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Pour la gueuse de fonte, la production est de 4700 tonnes ; elle sera destinée à l’exportation vers l’Europe, entre autres l’Espagne et l’Italie.
Le complexe sidérurgique Sider El Hadjar renouera prochainement avec l’exportation de la gueuse de fonte. C’est ce qu’a annoncé Maâmar Habbache, le président du conseil d’administration (PCA) de l’entreprise, lors d’un point de presse hier au niveau du complexe sidérurgique. «A la date d’hier, le complexe a produit 29 000 tonnes de fonte. Pour la gueuse de fonte, une matière première très convoitée par les fonderies, la production est de 4700 tonnes. Elle sera destinée à l’exportation vers l’Europe, entre autres l’Espagne et l’Italie qui sont nos clients potentiels», s’est félicité le PCA, devant un parterre de journalistes.
Abordant les prévisions de production, le même responsable avance qu’au 31 décembre 2017, l’usine produira quelque 680 000 tonnes d’acier. Pour mettre en exergue les efforts consentis dans le redémarrage du haut fourneau, Maâmar Habbache es revenu sur les conditions de la renationalisation du complexe. Dans ce contexte, il a assuré que «avant de quitter le complexe, ArcelorMittal a laissé une dette de plus de 104 milliards de dinars.
Cependant, ce partenaire étranger n’a bénéficié ni de prime ni de bonus lors de l’algérianilisation du complexe d’El Hadjar». Prenant le relais, le directeur général de l’usine Sider El Hadjar a évoqué le volet du développement de la recherche scientifique dans le domaine de la sidérurgie en Algérie. «Nous avons signé deux conventions, l’une avec l’université de Annaba et l’autre avec l’URSM, le centre de recherche appliquée en matière de sidérurgie.
Ces deux conventions vont nous permettre de développer la recherche en Algérie dans ce secteur.» Le rail n’est pas en reste. En effet, la voie ferrée reliant les deux mines de Tébessa et le complexe d’El Hadjar a été réhabilitée. Mieux encore, même les locomotives ont bénéficié d’une rénovation générale. Depuis novembre 2016, la quantité du minerai acheminée par train est estimée à 200 000 tonnes.
El Watan
Le complexe sidérurgique Sider El Hadjar renouera prochainement avec l’exportation de la gueuse de fonte. C’est ce qu’a annoncé Maâmar Habbache, le président du conseil d’administration (PCA) de l’entreprise, lors d’un point de presse hier au niveau du complexe sidérurgique. «A la date d’hier, le complexe a produit 29 000 tonnes de fonte. Pour la gueuse de fonte, une matière première très convoitée par les fonderies, la production est de 4700 tonnes. Elle sera destinée à l’exportation vers l’Europe, entre autres l’Espagne et l’Italie qui sont nos clients potentiels», s’est félicité le PCA, devant un parterre de journalistes.
Abordant les prévisions de production, le même responsable avance qu’au 31 décembre 2017, l’usine produira quelque 680 000 tonnes d’acier. Pour mettre en exergue les efforts consentis dans le redémarrage du haut fourneau, Maâmar Habbache es revenu sur les conditions de la renationalisation du complexe. Dans ce contexte, il a assuré que «avant de quitter le complexe, ArcelorMittal a laissé une dette de plus de 104 milliards de dinars.
Cependant, ce partenaire étranger n’a bénéficié ni de prime ni de bonus lors de l’algérianilisation du complexe d’El Hadjar». Prenant le relais, le directeur général de l’usine Sider El Hadjar a évoqué le volet du développement de la recherche scientifique dans le domaine de la sidérurgie en Algérie. «Nous avons signé deux conventions, l’une avec l’université de Annaba et l’autre avec l’URSM, le centre de recherche appliquée en matière de sidérurgie.
Ces deux conventions vont nous permettre de développer la recherche en Algérie dans ce secteur.» Le rail n’est pas en reste. En effet, la voie ferrée reliant les deux mines de Tébessa et le complexe d’El Hadjar a été réhabilitée. Mieux encore, même les locomotives ont bénéficié d’une rénovation générale. Depuis novembre 2016, la quantité du minerai acheminée par train est estimée à 200 000 tonnes.
El Watan
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