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El Khabar
L’expert économique Nicols Sarkis, Directeur du Centre Arabe des Recherches Pétrolières, a révélé que les prix du pétrole n’augmenterai pas et ne descendrai pas en dessous de la barre des 50 ou 60 dollars le baril durant cette année. Ce qui sera dû aux rapports de forces actuels et le contrôle des Etats-Unis sur la situation politique avec les pays du Golf en général et l’Iran en particulier.
Nicolas Sarkis a indiqué que la production des pays qui ne sont pas membres de l’OPEP qui devrait passer de 1.5 à 1.8 millions de barils, et le fait que les pays industriels possèdent un stock de pétrole élevé qui va augmenter à cause du surplus de l’offre par apport à la demande, sont les principales raisons qui ont poussé l’OPEP a baissé sa production à 1.2 millions de barils. Cependant cette décision n’a été appliquée qu’en partie car les pays producteurs de pétrole n’ont en réalité travaillé qu’avec 800 mille barils.
Il estime que la première décision de baisse en juillet 2006, la seconde en décembre et la réunion d’Abuja, qui a décidé une baisse supplémentaire de 500 mille barils, ne vont plus être des facteurs déterminants dans le contrôle des prix, cela va s’appuyer sur l’équilibre entre l’offre et la demande dans le marché pétrolier international, ce qui stipule une baisse suffisante de la production de l’OPEP.
Concernant la détermination des pays membres à baisser leur production, elle est visible de leurs récentes déclarations et initiatives qui montrent leur responsabilité comme soulignée par le ministre de l’Energie Saoudien concernant la prise de mesures supplémentaires. Ajouté à cela le fait que les prix du pétrole aient triplé entre 2003 et 2006 pour plusieurs raisons, comme la demande, un facteur très important sur le marché ainsi que la spéculation dans les bourses.
Il ajoute par ailleurs que les pays industriels exercent de manière directe ou indirecte une sorte de « terrorisme intellectuel » sur les pays exportateurs depuis des décennies, car à chaque fois qu’il y a une légère hausse des prix, les pays industriels annoncent une éventuelle catastrophe, mais l’expert économique pose à ces pays une question « est ce que les prix du pétrole ont un quelconque rapport ou impact sur la croissance économique dans les grands pays industriels », en réalité le prix de 60 dollars le baril reste très élevé par apport au prix du pétrole dans les années 80, qui représente le prix légitime du pétrole et avec les changements du dollars le prix du baril ne doit pas baisser de 90 dollars.
Il indiqué que les prix du pétrole ne vont pas augmenter et ne descendront pas en dessous de 50 à 60 dollars le baril, selon les données objectives des positions des pays exportateurs de pétrole, ainsi que les rapports de force dans le monde et le contrôle des Etats-Unis de la situation politique actuelle surtout avec les pays du Golf et leurs politiques visant à étouffer l’Iran financièrement.
El Khabar
L’expert économique Nicols Sarkis, Directeur du Centre Arabe des Recherches Pétrolières, a révélé que les prix du pétrole n’augmenterai pas et ne descendrai pas en dessous de la barre des 50 ou 60 dollars le baril durant cette année. Ce qui sera dû aux rapports de forces actuels et le contrôle des Etats-Unis sur la situation politique avec les pays du Golf en général et l’Iran en particulier.
Nicolas Sarkis a indiqué que la production des pays qui ne sont pas membres de l’OPEP qui devrait passer de 1.5 à 1.8 millions de barils, et le fait que les pays industriels possèdent un stock de pétrole élevé qui va augmenter à cause du surplus de l’offre par apport à la demande, sont les principales raisons qui ont poussé l’OPEP a baissé sa production à 1.2 millions de barils. Cependant cette décision n’a été appliquée qu’en partie car les pays producteurs de pétrole n’ont en réalité travaillé qu’avec 800 mille barils.
Il estime que la première décision de baisse en juillet 2006, la seconde en décembre et la réunion d’Abuja, qui a décidé une baisse supplémentaire de 500 mille barils, ne vont plus être des facteurs déterminants dans le contrôle des prix, cela va s’appuyer sur l’équilibre entre l’offre et la demande dans le marché pétrolier international, ce qui stipule une baisse suffisante de la production de l’OPEP.
Concernant la détermination des pays membres à baisser leur production, elle est visible de leurs récentes déclarations et initiatives qui montrent leur responsabilité comme soulignée par le ministre de l’Energie Saoudien concernant la prise de mesures supplémentaires. Ajouté à cela le fait que les prix du pétrole aient triplé entre 2003 et 2006 pour plusieurs raisons, comme la demande, un facteur très important sur le marché ainsi que la spéculation dans les bourses.
Il ajoute par ailleurs que les pays industriels exercent de manière directe ou indirecte une sorte de « terrorisme intellectuel » sur les pays exportateurs depuis des décennies, car à chaque fois qu’il y a une légère hausse des prix, les pays industriels annoncent une éventuelle catastrophe, mais l’expert économique pose à ces pays une question « est ce que les prix du pétrole ont un quelconque rapport ou impact sur la croissance économique dans les grands pays industriels », en réalité le prix de 60 dollars le baril reste très élevé par apport au prix du pétrole dans les années 80, qui représente le prix légitime du pétrole et avec les changements du dollars le prix du baril ne doit pas baisser de 90 dollars.
Il indiqué que les prix du pétrole ne vont pas augmenter et ne descendront pas en dessous de 50 à 60 dollars le baril, selon les données objectives des positions des pays exportateurs de pétrole, ainsi que les rapports de force dans le monde et le contrôle des Etats-Unis de la situation politique actuelle surtout avec les pays du Golf et leurs politiques visant à étouffer l’Iran financièrement.
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