c'est pas le peuple algérien,mais l'armée et le vieille garde socialiste algérienne agissant derrière le masque de bouteflika.
arrête de mentir au peuple algérien.
le peuple n'a aucun mot a dire,même pas le droit de manifester dans la rue.
les explications de la presidence,a defaut de dire president:
Rappel à l’ordre d’Ouyahia : la présidence s’explique
Par
Jugurta Nam -
15 janvier 2018 à 21:37
image: https://i1.wp.com/observ************/wp-content/uploads/2018/01/Ahmed-boutef-1.jpg?resize=600%2C315&ssl=1
[IMG]https://i1.wp.com/observ************/wp-content/uploads/2018/01/Ahmed-boutef-1.jpg?resize=600%2C315&ssl=1[/IMG]Rappel à l'ordre d'Ouyahia : la présidence s'explique
La correspondance adressée au gouvernement jeudi dernier par la présidence, faisant office de rappel à l’ordre par rapport à la décision d’ouvrir le capital des entreprises publiques aux investisseurs privés, a laissé les spéculations aller bon train et a contraint la présidence de la république a apporter des éclaircissements.
Ainsi, selon l’agence officielle APS qui cite une source autorisée, la présidence n’a pas mis fin au processus d’ouverture du capital des petites et moyennes entreprises publiques aux investisseurs privés. « La décision est un acte politique visant, selon une source autorisée, à apporter un surcroît de transparence, d’équité et d’efficience de ce partenariat public-privé, souvent sujet à des suspicions et d’interprétations abusives l’assimilant à un bradage du patrimoine public ».
Selon la même source, l’instruction de la présidence « ne remet pas en cause les dispositions prévues par l’ordonnance 01-04 (notamment les articles 20, 21, 22) d’août 2001 relatives à l’organisation, la gestion et la privatisation des Entreprises publiques économiques) ».
Pour rappel, la présidence avait adressé une correspondance au gouvernement jeudi dernier, dans laquelle elle rappelait que les décisions prises par rapport à la privatisation des entreprises publiques devaient être soumises à l’approbation préalable du chef de l’État, Abdelaziz Bouteflika. Le ministre de l’industrie Youcef Yousfi s’était également exprimé dans ce sens, tandis que le secrétaire général de l’UGTA Abdelmadjid Sidi Saïd, qui avait pris part à la tripartite Gouvernement-patronat-syndicats lors de laquelle la possibilité d’ouvrir le capital des entreprises publiques avait été évoquée, a refusé de s’exprimer par rapport à l’instruction de la présidence.
arrête de mentir au peuple algérien.
le peuple n'a aucun mot a dire,même pas le droit de manifester dans la rue.
les explications de la presidence,a defaut de dire president:
Rappel à l’ordre d’Ouyahia : la présidence s’explique
Par
Jugurta Nam -
15 janvier 2018 à 21:37
image: https://i1.wp.com/observ************/wp-content/uploads/2018/01/Ahmed-boutef-1.jpg?resize=600%2C315&ssl=1
[IMG]https://i1.wp.com/observ************/wp-content/uploads/2018/01/Ahmed-boutef-1.jpg?resize=600%2C315&ssl=1[/IMG]Rappel à l'ordre d'Ouyahia : la présidence s'explique
La correspondance adressée au gouvernement jeudi dernier par la présidence, faisant office de rappel à l’ordre par rapport à la décision d’ouvrir le capital des entreprises publiques aux investisseurs privés, a laissé les spéculations aller bon train et a contraint la présidence de la république a apporter des éclaircissements.
Ainsi, selon l’agence officielle APS qui cite une source autorisée, la présidence n’a pas mis fin au processus d’ouverture du capital des petites et moyennes entreprises publiques aux investisseurs privés. « La décision est un acte politique visant, selon une source autorisée, à apporter un surcroît de transparence, d’équité et d’efficience de ce partenariat public-privé, souvent sujet à des suspicions et d’interprétations abusives l’assimilant à un bradage du patrimoine public ».
Selon la même source, l’instruction de la présidence « ne remet pas en cause les dispositions prévues par l’ordonnance 01-04 (notamment les articles 20, 21, 22) d’août 2001 relatives à l’organisation, la gestion et la privatisation des Entreprises publiques économiques) ».
Pour rappel, la présidence avait adressé une correspondance au gouvernement jeudi dernier, dans laquelle elle rappelait que les décisions prises par rapport à la privatisation des entreprises publiques devaient être soumises à l’approbation préalable du chef de l’État, Abdelaziz Bouteflika. Le ministre de l’industrie Youcef Yousfi s’était également exprimé dans ce sens, tandis que le secrétaire général de l’UGTA Abdelmadjid Sidi Saïd, qui avait pris part à la tripartite Gouvernement-patronat-syndicats lors de laquelle la possibilité d’ouvrir le capital des entreprises publiques avait été évoquée, a refusé de s’exprimer par rapport à l’instruction de la présidence.
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