Le projet de construction d'un canal transiranien qui relie la mer Caspienne au golfe Persique permettrait d’optimiser le trafic entre la région de l’Oural, l’Asie centrale et le golfe Persique et de connecter la route maritime du Nord (péninsule de Yamal en Sibérie) avec le golfe Persique (Bandar-Abbas) via la mer Caspienne. Une liaison entre cette dernière et la mer Noire est également envisagée
La coopération entre l'Iran et la Russie s'impose pour mettre en pratique un projet aussi ambitieux. Rien qu’une liaison fluviale de la mer Caspienne au golfe Persique permettrait à la Russie et à d’autres pays, dont ceux d’Asie centrale, de contourner aussi bien le canal de Suez que les détroits turcs du Bosphore et des Dardanelles afin d’accéder à l’océan Indien et donc à la Chine, à l’Inde et au reste de l’Asie.
deux itinéraires sont à l'étude. Le premier passe par Mazandaran et Gorgan vers Shahroud (Imamshahr) pour aller au centre de l'Iran, notamment vers Chabahar, l'unique port iranien dans le golfe d'Oman, pour déboucher finalement sur l'océan Indien. L'autre itinéraire paraît plus court, en partant du sud-ouest de la mer Caspienne vers Abadan et Khorramshahr (à la frontière avec l'Irak) et, enfin, vers le golfe Persique.
En 2005, la conclusion d’une étude de faisabilité a été présentée au parlement iranien par l’Institut pour les études infrastructurelles. Toutes ces recherches ont démontré que les experts de la région disposent de la connaissance scientifique, de l’expérience et du savoir-faire technologique pour réaliser un tel projet, techniquement fiable et économiquement abordable.
Le soir
La coopération entre l'Iran et la Russie s'impose pour mettre en pratique un projet aussi ambitieux. Rien qu’une liaison fluviale de la mer Caspienne au golfe Persique permettrait à la Russie et à d’autres pays, dont ceux d’Asie centrale, de contourner aussi bien le canal de Suez que les détroits turcs du Bosphore et des Dardanelles afin d’accéder à l’océan Indien et donc à la Chine, à l’Inde et au reste de l’Asie.
deux itinéraires sont à l'étude. Le premier passe par Mazandaran et Gorgan vers Shahroud (Imamshahr) pour aller au centre de l'Iran, notamment vers Chabahar, l'unique port iranien dans le golfe d'Oman, pour déboucher finalement sur l'océan Indien. L'autre itinéraire paraît plus court, en partant du sud-ouest de la mer Caspienne vers Abadan et Khorramshahr (à la frontière avec l'Irak) et, enfin, vers le golfe Persique.
En 2005, la conclusion d’une étude de faisabilité a été présentée au parlement iranien par l’Institut pour les études infrastructurelles. Toutes ces recherches ont démontré que les experts de la région disposent de la connaissance scientifique, de l’expérience et du savoir-faire technologique pour réaliser un tel projet, techniquement fiable et économiquement abordable.
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