Annonce

Réduire
Aucune annonce.

L’Algérie commande six cargos de gasoil pour janvier

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • #16
    @Yahya.gharbi

    Je te promets de faire un effort ... dès que tu auras pris la peine de compter le nombre de zéros qui séparent un investissement de 1.000.000.000 USD de 300.000 EUR, et même pas la peine de te demander la conversion, indulgence oblige ...
    "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

    Commentaire


    • #17
      Comparer l'importance du pétrole avec celle de la tomate est typiquement débile à vrai dire.

      Le Venezuela également exporte du pétrole brut et importe des carburants.

      Les damnés de la terre.

      Commentaire


      • #18
        En effet, il y a encore quelques pays africains qui exportent du pétrole brut et importent du gazoil, essence. Dont l'algerie, Angola, Nigeria..
        Une preuve de la bonne gestion dans ces pays !

        l'Algérie importe actuellement pour plus d'un milliard de dollars de carburants. Selon les chiffres, 11,5 millions tonnes de carburants sont raffinés en Algérie, alors que la consommation, qui a explosé ces dernières années, a atteint 15 millions de tonnes de carburants annuellement.
        Pour combler ce déficit, un volume de 3,5 millions de tonnes de carburants/an est importé actuellement.*
        30 % des besoins est importé !
        Dernière modification par LockDown, 02 janvier 2018, 14h34.

        Commentaire


        • #19
          Pas plus stupide que d'exporter de la Tomate et d'importer son concentré.
          Quand on est meme pas foutu d’écraser des tomates, reprocher a l'Algérie d'importer du gas oil est stupide lorsque l'on sait que:

          "les capacités de raffinage de l’Algérie étaient estimées à 11,5 millions de tonnes par an alors que la consommation se situe à 15 millions de tonnes par an, ce qui engendre un gap de 3,5 millions de tonnes par an de carburants que l’Algérie importe pour une facture annuelle de 2 milliards de dollars".
          L’Algérie a 6 raffineries en service.
          Peut être que les prix sont très attractifs et que le pays peut se le permettre.
          Que la consommation augmente a cause des prix bas(espérant que cela va changer avec l'augmentation des prix).
          Maintenant pourquoi l’Algérie ne possède pas 10 raffineries?La question mérite d’être posée?
          Mais pas par ceux qui ne savent meme pas écraser des tomates.

          Commentaire


          • #20
            Voilà, un pays qui raffine à hauteur de plus de 11 millions de tonnes de brut et importe le 1/4 de ses besoins (ainsi que ceux de ses voisins) en carburant. Pour parer à l'augmentation en besoin de carburant, des raffineries (c'est pas simple et couteux) sont en construction ou en rénovation.

            Mais ne voilà t-il pas un pays qui évoque la MAticha à longueur de journées et qui se retrouve (article de 2015):

            Concentré de tomate : Le Maroc importateur net
            La matière première en perte de vitesse
            Plusieurs usines ont jeté l’éponge

            Où sont passées les marques de concentré de tomate qui faisaient les beaux jours de la publicité télévisée? Quelques jours avant et durant le mois de ramadan, au moins cinq grandes marques se disputaient le marché. Et pour cause! Pas moins de 60% de la production étaient consommés durant le mois du jeûne, environ 12.000 tonnes. Essentiellement dans l’incontournable harira. Le reste s’orientait vers l’industrie de la conserve de poisson.

            Il y a deux décennies, le Maroc exportait également le concentré de tomates sous diverses transformations: double et triple concentré. Une entreprise installée dans la région de Larache s’était spécialisée dans la production de la tomate en poudre et dont la totalité était exportée sur le marché américain. Cette entreprise cultivait la tomate industrielle sur ses propres terres et passait des contrats de culture avec des agriculteurs de la région. Sur l’Europe, l’export portait, outre le concentré, sur le jus et la tomate entière pelée. Aujourd’hui de nouvelles spécialités ont été développées au Maroc comme le ketchup, les sauces et le jus. Mais, elles sont fabriquées pour l’essentiel à partir de matières premières d’importation.

            L’import du concentré de tomate est devenu régulier depuis une décennie. Selon les estimations des conserveurs de poissons, les volumes varient entre 10.000 et 15.000 tonnes/an. Ces quantités sont acquises en concurrence entre les transformateurs de la tomate industrielle et les conserveurs de poisson. L’essentiel provient de 5 pays : l’Egypte, l’Italie et la Chine, et dans une moindre mesure, le Portugal et les Etats-Unis.

            Pour le moment aucune indication précise n’est fournie sur le niveau de la production locale. Ce qui est sûr, le nombre d’usines a été fortement réduit: 4 usines contre une douzaine, il y a deux décennies, selon la Ficopam (Fédération des industries de la conserve de produits agricoles du Maroc). Toute cette industrie, s’assure son approvisionnement en passant des contrats de cultures avec des agriculteurs. Certains ont loué des terres dans le cadre du partenariat public-privé autour des terres de l’Etat.

            En revanche, la production de la tomate industrielle est estimée à 100.000 tonnes pour une superficie de 5.000 ha. Par le passé, la majorité des usines s’approvisionnait auprès des stations de conditionnement ou sur les marchés de gros. Cette possibilité n’est plus permise. Pour la simple raison que les variétés produites sous serres ne sont consommables qu’à l’état frais. Pour s’adapter aux exigences des marchés d’exportation, les primeuristes ont introduit et développé des variétés dites «long life». Celles-ci, ont le mérite de supporter le voyage sur de longues distances sans que la qualité soit altérée: fraîcheur et coloration. Mais elles ne se prêtent pas à la transformation.

            Leconomiste

            Commentaire


            • #21
              Décidément le ridicule ne tue pas.

              Au nom du nationalisme aveugle, on continue de comparer la gravité entre importer les carburants ou le concentré de tomates.

              Quelle misère!

              Commentaire

              Chargement...
              X