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Maroc: Tanger- Lancement du plus grand projet d’investissement chinois en Afrique du Nord.

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  • #31
    c'est exact irridium ! les élus locaux n'ont aucune compétence technique ou volonté dans le sujet, ils font juste de la politique pour leurs intérêts personnels
    tenebre est connecté maintenant
    Mes propres cousins très critiques devant le système et la monarchie mais le jour où ils ont atteint les pouvoirs locaux terminées les bonnes intentions, construire des écoles, nettoyer les rues, créer des emplois... maintenant ils roulent tous dans des 4×4 à 250 000 DH pièces et leurs enfants font des études tranquillement en Europe au État Unis ou au Canada ! Et le moindre projet local n'aboutit jamais et fini toujours à moitié en vrac !

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    • #32
      Toutes les bonnes initiatives sont dirigées par des agences hors de porteedes elus locaus

      Tmsa
      agence bouregreg
      etc
      .
      .
      ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
      Napoléon III

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      • #33
        Les chinois sont entrain de délocaliser leur industrie partout dans le monde ,c'est l'occasion de tirer quelques investissements ,la concurrence est très rude entre les pays pour les attirer

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        • #34
          Le potentiel d'emplois chinois délocalisables pourrait atteindre 85 millions dont près de 10 % pourraient revenir à l'Afrique, soit 850 000 emplois.
          Le Maroc dès 2015 a commencé à œuvrer pour accueillir des investissements industriels chinois et une part des 10% d'emplois délocalisables (Telquel).
          C'était ailleurs le but de la visite du roi en Chine en 2016.

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          • #35
            je pense que l’aéroport Ibn Batouta de Tanger n est plus en mesure de suivre la croissance Economique de la ville de Tanger et de la région, il est temps soit d'un éventuel agrandissement soit la creation d un nouveau aéroport.
            la ville de Tanger est la ville ou il y a moins de chômage (moins de 6,5 %) , les gens viennent des autres régions pour trouver un emploi.La zone franche de Tanger emploie a elle seule des dizaine de milliers de marocains.

            Une région qui un grand port (Tanger Med) un réseau autoroutier, un TGV d ici 18 mois devrait avoir un aéroport digne de toutes ces infrastructures
            Dernière modification par sergio, 21 mars 2017, 15h53.

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            • #36
              Irridium, Pihman,

              La gestion des grandes et d une telle complexité que cela équivaut à gérer un petit pays.

              Gérer une ville, c est en premier commencer par avoir une vision du futur en l occurence un schéma directeur d urbanisme, viennet ensuite les problèmes des infrstructure, eau électricité et assainissement, de l avoirie, d un plan de circulation et des transports publics, de la gestion des zones industrielles etc.

              Ça demande des connaissances multidisciplinaires, un élu sera facilement dépassé si il n a pas beaucoup de bagages techniques.

              Dans les grands pays il n est pas rare de voir des maires des grandes métropoles devenir des présidents de leurs pays suite à l expérience acquise dans le poste de maire.

              Quelq un d inexpérimenté n a rien à faire comme manager d une ville...
              Dernière modification par upup, 21 mars 2017, 15h29.

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              • #37
                Envoyé par irridium
                Mes propres cousins très critiques devant le système et la monarchie mais le jour où ils ont atteint les pouvoirs locaux terminées les bonnes intentions, construire des écoles, nettoyer les rues, créer des emplois... maintenant ils roulent tous dans des 4×4 à 250 000 DH pièces et leurs enfants font des études tranquillement en Europe au État Unis ou au Canada ! Et le moindre projet local n'aboutit jamais et fini toujours à moitié en vrac !
                qui ne craquerait pas sous l'effet du pouvoir et l'argent avec le temps, ces deux choses reunis peuvent transformer un bon samaritain en une personne méprisant autrui et se croyant au dessus de la loi.
                oui des elus locaux de communes rurales ne disposants même pas d'un réseau d'assainissement se permettent d'avoir des Audi Q5 ou des BMW X6.

                d'une part on ne veut plus que tout les pouvoirs et prises de décisions soient depuis Rabat, et d'autre part on se dit c'est trop dangereux de délégué certains de ces pouvoirs a des elux locaux BAC-10, se ne sont qu'une bande charognards

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                • #38
                  Toutes les bonnes initiatives sont dirigées par des agences hors de porteedes elus locaus

                  Tmsa
                  agence bouregreg
                  etc
                  Effectivement tous les projets qui fonctionnent sont l'oeuvre de technocrate !

                  qui ne craquerait pas sous l'effet du pouvoir et l'argent avec le temps, ces deux choses reunis peuvent transformer un bon samaritain en une personne méprisant autrui et se croyant au ...
                  Triste réalité !

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                  • #39
                    les travaux commencent quand ?

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                    • #40
                      normalement les villes, ils ont un directeur général je me souviens plus c'est quoi son titre exacte mais il fait le travail d’un directeur avec des directeurs de chaque branches aussi, il est un fonctionnaire de la ville ou la commune et il n’est pas politiciens non plus.
                      Dernière modification par Hichamkech, 21 mars 2017, 19h08.

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                      • #41
                        chapeau bas mohamed 6 ca c est de l investissement

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                        • #42
                          Au vu des chiffres annoncés, le makhzen aurait du faire tirer un feux d'artifices dans toutes les villes du royaume...... Comme il est légèrement radin, au minimum demander a tous les imams du pays de réciter une prière pour la République populaire de Chine
                          Comme c'est pas le cas , j'attends de voir sur le terrain ces fameux 100.000 emplois

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                          • #43
                            Infrastructures : la Chine lance son plus grand chantier africain au Maroc

                            Tout y concourt : une position géostratégique entre l'Europe et l'Afrique subsaharienne, une attractivité économique sans précédent, et un savoir-faire pluridisciplinaire

                            Sur les rivages de l'Atlantique puis tantôt de la Méditerranée, Tanger, cette ville portuaire du nord du Maroc, et carrefour historique du commerce mondial, se prépare pour le futur. Sur plus de 2 000 hectares, la future cité industrielle « Cité Mohammed VI Tanger Tech » va connaître son premier coup de pioche au cours du premier semestre de cette année. À l'horizon, une ville industrielle qui accueillera près de 200 entreprises chinoises, et créer 100 000 emplois dans la région de Tanger-Tétouan-Al Hoceïma. Voià, ce qu'il se passe lorsqu'une ville nord-africaine et le géant chinois comprennent l'enjeu d'une position stratégique pour l'Europe et le continent africain. Le Maroc a renforcé ces dernières années sa position de porte d'entrée vers l'Europe et l'Afrique, tandis que la Chine démontre un intérêt économique conséquent pour le royaume chérifien... au détriment de son partenaire historique qu'est l'Algérie

                            Le port de Tanger, incontournable hub industriel
                            « Les opérateurs économiques chinois sont à la recherche de plateformes compétitives. Et ils ont choisi le Maroc comme l'une de ces plateformes », s'est réjoui dans une déclaration à l'AFP le ministre de l'Industrie Moulay Hafid El Alamy. Au cours d'une cérémonie présidée par le roi du Maroc, Mohammed VI, ce 20 mars, au palais de Tanger, les autorités marocaines ont signé une convention avec le groupe Haite, basé à Chengdu (centre de la Chine), et présenté les grandes lignes de cette future ville industrielle qui regroupera des habitations résidentielles et des services comprenant plus de dix activités : aéronautique, automobile, e-commerce, télécommunication, énergies renouvelables, transport, électroménager, industrie pharmaceutique, matériaux, ou encore agroalimentaire.

                            Portée par la croissance rapide de la zone portuaire de TangerMed, ainsi qu'une zone franche consacrée au secteur automobile, avec l'implantation d'une usine Renault, la plus grande d'Afrique, il faut dire que la région attire les investisseurs. Rien qu'en 2016, quelque 3,45 milliards de dirhams d'investissements privés ont été réalisés au niveau du port Tanger-Med, soit une progression de 102 % en glissement annuel, avec l'implantation de 68 nouveaux projets industriels sur l'ensemble des zones d'activités du complexe portuaire. À la clé ? La création de 6 547 nouveaux emplois. En septembre dernier, l'avionneur américain Boeing avait annoncé la création d'une zone industrielle spécialisée pour ses sous-traitants.

                            Le Maroc confirme son attractivité

                            Et pour renforcer ses infrastructures ferroviaires, le Maroc s'est lancé dans l'aventure de la future « LGV », dont le premier tronçon est en cours d'achèvement entre Tanger et Kénitra faisant du royaume le premier pays du continent africain à être capable de lancer un train à 320 km/h sur son réseau ferré.

                            En plus d'offrir une position stratégique, le Maroc est aussi un hub financier puissant. C'est donc logiquement avec le groupe marocain BMCE Bank, que Haite va financer ce méga-projet, dont un mémorandum d'entente a été signé en mai 2016 au cours d'une visite officielle de Mohammed VI à Pékin. Mobilisant une enveloppe d'un milliard de dollars (930 millions d'euros), il consiste en « la construction d'un pôle économique capable de générer 100 000 emplois, dont un minimum de 90 000 emplois bénéficiera aux habitants de la région de Tanger », selon la présentation officielle. « L'investissement total des entreprises dans la zone après dix ans atteindra 10 milliards de dollars [9,3 milliards d'euros, NDLR] », a annoncé Li Biao, président du groupe chinois, cité par l'agence de presse officielle marocaine MAP.

                            PAR JOSÉPHINE JOHNSON


                            le Point fr

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                            • #44
                              la région de Tanger bénéfice de sa stratégie centrale par rapport a l’Asie et le continent américain,sans oublier sa proximité avec l’Europe,c'est son atout principale dans cette course des régions du Maroc pour l'attrait des investissements,les chinois sont ambitieux et courageux pour investir aussi massivement mais pragmatiquement aussi,écouler leurs marchandises en s’économisant les frais dus aux transports puisque le port en eau profonde de Tanger leur assure une logistique convenable.
                              je pense que les autres régions,comme Nador, du Maroc devrons attendre pour voir un semblable investissement,sauf saturation relativement rapide de la région de Tanger.

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                              • #45
                                Tanger doit garantir ses besoins futurs en eau, ça risque de compromettre son attractivité
                                "Qui ne sait pas tirer les leçons de 3 000 ans, vit au jour le jour."
                                Johann Wolfgang von Goethe

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