas du voisin, il nous vient à l’esprit ce dicton populaire en vogue : «Il est boucher et dîne pourtant avec des navets » ! Autrement dit, comment un pays qui roule sur «l’or noir» peut-il se permettre d’augmenter les prix des carburants ?
A cela, il semblerait qu’il y aurait une raison. En voulez-vous en voilà. «L’objectif recherché par les autorités algériennes est également de combattre les exportations illégales de carburants algériens vers les pays voisins – le Maroc principalement», croit savoir Algérie Focus.
Vous avez bien lu : «Le Maroc principalement». Et puisqu’on vous disait que le Maroc était la source de tous les problèmes de l’Algérie … De grâce, gardez vos frontières fermées et épargnez-nous vos jérémiades à deux balles.
Ziad Alami
Une année qui ne démarre pas sur les chapeaux de roue pour l’Algérien lambda. Passées les festivités du nouvel An, les automobilistes découvrent dès les premières heures de 2016 que les prix affichés dans toutes les stations d’essence ont connu une augmentation un peu plus importante que celle qui était annoncée dans le projet de loi de finances. Pas pour le gasoil qui est passé de 13,70 à 18,76 DA (+5,06 DA). Grosse surprise, c’est le prix du super qui est passé de 13,70 DA à 18,76 DA (+5,06 DA) et le super sans plomb à 31,02 DA contre 22,60 DA (+ 8,42 DA).
De quoi se mêle-t-on, diriez-vous ? Cela n’arrive pas qu’aux autres, notre «Benzidane» à nous, pardon Benkirane, a pris le fâcheux plaisir de nous rendre la vie si "chère" au point que les augmentations annoncées sur les prix du sucre, butane et autres produits de base barrent déjà les manchettes de nos confères algériens.
Seulement, du moins sur le prix des carburants, comparaison n’est pas raison. L’Algérie est un pays pétrolier et gazier, a contrario du Maroc. Et dans le cas du voisin, il nous vient à l’esprit ce dicton populaire en vogue : «Il est boucher et dîne pourtant avec des navets » ! Autrement dit, comment un pays qui roule sur «l’or noir» peut-il se permettre d’augmenter les prix des carburants ?
A cela, il semblerait qu’il y aurait une raison. En voulez-vous en voilà. «L’objectif recherché par les autorités algériennes est également de combattre les exportations illégales de carburants algériens vers les pays voisins – le Maroc principalement», croit savoir Algérie Focus.
Vous avez bien lu : «Le Maroc principalement». Et puisqu’on vous disait que le Maroc était la source de tous les problèmes de l’Algérie … De grâce, gardez vos frontières fermées et épargnez-nous vos jérémiades à deux balles.
Ziad Alami
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