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Pétrole : accord « sans précédent » à Vienne entre les pays Opep et non-Opep

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  • #16
    Perso

    il faut faire tomber le petrole a 18 dollars pour pouvoir le maintenir a 150 sur 3 ans et plus
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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    • #17
      Ils se cachent au bureau propagande anti-DZ !

      Ils croient vraiment que le pétrole va dégringoler pour disparaitre surtout depuis la mise en marche de leur truc solaire se prenant pour un monstre de l'énergie ! Le solaire sera toujours un tout petit complément, rien de plus. C'est pire que de l'amateurisme ! Et ils se prennent pour des experts ! C'est être inculte aussi ! Je ne m'étalerai pas sur la jalousie, ça ne vaut pas la peine !

      Le pétrole est et restera le moteur central et essentiel pour l'économie et la stabilité mondiale pour longtemps ! Comme pour tout produit, ils connait des creux mais il remontera tout le temps à un niveau appréciable : l'ordre mondial en a besoin !

      Le temps d'écrire ce message et l'Algérie, avec la hausse des cours a gagné environ $200,000. Demain matin, ce sera environ $15,000,000 de plus, tout en dormant.
      ...

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      • #18
        Hausse des prix du baril de pétrole apres le Premier accord pétrolier entre pays membres et hors Opep depuis 2001

        Le Cours du baril de pétrole en dollars: 54.03 $ (+2.53 4.91% )
        Le Cours du pétrole Brent en dollars: 56.77 $ (+2.44 4.49% )

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        • #19
          Cependant la réaction des compagnies de production du pétrole de schiste américaines ne va pas tarder .
          trois ou 4 semaines pour voir les cours sous la barre de 50 dollars ;
          Une bonne partie des puits de pétrole de schiste ont un coût de production avoisinant les 40 dollars après l'énorme progrès technologique ces deux dernières années.
          il faut attendre jusqu'au 2019 ou 2020 pour voir un baril a 80-90 dollars en raison de l'insuffisance des investissements dans la prospection et l'exploration de pétrole conventionnel
          le secteur est actuellement a court d investissements et les repercussions se verront a partir de 2019/2020 . le pétrole de schiste a lui seul ne pourrait remplacer le pétrole conventionnel .il y aura un dernier choc un ultime avant le nouvel ere du Gaz et puis celui des energies renouvelables et des voitures électriques , mais on aura toujours besoin du pétrole pendant encore plus de 100 ans pour bcp d'usages : Les matières plastiques, Les médicaments,Les alcools,Bitume ,solvants chimiques,La pétrochimie...
          Le Gaz naturel sera la premiere source d'énergie a partir de la fin la prochaine décennie (et par la suite l’Algérie sera encore pus riche pendant plus de 50 ans )

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          • #20
            Il ouvert a 57.2 la il est a 56.3

            le rallye est lance
            joyeuses fetes de noel et bon reveillon
            The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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            • #21
              Le baril à la hausse après l’accord historique entre l’OPEP et les pays non-membres: le Brent près de 57 USD

              Rédaction Maghreb Emergent
              lundi 12 décembre 2016 07:51
              L’accord entre l’OPEP et des producteurs Non OPEP pour une participation à la limitation de la production entraine une appréciation sensible des cours du baril. Le changement saoudien et l'engagement russe ont permis ce début de renversement de tendance.

              Lundi matin, en Asie, le baril de light sweet crude (WTI), référence américaine du brut, pour livraison en janvier, gagnait 2,28 dollars à 53,78 dollars dans les échanges électroniques en Asie. Le baril de Brent, référence européenne, pour livraison en février, gagnait 2,29 dollars, à 56,62 dollars.

              Les marchés réagissent ainsi positivement à l’accord conclu samedi à Vienne qui porte sur l’engagement de 11 pays producteurs non membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) de diminuer leur production de 558.000 barils par jour (bpj), la Russie prenant la part la plus substantielle avec une réduction de 300.000 bpj.

              Un accord historique car c’est la première fois depuis 2001 que l’OPEP et les pays producteurs non membres de l’organisation s’entendent sur une limitation de la production. Outre la Russie, onze pays hors Opep étaient représentés ou avaient envoyé leurs engagements à la réunion de Vienne : Azerbaïdjan, Bahreïn, Bolivie, Brunei, Guinée équatoriale, Kazakhstan, Malaisie, Mexique, Oman, Soudan et Soudan du Sud.


              Le ministre russe du pétrole, Alexander Novak a également annoncé la mise en place d'un comité de surveillance de l'accord impliquant trois pays de l'Opep ainsi que deux pays non Opep. Une mesure destinée à surveiller le respect des quotas et à répondre aux analystes qui prédisent – ou tablent – sur de l’indiscipline chez les producteurs.

              L’accord a été bien perçu par les marchés au point d’occulter une nouvelle qui habituellement aurait fait réagir les traders : la production de pétrole de l'Arabie saoudite a atteint un record en novembre avec 10,72 millions de barils par jour (bpj) contre 10,625 millions de bpj en octobre. Il est vrai que Riyad a envoyé un message rassurant en indiquant qu’elle irait au-delà de ses promesses initiales.

              Pour rappel, le prix du baril qui était de 115 dollars à la mi-2014, a plongé durablement sous la barre des 50 dollars, atteignant parfois les 29 dollars. Le recul des cours a impacté en partie la production du pétrole de schiste américain – qui a fait montre d’une résilience inattendue – mais il a pesé lourdement sur les revenus des pays pétroliers. Y compris l’Arabie saoudite engagé dans une guerre couteuse au Yémen.

              M. Nouredine Boutarfa a indiqué que l’accord OPEP-non OPEP est ouvert à d’autres pays non-membres. La baisse totale des pays membres et hors OPEP, qui est de 1.750.000 barils/jour, "est un très bon signal pour le marché".

              " L’objectif est d’atteindre une moyenne sur six mois 1.750.000 baril/j, il est clair que le premier trimestre 2017 sera assez difficile. Au cours du premier trimestre on pense au moins atteindre les 90% de ce qui est convenu et les pays participants se sont engagés à notifier les baisses aux compagnies ".


              Le changement d’attitude de l’Arabie saoudite et l’engagement, fort, de la Russie, a permis de parvenir à ces accords. Reste à les tenir et à les faire respecter. Les marchés semblent parier qu'ils le seront.

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              • #22
                Le gaz de schiste est nécessaire car la demande va crescendo, surtout de l'Inde. 2017 verra la demande augmentée. Un baril a 70$ minimum est plus que probable !
                Ca réjouit certains alors que d'autres vont pleurer. Ainsi va la vie.
                ...

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                • #23
                  Donc la stratégie qui consistait a faire baisser les prix pour attaquer l'industrie du shiste américain a échoué.

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                  • #24
                    La politique s'est invitée dans cette l'économie de façon passagère. Une fois que les décideurs reviennent à la réalité, tout rentre dans l'ordre.
                    Il y a en effet plusieurs raisons : suprématie pour la production, contrarier d'autres producteurs (schistes et traditionnels), etc...
                    ...

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                    • #25
                      Donc la stratégie qui consistait a faire baisser les prix pour attaquer l'industrie du shiste américain a échoué.
                      Ce n'est pas totalement un échec si on considère qu'elle a éliminé tous ceux qui n'avait pas les reins solides et à même de résister à des cours bas sur plus de deux ans.

                      Elle a permit de faire une espèce d’écrémage chez les schisteux qui, couplé à cette baisse de production ramène un équilibre (fragile) des prix satisfaisant pour les uns et les autres.

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                      • #26
                        Je pense que si l'algérien avait voté sa loi de finances sur la base d'un prix de baril de 50$ c'est qu'elle avait reçu des garanties que ce prix sera retenu à terme comme un prix fixe pour le baril. Ne me demandez surtout pas de qui elle avait reçu ces garanties.
                        La guerre c'est le massacre entre gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.

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