A mon avis c'est pas Notendax, c'est Netindex.
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Débit Internet : L’Algérie à la dernière place de la région MENA
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je l'ai déjà dite dans un post avant.
ca ne sert strictement à rien augmenter le débit en Algérie. RIEN. WALOU !
les algériens ne font que consommer de la bande passante de l'étranger à coup de devises, pour youruber et facebooker, mais sans rien produire comme contenus.
on peut augmneter le débit par 100 ou 200, ca sera toujours pareil. Les algériens en consommeront irrémdiablement la totalité, et en demanderont toujours plus. et c'est normal. car le foison de contenus multimédias produits par les autres pays est énormissime, et les algériens en sont frillant.
la digitalisation de notre économie est la seule à même de définir les vrais besoins en terme d'infrastructures télécoms et de la financer. Et pas le contraire.
il ne faut jamais mettre la charrue avant les boeufs.Dernière modification par Pline, 02 juillet 2017, 16h11.
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Internet est une autoroute, qu'on utilise comme outil de communication.
Comme une toile d'araignée ses réseaux s'interconnectent avec de milliards d'usagers.
Le réseau coté Algérien est malheureusement un des plus lent, le moins sécurisé, et avec un très faible contenu lui concernant sur internet
Chercher " Algérie " ou "Algeria" sur google dans les nouvelles; politiques, scientifiques, culturelles, sportives, etc, on ne trouvera pas grande chose sur le pays qui pourrai intéresser.
Je rejoins Pomaria, à part un peu sur les réseaux sociaux, on ne tire pas profits de tout ce qu'internet pourrai offrir ....
Mais, améliorer la bande passant , reste un must, comme sur une autoroute, on devrai suivre le flux de circulation.
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Vous me faite rire, c'est pas l'ancien 1er ministre Ouyahia qui avait saboté l'implantation des calls center en Algérie en imposant une taxe de 10 millions de dinars en 2005.
Au grand désespoir des créateurs de calls centers algériens et sous les applaudissements de joie
des opérateurs marocains.
Call center qui aurait boosté les réseaux de télécomunication et le débit internet et créer des milliers d'emplois.Dernière modification par zek, 02 juillet 2017, 16h49.“Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin
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Ahmed Ouyahia, qui applique le régime de l'autorisation impliquant une redevance annuelle de 10 millions de dinars (1 milliard de centimes) pour toute activité de call center en plus d'une « ponction » de 5 % sur le chiffre d'affaires.“Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin
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Les call centers en Algérie risquent le blocage
L'Algérie ne sera pas le nouvel eldorado des centres d'appel (call centers) au Maghreb. Un avis que partagent unanimement tous les acteurs algériens de l'informatique et de l'internet, installés en Algérie ou à l'étranger.
Ils ont été « bercés » pendant plus d'une année par les déclarations du gouvernement à travers ses représentants sur son engagement à promouvoir ces centres d'appel générateurs d'emplois et de devises à l'image de nos voisins marocain et tunisien. Le Maroc détient 70 % des call centers français délocalisés à l'étranger, pour un chiffre d'affaires de 85 millions d'euros à fin 2004, selon une étude réalisée par un cabinet de consultants pour le compte de l'ANRT (l'équivalent marocain de l'ARPT). Amar Tou, ex-ministre des technologies de l'information et de la communication, a même organisé en juillet 2004 une journée d'étude sur ces centres.
Quelques mois plus tard, avril 2005, il affirme lors d'une rencontre d'affaires à Alger son plein soutien à la création de centres d'appel qui « seront soumis au régime de la simple déclaration ». Autant de déclarations ont donné beaucoup d'espoir et même poussé des entreprises à se lancer dans l'aventure, qui a été stoppée net après la publication d'un décret exécutif, signé par Ahmed Ouyahia, qui applique le régime de l'autorisation impliquant une redevance annuelle de 10 millions de dinars (1 milliard de centimes) pour toute activité de call center en plus d'une « ponction » de 5 % sur le chiffre d'affaires.
« C'est scandaleux », affirme un créateur de call center qui a démarché des entreprises françaises pour leur assurer un service de télémarketing à leurs clients hexagonaux. Ironie de l'histoire. Un groupe d'entreprises algériennes se trouvait, au moment de la publication du décret en question, au Maroc pour assister à une rencontre sur les call centers. « Je vous assure que nos voisins marocains ont applaudi à l'annonce de cette malheureuse initiative du gouvernement algérien », affirme un chef d'entreprise qui s'est déplacé à Casablanca pour assister à cette rencontre (Siccam 2005). Un autre, Ali Morsli, directeur général du fournisseur de services Internet Icosnet, estime qu'avec cette redevance, « il est impossible de concurrencer les autres pays du Maghreb.
Nous sommes arrivés les derniers sur ce marché. Et pour être compétitifs, il faut que nous proposions des call centers dont le coût moyen par position ne dépasse pas les 900 euros. J'ai eu des propositions d'essai pour 500 euros ! Or, avec cette redevance et les différentes charges, il faut se lancer avec au moins une centaine de positions, même au Maroc et en Tunisie, le meilleur des call centers a une cinquantaine de positions ». Au Maroc, ces centres d'appel qui sont considérés comme des entreprises à l'export sont exonérés d'impôts sur les bénéfices pendant cinq ans.
Le directeur d'Icosnet qui s'est lancé dans cette activité depuis janvier a dû « remercier » une vingtaine de téléconseillères après que l'ARPT eut annoncé le début de l'application de cette nouvelle disposition. Son client français qui a aussi participé à la sélection des téléconseillères a dû plier bagage et s'est dirigé vers la Tunisie.
« Les 200 000 positions en France prêtes à être délocalisées ne viendront apparemment pas en Algérie », conclut-il. Un autre Algérien, installé à l'étranger et qui a commencé à monter un projet de call center dans la région ouest, affirme avoir eu « quelques appréhensions à faire ce projet en Algérie, mais si on rajoute cette taxe injustifiée, vous pouvez être sûr que tous les investissements vont être ouverts au Maroc ou en Tunisie, voire au Sénégal ». « C'est un secteur en hypercroissance qui recrute énormément de monde.
Un call center embauche en général au moins 500 à 700 personnes en offshore en moins de 2 ans et vu le taux de chômage actuel en Algérie, c'était une véritable aubaine », explique-t-il. « Malheureusement, je vois que l'Algérie n'est toujours pas prête à faire confiance à ses ressortissants qui sont prêts à revenir au pays pour essayer de le faire croître, grandir et surtout d'apporter le savoir- faire acquis à l'étranger, notamment en Europe. C'est vraiment dommage », ajoute-t-il. Les rédacteurs du nouveau décret ont mis sur le même pied d'égalité les call centers et les audiotels (les 080).
Le cahier de charges, élaboré par l'ARPT et un cabinet d'avocats européen, insiste sur des aspects qui sont propres aux audiotels. Ce qui fait dire aux observateurs que « les call centers sont victimes des audiotels ». Chronologiquement, ce texte qui a institué cette redevance a été rédigé sur la base d'une étude qu'avait commandée Amar Tou. La logique fiscaliste du cabinet conseil était simple : « L'Etat doit faire payer les intervenants ». Mais « une telle logique tue prématurément tout projet naissant de call center », note un observateur averti qui voit là « une erreur stratégique » de la part du gouvernement. Le président du conseil de l'ARPT, Mohamed Benfodil, ne veut pas commenter la redevance.
« L'ARPT applique les textes et ne les commente pas », explique-t-il. Il révèle que 4 demandes d'autorisation de call centers ont été déposées au niveau de son institution. Il trouve positif qu'un texte aborde pour la première fois les call centers, comme pour suggérer aux mécontents qu'un décret peut être modifié...Du travail en perspective pour Boudjemaâ Haïchour, ministre des PTIC.
Qu'est-ce qu'un call center ?
L'ARPT définit le call center comme « toute entreprise ou organisation dont l'activité principale, exercée par plusieurs téléopérateurs, consiste à répondre par téléphone à des appels en grand nombre, ou à émettre des appels en grand nombre, soit ses besoins propres, soit pour le compte d'un ou de plusieurs clients ». Les appels émis ou reçus se font dans le but d'informer, prospecter, vendre, assister, dépanner etc.. Dans un call center, une position désigne le mobilier et toute lq bureautique (ordinateur et téléphone) composant un poste de travail. Donc, une position peut faire travailler plusieurs téléconseillers en brigades.
Samir Ben Djafar
El Watan le 08 - 06 - 2005“Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin
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zekAhmed Ouyahia, qui applique le régime de l'autorisation impliquant une redevance annuelle de 10 millions de dinars (1 milliard de centimes) pour toute activité de call center en plus d'une « ponction » de 5 % sur le chiffre d'affaires.
merci pour ce partage Zek !
je sais que beaucoup voulait investir dans ce créneau en Algérie, mais beaucoup se sont ravisé ensuite.
mais, je n'ai pas suivis cette histoire, mais cca pourrait être l'une des raisons de cette gabegie.
mais il n'y a pas que çà !
d'ailleurs, peux-tu nous en donner les sources ???
Dernière modification par Pomaria, 02 juillet 2017, 17h19.Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !
Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.
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merci zek pour ton article. Il date de 2005.
nos posts se sont chevauchés.Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !
Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.
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Envoyé par zek
Envoyé par fortuna
Envoyé par zek
Envoyé par zekA mon avis c'est pas Notendax, c'est NetindexEnvoyé par fortunaDonnez-nous alors le lien de ce site avec ses prétendues statistiques actualisées !
Tout ce qu'on demande c'est l'authenticité de la source qui serait à l'origine des infos livrées à la en-veux-tu en-voilà dans l'article du post initial.Grace aux MAROCAINS que les FRANÇAIS ont trouvé leurs libertés et grace aux MAROCAINS que Bastia et Ajaccio appartient actuellement aux Français Sans histoire sans culture tu n'existe pas
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Le tableau est clair mais je vais user d'une parabole pour t'expliquer :
Imagine un tuyau d'eau qui débite quelques 100 litres d'eau par seconde pour une centaine de gars et un autre qui aurait le même débit pour une soixantaine de de tête de pipe ... Tu ferais la chaine où pour t'abreuver ?
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