De nombreux projets de construction de barrages et de conduites d’alimentation en eau potable n’ont pas été lancés en raison du manque d’argent, a déclaré ce jeudi 9 juin le ministre des Ressources en eau et de l’Environnement, Abdelouahab Nouri.
« Au regard des exigences budgétaires dictées par la baisse des recettes en raison de la chute des prix du pétrole, de nombreux projets dont les travaux n’ont pas encore été lancés ont été provisoirement gelés », a affirmé M. Nouri, en réponse aux questions orales des membres du Conseil de la Nation sur certains projets locaux, lors d’une séance plénière, rapporte l’APS.
Parmi les projets gelés figure la réalisation d’une station d’épurement des eaux usées à Berouaghia (Médéa), inscrit au programme quinquennal 2010-2015 et dont les appels d’offres nationaux et internationaux lancés par le ministère ont été infructueux, selon le ministre.
Interrogé sur l’avenir du projet de réalisation du barrage Zakakat dans la commune d’Abadla (Bechar), M. Nouri a insisté sur « la faisabilité économique du projet notamment dans la conjoncture que traverse le pays actuellement ».
Pour le ministre, le barrage doit d’abord faire l’objet d’une étude technique minutieuse avant toute décision concernant le lancement ou non des travaux de réalisation.
TSA
« Au regard des exigences budgétaires dictées par la baisse des recettes en raison de la chute des prix du pétrole, de nombreux projets dont les travaux n’ont pas encore été lancés ont été provisoirement gelés », a affirmé M. Nouri, en réponse aux questions orales des membres du Conseil de la Nation sur certains projets locaux, lors d’une séance plénière, rapporte l’APS.
Parmi les projets gelés figure la réalisation d’une station d’épurement des eaux usées à Berouaghia (Médéa), inscrit au programme quinquennal 2010-2015 et dont les appels d’offres nationaux et internationaux lancés par le ministère ont été infructueux, selon le ministre.
Interrogé sur l’avenir du projet de réalisation du barrage Zakakat dans la commune d’Abadla (Bechar), M. Nouri a insisté sur « la faisabilité économique du projet notamment dans la conjoncture que traverse le pays actuellement ».
Pour le ministre, le barrage doit d’abord faire l’objet d’une étude technique minutieuse avant toute décision concernant le lancement ou non des travaux de réalisation.
TSA
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