- Les prix du pétrole reculaient lundi en cours d'échanges européens alors que le dollar se reprend et que les investisseurs s'inquiètent de voir les capacités de production américaine de brut augmenter.
Vers 11H00 GMT (12H00 HEC), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en avril valait 68,07 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en baisse de 51 cents par rapport à la clôture de vendredi.
Dans les échanges électroniques sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour le contrat de mars cédait 19 cents à 65,26 dollars.
Le Brent a atteint en cours d'échanges asiatiques 67,69 dollars, à son plus bas depuis près d'un mois.
"La Réserve fédérale américaine (Fed) semble plus à même de relever ses taux, cela profite au dollar et c'est toujours mauvais pour le pétrole", a résumé Tamas Varga, analyste chez PVM.
Comme les cours du pétrole sont fixés en dollar, la reprise de la monnaie américaine entame le pouvoir d'achat des investisseurs utilisant d'autres devises.
Par ailleurs, les investisseurs s'inquiètent de voir les Etats-Unis continuer d'augmenter leur capacité de production, alors que le nombre de puits actifs dans le pays aurait augmenté la semaine dernière, ont noté des analystes citant les données de l'entreprise Baker Hughes publiées vendredi.
"Les cours du brut pourraient avoir atteint un sommet, car la perspective d'une nouvelle hausse de la production de pétrole de schiste aux Etats-Unis pèse sur le marché", ont prévenu les analystes de Société Générale.
Cependant, le prix du WTI, référence américaine, résistait mieux que celui du Brent européen.
"C'est parce que les réserves de Cushing ont reculé, selon les dernières données hebdomadaires", a commenté M. Varga.
Alors que les stocks américains ont gonflé lors de la semaine achevée le 26 janvier, les réserves de Cushing ont au contraire reculé, et cette ville de l'Oklahoma sert de référence aux prix du WTI.
Avant le prochain rapport hebdomadaire sur ces stocks qui sera publié mercredi, le marché prendra connaissance mardi du rapport mensuel sur les perspectives à court terme du marché de l'énergie, publié par l'Agence américaine d'information sur l'Energie (EIA).
zonebourse
Vers 11H00 GMT (12H00 HEC), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en avril valait 68,07 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en baisse de 51 cents par rapport à la clôture de vendredi.
Dans les échanges électroniques sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour le contrat de mars cédait 19 cents à 65,26 dollars.
Le Brent a atteint en cours d'échanges asiatiques 67,69 dollars, à son plus bas depuis près d'un mois.
"La Réserve fédérale américaine (Fed) semble plus à même de relever ses taux, cela profite au dollar et c'est toujours mauvais pour le pétrole", a résumé Tamas Varga, analyste chez PVM.
Comme les cours du pétrole sont fixés en dollar, la reprise de la monnaie américaine entame le pouvoir d'achat des investisseurs utilisant d'autres devises.
Par ailleurs, les investisseurs s'inquiètent de voir les Etats-Unis continuer d'augmenter leur capacité de production, alors que le nombre de puits actifs dans le pays aurait augmenté la semaine dernière, ont noté des analystes citant les données de l'entreprise Baker Hughes publiées vendredi.
"Les cours du brut pourraient avoir atteint un sommet, car la perspective d'une nouvelle hausse de la production de pétrole de schiste aux Etats-Unis pèse sur le marché", ont prévenu les analystes de Société Générale.
Cependant, le prix du WTI, référence américaine, résistait mieux que celui du Brent européen.
"C'est parce que les réserves de Cushing ont reculé, selon les dernières données hebdomadaires", a commenté M. Varga.
Alors que les stocks américains ont gonflé lors de la semaine achevée le 26 janvier, les réserves de Cushing ont au contraire reculé, et cette ville de l'Oklahoma sert de référence aux prix du WTI.
Avant le prochain rapport hebdomadaire sur ces stocks qui sera publié mercredi, le marché prendra connaissance mardi du rapport mensuel sur les perspectives à court terme du marché de l'énergie, publié par l'Agence américaine d'information sur l'Energie (EIA).
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